Archives Mensuelles: février 2013

Next-Libération – «C’est là qu’est le public, c’est là où je vais»

Le site Next Liberation, propose divers articles sur Larry Clark. On peut relever l’article d’ Olivier Séguret, il s’agit d’une interview de Larry Clark concernant la mise en ligne de son dernier film Mafia Girl récompensé au festival de Rome. Le sujet abordé concerne la mise en ligne sur internet du film Mafia Girl. Cet article nous explique la démarche de Larry Clark face à son choix de poster son film sur son site au prix de 5.99$.

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Le journaliste a fait le choix de poster 7 questions autour du tournage : de sa méthode employée, de la diffusion du film, ainsi que la réception de sa démarche rebelle à l’encontre du circuit hollywoodien. Le choix de ses questions apportent des réponses complètent et nous permette de comprendre les intentions de l’artiste. Larry Clark y explique le bon accueil que le film a reçu au festival ainsi que son ressenti pendant le tournage et surtout sa volonté d’exprimer son art sans passer nécessairement par les salles de cinéma. Le journaliste choisi d’illustrer son article d’une simple photo du tournage avec Larry Clark accompagné de Adam Mediano et Mercedes Maxwell. On peut voir que l’article est est relativement court mais efficace. A la fin de cet article, on retrouve une rubrique à « lire aussi » concernant d’autres articles de Larry Clark.

Next Liberation est un site annexé au site Libération.fr. Il faut savoir que Libération.fr est le site français du journal Libération qui traite de l’actualité généraliste. On peut dire que le site Next Liberation est focalisés sur toutes les actualités concernant la mode, la photo, le design, le cinéma etc… Les informations proposées sont fiables et vérifiées mais cela reste des critiques et donc l’information est subjective. L’interface de cette ressource est claire et bien organisée. Le visuel est agréable et sobre. Elle se compose d’une barre de recherche efficace. Les informations recherchées sont pertinentes pour les premiers résultats, après on peut tomber sur des article sans liens directs entre eux. Dans le haut de la page on retrouve des liens qui mène aux différents thèmes abordés du site. Le site est seulement publié en français. L’article n’est donc pas accessible à tous. A droite on peut retrouver plusieurs rubriques avec les différentes actualités du moment. Il y a beaucoup de lien qui envoient le lecteur sur des bandes annonces. A la fin de l’article on retrouve une petite rubrique « fait tourner » avec les widgets Facebook, Twitter et mails, cela nous permet de suivre l’actualité ponctuellement.

Les bas de pages sont occupés par la publicité et des liens promotionnels mais ce n’est pas très gênant. Ainsi cette page s’organise avec un article central accompagné de différentes rubriques en relation ou non avec le sujet. Pour conclure on peut dire que le contenu de la ressource est utile mais parasité par le grand nombre de rubriques qui nous tente à changer de page.

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L’oeuvre de Clark par l’ICP

Le site de l’ICP (International Center of Photography) offre de multiples possibilités de recherche. Pour le cas de Larry Clark, un important contenu nous est proposé. En effet, cette ressource nous apporte des informations variées sur l’auteur, l’article se compose de 5 pages, chacune liée à un thème en particulier. Ainsi, une première page nous renvoie à la biographie de l’auteur – une biographie détaillée et thématique. La seconde et la troisième pages renvoie à des séries photographiques effectuées par l’artiste entre les années 60 et 80, et qui ont données lieu à deux ouvrages monographiques: Le premier, Tulsa paru en 1971 et le second, Teenage Lust datant de 1983. Ces pages insistent sur les enjeux soulevées par les deux séries-livres toujours autour de la question de l’adolescence à la dérivé telle que Clark se plaint à la photographiée. Ces deux contenus permettent de se rendre compte de l’évolution du travail de l’artiste, qui bien qu’il demeure attaché aux mêmes thèmes, apprend à les renouveler sans cesse.Le troisième contenu proposé (la 3ème page) s’intitule Skaters, et renvoie à une autre série photographique de Larry Clark, qui s’attachant encore une fois au domaine de l’adolescence, en donne un nouvel exemple. La série date des années 90 et se constitue de portraits en couleur de jeunes skateboarders. Des figures que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard dans son premier film Kids. Ainsi, cet article nous introduit au travail de Larry Clark entant que cinéaste et c’est le sujet de la dernière page, consacrée donc à sa carrière cinématographique. L’article nous explique comment, l’artiste photographe est devenu une éminente figure du cinéma indépendant.

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Les articles ne sont pas très longs, mais bien condensés, la lecture en est ainsi facilitée, de même que le design agréable proposé par la page. Le contenu propose également en haut à droite, un communiqué de presse qui semble être un élément intéressant à étudier plus profondément – ce communiqué est complet et apporte de nouvelles informations plus précises mais aussi plus rares sur l’artiste et ses différentes expositions. Autre élément intéressant, le site nous informe que l’ICP est en partenariat avec le Pioneer Theater de New York et propose ainsi les horaires des séances de projection en continu des films de Clark. Enfin, la page n’offre que peu de photos illustrant les propos des différents auteurs. Toutefois, une banque d’images plus importante et présente directement sur le site.

L’ICP est avant tout une école de photographie et le site nous introduit donc aux formations possibles et au centre de recherches. Le site de l’ICP est très vaste. Son interface est facile d’accès mais de nombreux éléments sont présents afin d’aller vers une recherche pointue. La page d’accueil est interactive, elle se compose d’une grande bande d’images défilantes et d’un menu condensé et axé sur les actualités de l’ICP. En haut de cette page, le logo de l’institut est présent et renvoie à la page d’accueil, de nombreuses rubriques (VISIT, MUSEUM, SCHOOL, RESEARCH CENTER, STORE etc.) se trouvant au dessous renvoie à des sous rubriques qui permette une recherche plus approfondie.

Une barre de recherche est présente à gauche, dans le cas de Larry Clark, 47 résultats sont disponibles suivant des médiums différents : photos, vidéos, articles, biographies. Ces différents résultats sont corrélés aux rubriques citées plus avant, par exemple selon le résultat de la recherche dans la catégorie MUSEUM, on obtient 30 résultats pour Larry Clark. C’est donc, une ressource qui apporte un contenu important et souvent très pertinent. Toutefois, il n’est disponible qu’en anglais et la trop grande pluralité des contenus et des catégories exploitables peuvent perdre le visiteur et ne pas l’amener au résultat souhaité.

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Entre contre-culture et controverse

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http://videos.arte.tv/fr/videos/larry-clark-kiss-the-past-hello-1-2–3473156.html

Arte.tv nous propose une vidéo disponible dans la rubrique Arte+7, publiée en octobre 2010, ou Larry Clark commente et explique sa démarche concernant l’exposition Kiss The Past Hello. La vidéo mélange les propos de Larry Clark, illustrés par des photos de l’exposition. L’artiste nous confie ses débuts dans la photographie et ses enjeux au travers de cette rétrospective. Cette vidéo nous livre son implication à la fois dans cette exposition et dans son œuvre photographique dans son ensemble.                                                                Au travers de cette vidéo, l’artiste nous divulgue les problématiques qui l’anime depuis près de 50 ans notamment la dérive adolescente, les « excès inhérents à cet age », et les interdits autour du sexe et de la drogue dans une Amérique conservatrice. Ainsi, Larry Clark se définit ici, comme un « anthropologue visuel ». A la suite de la vidéo, le contenu nous propose une petite introduction sur Larry Clark, sa vie et quelques phrases pour décrire son exposition « Kiss The Past Hello ».                                                                                      La vidéo apparait en premier, ce qui nous permet de comprendre la démarche de l’artiste avant d’en savoir plus. Deux sites sont mis à notre disposition dans l’introduction : le site officiel de Larry Clark et celui du musée d’art moderne de la ville de Paris. Ce qui nous permet de faire un pont vers d’autres ressources importantes qui complèteront l’information. Il est possible de rédiger un commentaire et donner notre avis sur l’exposition et/ou le reportage qu’ils ont mis en ligne. Une rubrique, sur la droite, « En savoir plus » nous amène vers un lien où sont disponibles des photos de Larry Clark (de l’exposition) ; plus bas, se trouvent les « sites référents », à savoir les sites sur lesquels la vidéo a été partagée, et enfin « vidéos du jour » (qui en revanche ne traitent pas de l’exposition).

Arte.tv, fait écho à la chaine Arte qui propose des programmes en grande partie culturels, qui traitent de sujets divers et variés. Les informations sont utiles et fiables même si parfois, très générales. Arte.tv est un site essentiellement composé de vidéos (émissions en replay, reportages uniquement publiés sur le site, documentaires divers). L’interface arte.tv nous propose des la page d’accueil différentes vidéos. Le site se présente comme un journal d’informations sous forme de vidéos, classés selon différentes catégories : Vidéo du jour, Événement, (re)voir sur arte etc. Concernant les rubriques à notre disposition, le site nous en propose huit : ARTE (page d’accueil  – ARTE+7 (revoir des programmes) – ARTE Live Web (vidéos exclusivement posté sur le net) – ARTE Creative (autour de la création visuelle contemporaine) – ARTE Radio – VOD (une rubrique de vidéos à la demande) – Boutique et Pro (une page professionnelle). Le site est disponible en deux langues : français et allemand, il est également possible de suivre l’actualité arte avec Facebook et Twitter.

Le design épuré met en confiance le visiteur, toutefois, la lisibilité est parfois difficile. En effet, les informations sont trop condensées. Le classement des rubriques n’est pas toujours perceptible du fait de leur grand nombre. Cependant, la barre de recherche (présente dans chaque rubriques) nous permet d’accéder à des résultats différents mais toujours pertinents. Notons que la barre de recherche de la page d’accueil reste la plus complète et nous propose davantage de résultats.

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Avant Propos

Bonjour à tous,

A travers ce blog, nous souhaitons mettre en avant l’oeuvre du photographe et réalisateur Larry Clark. Actuellement étudiantes à la Sorbonne, nous avons choisi ce sujet suite à son exposition Kiss the Past Hello qui eut lieu au Musée d’art moderne de la ville de Paris en 2011. Nous traiterons de nombreux enjeux du travail de cet artiste, et en particulier du conflit social et de l’adolescence largement abordés dans son oeuvre.

Nous vous proposons à travers cette étude une sélection de contenus consacrés à l’artiste. Nous tacherons ainsi de mettre en lumière les qualités et les défauts des différents sites étudiés enfin d’en livrer une lecture détaillée et didactique. Il s’agira ainsi d’aborder d’un point de vu qualitatif les différentes ressources consacrées à notre sujet.

 

Maïté, Lucile, Maéva et Fanny.

Saisir le réel, au delà du scandale.

La photographie de Larry Clark, s’attache en de nombreux points à la captation du réel, celui de cette adolescence « dépravée » tellement décrié dans son exposition « Kiss the Past Hello », qui eut lieu en 2011 au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris.

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C’est cette réalité si dérangeante et si frappante que Nikolaï Saoulski s’attache à nous dévoiler dans son article « LARRY CLARK : Kiss the Past Hello », publié sur artnet en réaction à sa visite de l’exposition. Retraçant son œuvre et ses thèmes de prédilection, mais aussi l’évolution de son travail, il nous apporte des réponses quant à l’incompréhension dont a fait preuve cette rétrospective pourtant saluée en majeure partie par la critique artistique.

Autour de la polémique de l’interdiction aux moins de 18 ans que la ville de Paris a imposé, se cache un personnage qui de prime abord peut nous sembler ambiguë. Considéré comme un provocateur, l’artiste ne serait en fait qu’un photographe du documentaire, qui délivre un message sans tabous. Comme nous l’explique l’auteur, le travail de Larry Clark ne peut aucunement se définir comme une incitation à la drogue ni une apologie de la débauche. C’est bien une réalité livrée à l’état brut qui prédomine, une matérialité et une chair sans masques et sans subterfuges. A travers des cadrages et d’une luminosité toujours parfaitement étudiés, l’artiste donne à voir sans concessions, et c’est à travers ce voyeurisme social que le public non-averti a cru reconnaître des tentations à la débauche dépeinte rudement dans cette adolescence débridée.

Bien sur, il faut noter pour être à même de saisir les objectifs de l’artiste, son mode de vie, ce qui l’a poussé vers ces sujets polémiques. Et c’est en s’attardant sur le milieu social du jeune Larry Clark que l’on comprend qu’il s’agit pour lui de saisir une réalité, celle qui est la sienne, celle de son vécu propre. Une réalité explicite, qui ne ment pas ni ne triche. Comme le souligne l’auteur de l’article, c’est en saisissant ces clichés souvent sur le vif (dans le premier temps de sa carrière) que Larry Clark parvient à nous porter dans cet univers impétueux. Les vidéos postées également sur artnet, « Photos pour les majeurs »et « Vues de l’intérieur » nous permettent de (re)découvrir l’exposition au travers de visites guidées et d’interviews.

Le site artnet nous propose une interface variée. En effet, dans un premier temps, on remarque que le site peut être visualisé dans son intégralité en trois langues, indiquées par les différents .com, .de et .fr. – Cela donnant au site un plus grand champ de visualisation, une cible plus élargie. Ensuite, on note d’emblée trois catégories à parcourir, chacune munies de sous catégories : « Estimer et analyser », « Acheter et vendre », « Rechercher et s’informer ». Ces trois catégories nous mettent déjà la puce à l’oreille quand aux objectifs multiples du site, cela s’ajoutant à son statut « international ». Cette source est donc multiple, on peut aussi bien acheter, qu’évaluer son bien artistique que s’informer sur le marché de l’art grâce aux widgets au bas de la page… Il s’agit d’un site consacré plus spécifiquement à l’art contemporain.

Une barre de recherche est à disposition du visiteur. Par exemple, dans le cas qui nous intéresse, si nous tapons « Larry Clark », un certain nombre de réponses s’offrent à nous, parmi lesquelles : 30 œuvres d’art, 28 galeries ou maisons de ventes, 6 expositions, un artiste, et 34 articles.Ainsi, malgré le nombre impressionnant d’artistes proposés (plus de 250000) le site nous offre un contenu relativement important. Il s’agit ensuite de vérifier les contenus proposés, qui sont pour la plupart pertinents. Dans sa condition de site de vente en ligne, artnet nous propose un certain nombre d’éléments qui peuvent faire douter de la légitimité des contenus, la présence d’un panier d’achat en est un exemple. Toutefois, l’ensemble du site propose un design épuré en adéquation avec l’idée qu’il souhaite véhiculé.

Il s’agit donc, d’une source à multiples fonctions qui est cependant bien détaillée. Dans le cas d’une recherche d’images, les cartels des œuvres proposées sont complets, la qualité est bonne. Les médiums proposés sont variés : vidéos, images, écrits… Toutefois, parmi les 34 articles proposés, peu d’entre eux sont encore accessibles, et un certain nombre ne correspond pas parfaitement à la recherche initiale.

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Tulsa, un essai de Larry Clark

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     Americansurbubx nous propose un certain nombre d’articles et critiques concernant Larry Clark notamment l’extrait d’un essai (disponible en intégralité sur le site en PDF) de Larry Clark lui même, intitulé TulsaTulsa constitue en réalité une sorte d’autobiographie de l’artiste. Des mémoires rédigées dans un langage assez familier, sans tabous, sans compromis à l’image de son travail. L’essai se base sur la ville natale de Clark, Tulsa – comme l’indique le titre de l’essai – en Oklahoma. Cette ville tient une place très importante dans le travail de l’artiste. En effet, c’est ici qu’il prend ses premiers clichés et qu’il s’essaie à l’art de la photographie. Capturant des instants de sa vie et de celle de ses amis, des jeunes en proie au désespoir et à la tentation de la drogue. C’est dans cet essai que Larry Clark partage ses nombreuses pérégrinations qui le ramène toujours à Tulsa dont il essaie souvent de s’éloigner. Il s’agit à travers ce contenu, de saisir la personnalité de l’artiste et de comprendre au mieux les premiers enjeux de son travail. Le site nous propose à la suite de l’extrait de Tulsa, des photographies illustrant le propos de l’auteur. Ces images permettent de se rendre compte de l’influence de ce cadre difficile dans lequel Larry Clark est né et a par la suite évolué.

          Americansuburx est une site internet qui est est dédié à l’examen de la photographie et de la culture photographique. Il est constitué dans son ensemble d’essais critiques, d’entretiens avec des artistes, d’examens sur des ouvrages ou des expositions, et bien sur de photographies.

          De prime abord, la ressource propose une interface un peu brouillon. La page d’accueil est remplie de toute part par des propositions d’articles, d’artistes, d’expositions etc. Les actualités photo y défilent de manière plus ou moins permanente. Toutefois, sur cette page d’accueil une barre de menus nous propose d’accéder à une recherche variée, le visiteur peut ainsi rechercher des artistes, des photographes suivant leurs nationalités, ou encore par des mots clefs. La plupart des recherches par catégories se fait par ordre alphabétique. Mais l’on dispose également d’une barre de recherche. Le site fonctionne comme une page d’acceuil déroulante. Ceci permet de « descendre » la page chronologiquement. Il s’agit d’un site dédié spécialement à la photographie contemporaine, on y trouve ainsi un certain nombre d’articles et photographies à propos de Larry Clark. Une barre publicitaire se trouve au centre de l’interface, mais toujours en relation avec le domaine photographique. Dans la plupart des cas, le type d’article proposé sur le site (critique, présentation d’expositions, d’artistes, de photographies) est précisé dans le titre, mais ce n’est pas toujours le cas, ainsi il est parfois difficile de savoir de quoi il en retourne. Le site est en anglais, et ne propose aucune autre langue. Les articles pour la plupart sont assez courts mais bien documentés. Les post sont permanents et propose ainsi très souvent de nouveaux contenus.
Il semble intéressant de les suivre sur Facebook ou Twitter ou bien de souscrire à leur newsletter pour en connaître les actualités fréquentes. En termes de fiabilité, il semblerait que le site soit consciencieux, en effet, la catégorie « ABOUT » nous informe des objectifs et intentions du créateur, et propose une politique de confidentialité.
Le reproche que l’on pourrait faire toutefois est celui de la typographie, qui est très petite et parfois difficilement lisible.

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