Archives de Tag: actualités

Larry Clark dans « Purple Fashion Magazine »

Art and Smoke est un site Américain, qui publie essentiellement  des photos de magazine. Les sujets abordés  sont la mode, le cinéma et l’art contemporainUn article y est consacré pour Larry Clark. A travers les photos on peut voir qu’une dizaine de pages, lui sont accordées dans le Purple magazine. L’article présente d’abord Larry clark en tant que légende du cinéma et explique  les ambitions de son film Marfa girl.

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La particularité de ce site Art and Smoke  est de présenter des pages de magazine. La démarche  est simple et permet d’offrir  un aperçu du contenu du magazine au lecteur. Il n’y a pas vraiment d’article sur cette page mais l’on retrouve un petit résumé qui expose rapidement le contenu de Purple Magazine.

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L’interface du site est simple et moderne. La barre d’outil est situé à gauche, il y a plusieurs catégories « about, books, submission calls, print shop, Amazone store, phographers et contact ». On remarque qu’il y a une catégorie commerciale, ainsi ce site, fait essentiellement de la publicité à Certains livres et magazines. La navigation est agréable, cependant le site n’est proposé qu’en Anglais. Il n’y a pas de véritable article, cette ressource est créée pour vendre  des livres, des photos et des magazines en relation avec les artistes.

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Pour conclure on peut dire que le visuel prime sur le texte. Cette ressource a  avant tout un rôle commercial plutôt que pédagogique. Cependant le site est agréable et propose des magazines, livres et  liens vers des sources plus approfondis.

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Larry Clark « le choc 42×42 »

Blended, propose un article intitulé “Larry Clark, Abel Ferrara, Harmony Korine…le choc 42×42”.  il s’agit de la marque de vodka 42BelowTM qui a sponsorisé 42 réalisateurs lors  du Festival du court métrage One Dream Rush à Beijing, en Chine en 2009. Larry Clark en faisant parti, il était pertinent de parler de ce festival.

L’article explique les contraintes qu’on imposa aux réalisateurs. Ils devaient réaliser des films de 42 secondes ayant pour sujet « le monde du rêve ». L’article s’attarde davantage sur Larry Clark et Harmony Korine (qui a travaillé sur le scénario de Ken Park ), et les œuvres  des réalisateurs furent présentées au Musée national du film chinois à Pékin.

L’article est assez court, il est divisé en deux par une vidéo. Cette vidéo regroupe quelques courts métrages des 42 réaliateurs diffusés pendant le festival. (Kenneth Anger, Asia Argento, Tadanobu Asano, Sergei Bodrov, Charles Burnett, Brian Butler, Jonathan Caouette, Leos Carax, Niki Caro, Yung Chang, Michele Civetta, Larry Clark, Joe Coleman, Zachary Croitoroo, Abel Ferrara, Mike Figgis, James Franco, Chris Graham, Florian Habicht, Rinko Kikuchi, Terence Koh, Harmony Korine, David Lynch, Griffin Marcus, Charlyn Marshall, Ryan McGinley, Rajan Mehta, Jonas Mekas, Chris Milk, Grant Morrison,Charlotte Kemp Muhl & Sean Lennon, Gaspar Noé, Dee Poon, Matt Pyke, Carlos Reygadas, Lola Schnabel, Floria Sigismondi, Mote Sinabel, Taika Waititi, Arden Wohl, Lou Ye and Zhang Yuan)

Blended est site dédié à l’art contemporain. Le contenu est sérieux et  la qualité des articles est une bonne référence. L’interface du site est vivante et agréable. Le site a préféré rester sur du noir et blanc avec une typographie élégante. On a à faire à une ressource moderne, bien présentée et efficace. On  retrouve même une radio  qui rend la navigation plus agréable. Il est  également possible de suivre les actualités de Blended sur Facebook et Twitter, mais aussi de souscrire à une newsletter. Cependant, la barre de recherche nous propose des résultats pas toujours en lien avec l’artiste, le spectateur doit faire le tri lui-même.

Pour conclure on peut dire que Blended est un site fiable cependant il est important de filtrer l’information.

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« La dernière vague »

     Lafriche.org est un site  culturel qui nous propose un article qui évoque Larry Clark.  Cet article s’intitule la dernière vague, il s’agit d’une exposition qui aura lieu dans la Tour-panorama de la Friche la Belle de Mai à Marseille, dans le cadre du festival « this is (not) music » le 23 avril 2013 . Cet article présente l’exposition qui regroupe plusieurs artistes, autour de la photographie, du graphisme, de la sculpture.

Cet article explique les ambitions de la dernière vague, montrant les cultures de l’Amérique du nord, telles que le surf, le skateboard aujourd’hui bien mondialisées. Ainsi c’est un court article qui propose de manière très bref le contenu de l’exposition. Une photo intéressante illustre l’article.  Larry Clark est mentionné une seul fois en tant qu’artiste  majeur de ces thèmes. Malgré le fait qu’il soit peu cité nous avons trouvé pertinent de s’attarder sur cet article qui propose une actualité concernant Larry Clark.

L’article explique la manière dont les œuvres seront abordées. L’espace de l’exposition est spacieux (plus de 2500m2) avec une vingtaine de pièces. Larry Clark sera exposé en compagnie de 57 autres artistes.

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 Le site la friche.org est le site officiel de la friche de belle mai qui est un espace culturel à Marseille, regroupant salles de spectacle et d’expositions. Le site est bien organisé l’interface visuel est agréable et simple. On retrouve plusieurs catégories « agenda, projets, la friche, frichiste, c’est ouvert, pratique ». En bas de page on retrouve diverses rubriques en lien avec  l’espace, ensuite on retrouve les différents logos des organisations en partenariat avec la friche. A droite de l’article on retrouve une rubrique avec le nom du commissaire d’exposition Richard Leydier et la production Cabaret aléatoire. La barre de recherche propose des résultats pertinents. Le contenu du site est trop limité car il ne propose que des articles en lien direct avec l’espace, on retrouve des biographies et quelques interviews, mais toujours ayant un lien avec la friche.

Cependant, ce site est une ressource limitée, il n’y a aucune information sur Larry Clark hormis la dernière vague. Pour conclure on peut dire que cet article est une actualité pertinente à propos des œuvres cinématographiques de Larry Clark,  cependant l’article ne parle pas assez de l’artiste pour qu’il prenne la  peine de noter cette référence.

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Deux interviews de Larry Clark!

  Dans cet article, nous nous intéresserons à la comparaison ou à la mise en relation de deux vidéos interviews de Larry Clark, contenues sur les sites viméo.com et youtube.com. Ces deux sites servent à partager des contenus vidéo, de quelques natures que ce soit. (Bien que des restrictions soient évidemment envisageables pour censure du sexe ou de la violence ou des questions de droits d’auteur entre autres). Le site youtube.com est cependant limité quant à la taille de la vidéo, ce qui réduit considérablement le temps autorisé pour celles-ci, alors qu’aucune limite de temps n’est assignée au site viméo.com. Il est par ailleurs possible de visionner certains films de Larry Clark en streaming sur ces deux sites, Ken Park sur viméo et Kids sur youtube, par exemple (Il est cependant difficile de les trouver sur youtube, car ceux-ci sont découpés en plusieurs parties).

  Cette première vidéo est donc disponible sur youtube.com. Elle contient une interview de Larry Clark durant 13 :21 minutes, mise en ligne le 21 mars 2011. Elle revient sur le film Ken Park, sorti en 2002, mais aussi sur le premier film de Larry Clark, Kids, et offre une comparaison des deux films, par leur réalisateur lui-même.

  La vidéo est très intéressante, l’artiste revenant de manière réfléchie sur ses films et leurs sujets respectifs, ses acteurs, ses attentes vis-à-vis de son travail global… Il y explique que ces histoires sont inspirées de faits réels qu’il a directement ou non vécues, dans son enfance ou plus particulièrement lors de son adolescence à Tulsa Oklahoma, et de la vie de personnes qu’il a connues, côtoyées et qui lui étaient proches, ses amis et sa famille. Larry Clark explique la façon dont il a choisi ses acteurs, en fonction de leur vécu, de ses personnages. Il ne les voulait pas connus avant de tourner dans ses films, il revient donc sur la façon dont ce sont déroulés les tournages de par ce fait. Il revient bien sûr sur les polémiques à propos de ces œuvres, en les expliquant de manière précise, par rapport à ce qu’il en attendait et pour quelles raisons il a choisi de réaliser ses films de cette manière, ou de photographier ces sujets, représentés de manière crue mais réaliste et non idéalisée. Il imagine ce que l’avenir peut lui réserver en lien avec son travail, mais aussi ce que ses films ont pu changer pour les jeunes adultes et les adolescents qu’il appelle communément les « kids » et la façon dont les choses pourraient évoluer pour eux, grâce à son travail.

  Malheureusement, la vidéo n’est disponible qu’en anglais, non traduite et non sous-titrée, ne la rendant pas accessible à tous.

http://vimeo.com/54551502 

  La seconde vidéo est donc disponible sur viméo.com. Elle nous présente également une interview de Larry Clark, cependant celle-ci dure un peu 4 :00 minutes et a été publiée en décembre 2012. Le réalisateur parle ici de son travail plutôt comme pour une rétrospective, contrairement à la première vidéo, où il parlait de son travail plutôt au présent. Il revient plus particulièrement sur le film Marfa Girl. Il a avant tout souhaité faire ce film (et tous les autres films en général, ainsi que ses photographies), pour que les personnes qui le voient soient au courant de la vie de ces jeunes et adolescents du Texas. Selon lui, personne ne connaitrait leur mode de vie, s’il n’avait pas choisi de le mettre à jour pour le public. Larry Clark se souvient de la façon dont s’est déroulé le tournage avec ces jeunes adolescents qui n’avaient encore jamais fait de cinéma et avec lesquels il a adoré travailler.  Il revient brièvement sur sa série « Tulsa », réalisée en 1968, en y expliquant à nouveau ses intentions et les raisons qui l’ont poussé à faire cette collection de photographies abordant à nouveau les sujets de la violence et de la sexualité adolescente débridée.

  En résumée, ces deux vidéos reviennent de manière très complète sur le travail de Larry Clark, et se complètent entre elles, abordant à elles deux la plupart de ses films et de son travail de réalisateur, mais aussi son travail de photographes. Le fait que ce soient des interviews crédibilisent également ces contenus, puisque c’est ici l’artiste même qui revient sur ses polémiques, et non des propos rapportés !

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Larry Clark – Site Officiel

Larry Clark

  Notre blog étant consacré à l’artiste Larry Clark, un passage par son site officiel s’impose. La page larryclark.com propose des contenus très divers et variés, allant de photographies à des articles traitant de son œuvre générale ou de sa vie plus ou moins personnelle, mais aussi des contenus numérisés, ou encore des films en streaming. Certains articles reviennent également sur les une exposition ayant affiché les propres affaires de skateboard de Larry Clark. D’autres encore sont des contenus numérisés issus de magazines traitant du film Marfa Girl en particulier.  On a également accès à un échange d’e-mails entre Larry Clark, en voyage à Rome à l’occasion d’une cérémonie de remises de prix, et Oliver Zahm, directeur du Purple Magazine. Certains autres articles encore, sont écrits par Larry Clark lui-même, (ou contiennent des citations de l’artiste). Des vidéos et vidéoclips sont également disponibles, montrant Larry Clark (à la cérémonie par exemple), ou des contenus qu’il a choisi de mettre en ligne.

  Le site a été crée en 2012, année de sortie du film Marfa Girl. Il est avant tout connu pour offrir la possibilité de regarder  Marfa Girl en streaming pour 5.99$, ce dont Larry Clark a été très fier. En effet, lors de la sortie de ce film, Larry Clark n’ayant pas trouvé de distributeur, son film n’a pu sortir en salle. Il a alors choisi de le mettre en plus ou moins libre accès (il faut donc payer une petite somme), sur son site officiel, pour que le public puisse tout de même y accéder. Cet évènement a beaucoup fait parler de Larry Clark et de son film, car il est effectivement très utile de pouvoir accéder aussi facilement à celui-ci via internet.

  Le site en uniquement disponible en anglais, cependant la compréhension n’en est pas très difficile. Le côté droit de la page contient un certain nombre de widgets. Il est possible de souscrire à une newsletter, ou de suivre Larry Clark et ses actualités cinématographiques via Facebook, Twitter, ou encore Youtube. Des photos de l’artiste sont également disponibles, accompagnant la rubrique « contact ». Une rubrique est consacrée à une biographie assez succincte de Larry Clark, accompagnée d’une rubrique « accès presse ». Enfin, une catégorie contenant des liens renvoie directement à toutes les vidéos disponibles en streaming sur le site officiel. La page contient pour finir, des liens renvoyant vers des sites choisis par l’auteur, ou en lien avec son travail, entre autres: Luhring Augustine, Milkstudios, ou encore Wassup rockers, site officiel du film du même nom.

  Le site est assez agréable d’aspect, et n’est pas surchargé, cependant, les couleurs rendent à mon avis la navigation assez difficile, car les articles ne sont pas très clairement séparés les uns des autres, il n’est donc pas aisé de s’y retrouver au sein de la page. Les couleurs et tailles de caractères ne correspondent pas à ce à quoi on pourrait s’attendre au premier abord, ce qui peut perturber la navigation. Ce n’est cependant que de petits détails, le site étant assez complet vis-à-vis de ses objectifs.

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Marfa Girl sur Blended – actualités des arts

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Le site blended.fr nous propose un article faisant état de la polémique autour de la diffusion du film de Larry Clark, Marfa Girl sorti en 2012. En effet, l’affaire avait fait scandale lorsque l’artiste avait annoncé que la distribution de son long métrage se ferait sur son site internet, en streaming. Cet article publié le 21 novembre 2012 est assez court et nous présente les modalités mises en place par l’artiste pour la diffusion de son film primé au Festival de Rome en 2012. Clark n’agit pas ici de manière anodine ; en effet, son objectif était bel et bien de dire « Fuck à Hollywood »

 «Je voulais dire « Fuck » à Hollywood (…) Si tout le monde regarde des films sur son ordinateur, télécharge des séries télé et passe sa vie sur YouTube, si les jeunes passent leur temps devant leurs ordinateurs à organiser des soirées, draguer des filles, alors il faut aller à eux et leur proposez des films en ligne !»

L’auteur du site salue le révolutionnaire qui s’exprime en Clark, qui, à 70 ans, trouve encore des idées afin de toujours sortir des sentiers battus. L’auteur souligne également qu’il s’agit bien d’une première dans le milieu de l’industrie du cinéma. Cette annonce lors d’une conférence de presse a marqué les esprits, a surpris ou provoqué l’incompréhension – mais a encore une fois prouvé que Clark parvient toujours à se démarquer. Outre l’article, la page nous propose de visionner le trailer de Marfa Girl, ainsi que des photographies du tournage. De même des liens dans le texte renvoie à la page de téléchargement du film sur le site officiel de Larry Clark. Il est également possible de laisser un commentaire.

Blended est un web-magazine d’actualités culturelles et artistiques. Il s’agit d’un site orienté sur l’actualité contemporaine des arts. Le contenu est important et fluctuant. Il est composé de 9 catégories toutes en rapport avec ces actualités : Art, Cinéma, Culture, Média, Mode, Musique, Photographie, Publicité, et Tendance. La multiplicité des éléments présents sur le site permet une vue panoramique autour des arts contemporains et appliqués. Les articles sont multiples, on ne sait jamais vraiment sur quoi on va tomber. Il y a toutefois une certaine disparité entre toutes ces catégories, articles etc. – certains sont longs, bien fournis, argumentés, critiques, pendant que d’autres apportent beaucoup moins au lecteur. L’interface est vivante, et bien construite bien que quelque peu encombrée. Les actualités défilent rapidement sur la page d’accueil. De nombreuses fenêtres proposent des informations très différentes liées aux catégories énoncées plus tot. Le site n’est disponible qu’en français, il est possible de suivre les actualités de blended sur Facebook et Twitter – mais aussi de souscrire à une newsletter. La barre de recherche renvoie à des contenus intéressants bien qu’inégaux en ce qui concerne Larry Clark. Le site ne semble pas mettre en place de  »classement » entre les différentes données qu’il propose.

Ainsi, le très (trop?) grand choix de contenus peut pousser le visiteur a rebrousser chemin. Si il souhaite une vue panoramique sur les arts d’aujourd’hui cette ressource semble toute indiquée, toutefois il serait judicieux en ce sens de faire un premier tri en souscrivant à la newsletter par exemple. Pour ce qui est d’une recherche avancée, le visiteur a l’embarras du choix – la plupart des contenus sont en effet fiables (des liens sont présents dans chaque article) bien qu’inégaux. Blended est de ce fait une grande source d’informations qu’il faut savoir manier avec patiente afin de parvenir à trouver ce que l’on est venu chercher.

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La nudité adolescente dans l’art: les corps du délit

Le site Slate.fr nous offre un article détaillé traitant du rapport au corps adolescent dans l’art. Ecrit par Quentin Girard et publié le 24 septembre 2010, cet article répond notamment à l’interdiction d’accès aux moins de 18 ans à l’exposition Kiss The Past Hello de Larry Clark qui eut lieu en 2011 au MAM de la ville de Paris. Ainsi, il apporte une vision critique autour de la censure voire de l’auto-censure de certaines expositions à caractère « pornographique ». L’auteur s’attache ainsi à nous expliquer le dilemme de l’institution muséale mais aussi et surtout des gouvernements face à la nudité adolescente dans l’art. L’auteur insiste sur cette censure qui bloque l’accès des expositions aux personnes au contraire les plus concernés. De ce fait, l’interdiction visant Larry Clark illustre parfaitement ce propos. Quentin Girard, nous donne plusieurs exemples de censure par rapport à cette question de la nudité (ou de la sexualité adolescente) qui selon certains toucherait à la pédophilie. Ainsi, l’auteur nous rappelle la « difficulté actuelle de représenter ce corps », de même qu’il regrette que la censure se fasse autour de la création artistique, alors que les contenus pornographiques sont très facilement accessibles par Internet. L’article apporte un contenu riche et argumenté, munis d’exemples qui soutiennent le propos de l’auteur. Il s’inscrit ainsi dans une des problématiques importantes de Larry Clark autour de cette représentation si crue qu’il offre de cette dérive adolescente. Des liens dans l’article renvoie à des photos de Clark, issues de l’exposition.

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Le site Slate est un web-magazine d’informations. Ces dernières sont multiples et variées. Les sujets y sont nombreux et toujours abordés en profondeur. La page d’acceuil de Slate présente le site comme une véritable magazine d’informations – elle fait office de « Une » en quelque sorte. Les rubriques en haut de la page, traduise de même cette idée. Elle sont au nombre de huit : France, Monde, Économie, Culture, Life, Photos, Revue de Web, Santé. Outre les catégories, cette page est très concentrée en informations. Elle se présente en longueur, et les actualités sont réparties selon des diverses fenêtres.

Chaque catégories proposent un grand nombre d’articles. Il est ainsi évident que le site a pour but de cibler la recherche. Le visiteur ne lit pas tout d’un coup mais seulement ce qui l’intéresse d’ou l’intérêt de mettre en place ces rubriques et autres fenêtres d’informations. La barre de recherche est complète, cette recherche se fait suivant des articles, ou des thématiques. Pour ce qui est de Larry Clark, beaucoup d’articles nous sont proposés, la plupart traitant de l’interdiction de l’exposition Kiss The Past Hello. Cela nous rappelant ainsi que le site est plus orienté actualités « générales » que art, culture ou même sport. Il s’agit en effet de délivrer des informations détaillées et réfléchies sur des sujets partagés mais en aucun cas de procéder à une recherche universitaire ou très approfondie. De même, les articles ne sont disponibles qu’en français.

Ainsi, l’avantage de ce site est qu’il propose des contenus aussi variés que détaillés. Les articles y sont attractifs et intéressants, souvent assez longs. Il ne s’agit pas d’aller vers une recherche extrêmement pointue mais de se familiariser avec des observations de journalistes qui peuvent s’avérer fines. L’autre élément intéressant chez Slate est que les articles fournissent pour la majore partie des liens renvoyant à d’autres articles ou encore à des photos, des vidéos etc. Toutefois, le design choisi par le site ne met pas immédiatement en confiance le visiteur qui pourrait de prime abord penser à un magazine féminin ou d’actualités très orientées. De plus, son caractère trop étoffé peut décourager le lecteur. Ainsi, une solution possible et de suivre Slate sur Facebook, sur Twitter ou encore de souscrire à une newsletter afin de ne trier et ne lire que les actualités qui intéresse le lecteur, sans pour autant aller dans une recherche spécifique.

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La terrible honnêteté de Clark – par Milkmade

« Terrifically filthy and terribly unattractive honesty. The kind of honesty that your parents and teachers tried to protect you from. »

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Milkmade.com propose plusieurs articles concernant Larry Clark. Celui qui nous intéresse ici, s’intitule « From Tulsa to Marfa with Larry Clark » de Song Chong, publié le 14 novembre 2012. Il s’agit d’une interview vidéo d’une durée de 6 minutes de l’artiste, suivi d’un petit article résumant l’idée directrice du travail de Larry Clark selon l’auteur : L’honnêteté – cette « honnêteté terrifiante et terrible » dépeinte dans le travail du photo-cinéaste. La vidéo est en noir et blanc et propose une approche inimiste de l’artiste ou ce dernier nous livre ses secrets de tournage et sa vision du cinéma et de la jeunesse dont il traite dans les deux films qu’il évoque ici – Kids, et Marfa Girl. L’interview est en anglais, non sous titré. L’artiste nous révèle ainsi ce « secret qui ne pouvait pas être photographié mais qui était bel est bien la (…) la vie secrète de l’Oklahoma qui personne n’avait jamais photographiée ». Clark explique ainsi qu’il était un privilégié de cette vie secrète en ce qu’il en faisait lui même partie, « les autres n’auraient pas été autorisés à capturer ce monde »C’est à partir de cette idée d’immersion dans le monde d’une jeunesse désabusée que Larry Clark se lance dans le cinéma. D’abord, avec Kids, en 1994, qu’il considère « à l’encontre du ‘style Hollywood’ » – Larry Clark évoque ainsi le meilleur compliment qu’une personne ait pu lui faire : Un jeune adolescent lui dit à propos de Kids « it’s not a movie, it’s about real life ». Par la suite, il réalise Marfa Girl et choisit ainsi de prendre des vrais jeunes de Marfa, au Texas. Il évoque finalement, son intention de divulguer son film sur internet, sans véritables rémunérations (DVDs ou salles de cinéma). Cette intention traduisant une nouvelle fois son objectif de se rapprocher de cette génération d’adolescents qui ne jure que par internet et s’informe quasiment que par cet unique média.

L’article à la suite de la vidéo retrace rapidemment les grands enjeux de la carrière (photographique et cinématographique) de Larry Clark. La page nous propose par la suite d’autres articles en rapport avec ce même sujet. Puis, à partir de ce contenu nous pouvons accèder à d’autres articles grace aux signets  »previous page » et  »next page ».

Milkmade.com est un site hétéroclite, traitant de nombreux sujets et composé de différentes catégories : Beauté, Mode, Art, Musique, Vidéo. Le site dispose également d’un Tumblr, disponible en catégorie – intitulé « milkstudios« . Ce Tumblr propose un contenu relativement similaire au site en question (mêmes catégories qui renvoie à milkmade.com) mais dispose des caractéristiques de la page Tumblr. La page d’accueil de MilkMade propose des contenus différents et changeants agencés simplement et répondants chacun aux catégories énoncés plus tôt. En premier lieu, l’interface nous propose les articles les plus récents puis, d’autres triés sur le volet. MilkMade est un site disponible exclusivement en anglais. Il est possible de souscrire à une newsletter, de suivre les actualités MilkMade sur de nombreux réseaux : Facebook, Twitter, Picarest, Google +, Instagram, Tumblr, MySpace… Les widgets disponibles sont basiques, l’un d’eux toutefois  »Milk Underground », propose un contenu encore différent, bien que difficile à cibler. Ses catégories  »Art » et  »Mode » mettent en avant les différentes Fashion Week, des expositions, des artistes, surtout des photographes et des créateurs de mode. Les photos sont nombreuses et de très bonne qualité. Le site dispose d’une barre de recherche. En ce qui concerne notre recherche sur Larry Clark, 7 contenus nous sont proposés (classés par ordre chronologique). Chacun d’eux intéressants et très bien illustrés. Une page uniquement dédiée à Larry Clark est également disponible sur le site. Cette dernière est très fourni, en photos de l’artiste, en textes aussi. Toutefois, il n’est pas possible d’accéder aux cartels des photographies postées sur le site.

 Le design est simple, mais attractif. Il permet de cibler une  »clientèle » de visiteurs jeunes et s’intéressant aux actualités des arts et de la mode. Le reproche que l’on pourrait toutefois faire est l’absence du choix de la langue tout d’abord. Puis, les écarts visibles entre les contenus et leur pertinence. En effet, certains articles sont clairs et riches alors que d’autres ne sont pas accessibles ou du moins, pauvres en informations. Cependant, l’interface mobile permet de voyager comme bon nous semble à l’intérieur du site et les nombreux signets permettent de passer d’un article à un autre avec une grande liberté de découverte

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L’oeuvre de Clark par l’ICP

Le site de l’ICP (International Center of Photography) offre de multiples possibilités de recherche. Pour le cas de Larry Clark, un important contenu nous est proposé. En effet, cette ressource nous apporte des informations variées sur l’auteur, l’article se compose de 5 pages, chacune liée à un thème en particulier. Ainsi, une première page nous renvoie à la biographie de l’auteur – une biographie détaillée et thématique. La seconde et la troisième pages renvoie à des séries photographiques effectuées par l’artiste entre les années 60 et 80, et qui ont données lieu à deux ouvrages monographiques: Le premier, Tulsa paru en 1971 et le second, Teenage Lust datant de 1983. Ces pages insistent sur les enjeux soulevées par les deux séries-livres toujours autour de la question de l’adolescence à la dérivé telle que Clark se plaint à la photographiée. Ces deux contenus permettent de se rendre compte de l’évolution du travail de l’artiste, qui bien qu’il demeure attaché aux mêmes thèmes, apprend à les renouveler sans cesse.Le troisième contenu proposé (la 3ème page) s’intitule Skaters, et renvoie à une autre série photographique de Larry Clark, qui s’attachant encore une fois au domaine de l’adolescence, en donne un nouvel exemple. La série date des années 90 et se constitue de portraits en couleur de jeunes skateboarders. Des figures que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard dans son premier film Kids. Ainsi, cet article nous introduit au travail de Larry Clark entant que cinéaste et c’est le sujet de la dernière page, consacrée donc à sa carrière cinématographique. L’article nous explique comment, l’artiste photographe est devenu une éminente figure du cinéma indépendant.

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Les articles ne sont pas très longs, mais bien condensés, la lecture en est ainsi facilitée, de même que le design agréable proposé par la page. Le contenu propose également en haut à droite, un communiqué de presse qui semble être un élément intéressant à étudier plus profondément – ce communiqué est complet et apporte de nouvelles informations plus précises mais aussi plus rares sur l’artiste et ses différentes expositions. Autre élément intéressant, le site nous informe que l’ICP est en partenariat avec le Pioneer Theater de New York et propose ainsi les horaires des séances de projection en continu des films de Clark. Enfin, la page n’offre que peu de photos illustrant les propos des différents auteurs. Toutefois, une banque d’images plus importante et présente directement sur le site.

L’ICP est avant tout une école de photographie et le site nous introduit donc aux formations possibles et au centre de recherches. Le site de l’ICP est très vaste. Son interface est facile d’accès mais de nombreux éléments sont présents afin d’aller vers une recherche pointue. La page d’accueil est interactive, elle se compose d’une grande bande d’images défilantes et d’un menu condensé et axé sur les actualités de l’ICP. En haut de cette page, le logo de l’institut est présent et renvoie à la page d’accueil, de nombreuses rubriques (VISIT, MUSEUM, SCHOOL, RESEARCH CENTER, STORE etc.) se trouvant au dessous renvoie à des sous rubriques qui permette une recherche plus approfondie.

Une barre de recherche est présente à gauche, dans le cas de Larry Clark, 47 résultats sont disponibles suivant des médiums différents : photos, vidéos, articles, biographies. Ces différents résultats sont corrélés aux rubriques citées plus avant, par exemple selon le résultat de la recherche dans la catégorie MUSEUM, on obtient 30 résultats pour Larry Clark. C’est donc, une ressource qui apporte un contenu important et souvent très pertinent. Toutefois, il n’est disponible qu’en anglais et la trop grande pluralité des contenus et des catégories exploitables peuvent perdre le visiteur et ne pas l’amener au résultat souhaité.

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Tulsa, un essai de Larry Clark

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     Americansurbubx nous propose un certain nombre d’articles et critiques concernant Larry Clark notamment l’extrait d’un essai (disponible en intégralité sur le site en PDF) de Larry Clark lui même, intitulé TulsaTulsa constitue en réalité une sorte d’autobiographie de l’artiste. Des mémoires rédigées dans un langage assez familier, sans tabous, sans compromis à l’image de son travail. L’essai se base sur la ville natale de Clark, Tulsa – comme l’indique le titre de l’essai – en Oklahoma. Cette ville tient une place très importante dans le travail de l’artiste. En effet, c’est ici qu’il prend ses premiers clichés et qu’il s’essaie à l’art de la photographie. Capturant des instants de sa vie et de celle de ses amis, des jeunes en proie au désespoir et à la tentation de la drogue. C’est dans cet essai que Larry Clark partage ses nombreuses pérégrinations qui le ramène toujours à Tulsa dont il essaie souvent de s’éloigner. Il s’agit à travers ce contenu, de saisir la personnalité de l’artiste et de comprendre au mieux les premiers enjeux de son travail. Le site nous propose à la suite de l’extrait de Tulsa, des photographies illustrant le propos de l’auteur. Ces images permettent de se rendre compte de l’influence de ce cadre difficile dans lequel Larry Clark est né et a par la suite évolué.

          Americansuburx est une site internet qui est est dédié à l’examen de la photographie et de la culture photographique. Il est constitué dans son ensemble d’essais critiques, d’entretiens avec des artistes, d’examens sur des ouvrages ou des expositions, et bien sur de photographies.

          De prime abord, la ressource propose une interface un peu brouillon. La page d’accueil est remplie de toute part par des propositions d’articles, d’artistes, d’expositions etc. Les actualités photo y défilent de manière plus ou moins permanente. Toutefois, sur cette page d’accueil une barre de menus nous propose d’accéder à une recherche variée, le visiteur peut ainsi rechercher des artistes, des photographes suivant leurs nationalités, ou encore par des mots clefs. La plupart des recherches par catégories se fait par ordre alphabétique. Mais l’on dispose également d’une barre de recherche. Le site fonctionne comme une page d’acceuil déroulante. Ceci permet de « descendre » la page chronologiquement. Il s’agit d’un site dédié spécialement à la photographie contemporaine, on y trouve ainsi un certain nombre d’articles et photographies à propos de Larry Clark. Une barre publicitaire se trouve au centre de l’interface, mais toujours en relation avec le domaine photographique. Dans la plupart des cas, le type d’article proposé sur le site (critique, présentation d’expositions, d’artistes, de photographies) est précisé dans le titre, mais ce n’est pas toujours le cas, ainsi il est parfois difficile de savoir de quoi il en retourne. Le site est en anglais, et ne propose aucune autre langue. Les articles pour la plupart sont assez courts mais bien documentés. Les post sont permanents et propose ainsi très souvent de nouveaux contenus.
Il semble intéressant de les suivre sur Facebook ou Twitter ou bien de souscrire à leur newsletter pour en connaître les actualités fréquentes. En termes de fiabilité, il semblerait que le site soit consciencieux, en effet, la catégorie « ABOUT » nous informe des objectifs et intentions du créateur, et propose une politique de confidentialité.
Le reproche que l’on pourrait faire toutefois est celui de la typographie, qui est très petite et parfois difficilement lisible.

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