Archives de Tag: adolescence

Larry Clark dans « Purple Fashion Magazine »

Art and Smoke est un site Américain, qui publie essentiellement  des photos de magazine. Les sujets abordés  sont la mode, le cinéma et l’art contemporainUn article y est consacré pour Larry Clark. A travers les photos on peut voir qu’une dizaine de pages, lui sont accordées dans le Purple magazine. L’article présente d’abord Larry clark en tant que légende du cinéma et explique  les ambitions de son film Marfa girl.

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La particularité de ce site Art and Smoke  est de présenter des pages de magazine. La démarche  est simple et permet d’offrir  un aperçu du contenu du magazine au lecteur. Il n’y a pas vraiment d’article sur cette page mais l’on retrouve un petit résumé qui expose rapidement le contenu de Purple Magazine.

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L’interface du site est simple et moderne. La barre d’outil est situé à gauche, il y a plusieurs catégories « about, books, submission calls, print shop, Amazone store, phographers et contact ». On remarque qu’il y a une catégorie commerciale, ainsi ce site, fait essentiellement de la publicité à Certains livres et magazines. La navigation est agréable, cependant le site n’est proposé qu’en Anglais. Il n’y a pas de véritable article, cette ressource est créée pour vendre  des livres, des photos et des magazines en relation avec les artistes.

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Pour conclure on peut dire que le visuel prime sur le texte. Cette ressource a  avant tout un rôle commercial plutôt que pédagogique. Cependant le site est agréable et propose des magazines, livres et  liens vers des sources plus approfondis.

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« La dernière vague »

     Lafriche.org est un site  culturel qui nous propose un article qui évoque Larry Clark.  Cet article s’intitule la dernière vague, il s’agit d’une exposition qui aura lieu dans la Tour-panorama de la Friche la Belle de Mai à Marseille, dans le cadre du festival « this is (not) music » le 23 avril 2013 . Cet article présente l’exposition qui regroupe plusieurs artistes, autour de la photographie, du graphisme, de la sculpture.

Cet article explique les ambitions de la dernière vague, montrant les cultures de l’Amérique du nord, telles que le surf, le skateboard aujourd’hui bien mondialisées. Ainsi c’est un court article qui propose de manière très bref le contenu de l’exposition. Une photo intéressante illustre l’article.  Larry Clark est mentionné une seul fois en tant qu’artiste  majeur de ces thèmes. Malgré le fait qu’il soit peu cité nous avons trouvé pertinent de s’attarder sur cet article qui propose une actualité concernant Larry Clark.

L’article explique la manière dont les œuvres seront abordées. L’espace de l’exposition est spacieux (plus de 2500m2) avec une vingtaine de pièces. Larry Clark sera exposé en compagnie de 57 autres artistes.

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 Le site la friche.org est le site officiel de la friche de belle mai qui est un espace culturel à Marseille, regroupant salles de spectacle et d’expositions. Le site est bien organisé l’interface visuel est agréable et simple. On retrouve plusieurs catégories « agenda, projets, la friche, frichiste, c’est ouvert, pratique ». En bas de page on retrouve diverses rubriques en lien avec  l’espace, ensuite on retrouve les différents logos des organisations en partenariat avec la friche. A droite de l’article on retrouve une rubrique avec le nom du commissaire d’exposition Richard Leydier et la production Cabaret aléatoire. La barre de recherche propose des résultats pertinents. Le contenu du site est trop limité car il ne propose que des articles en lien direct avec l’espace, on retrouve des biographies et quelques interviews, mais toujours ayant un lien avec la friche.

Cependant, ce site est une ressource limitée, il n’y a aucune information sur Larry Clark hormis la dernière vague. Pour conclure on peut dire que cet article est une actualité pertinente à propos des œuvres cinématographiques de Larry Clark,  cependant l’article ne parle pas assez de l’artiste pour qu’il prenne la  peine de noter cette référence.

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Deux interviews de Larry Clark!

  Dans cet article, nous nous intéresserons à la comparaison ou à la mise en relation de deux vidéos interviews de Larry Clark, contenues sur les sites viméo.com et youtube.com. Ces deux sites servent à partager des contenus vidéo, de quelques natures que ce soit. (Bien que des restrictions soient évidemment envisageables pour censure du sexe ou de la violence ou des questions de droits d’auteur entre autres). Le site youtube.com est cependant limité quant à la taille de la vidéo, ce qui réduit considérablement le temps autorisé pour celles-ci, alors qu’aucune limite de temps n’est assignée au site viméo.com. Il est par ailleurs possible de visionner certains films de Larry Clark en streaming sur ces deux sites, Ken Park sur viméo et Kids sur youtube, par exemple (Il est cependant difficile de les trouver sur youtube, car ceux-ci sont découpés en plusieurs parties).

  Cette première vidéo est donc disponible sur youtube.com. Elle contient une interview de Larry Clark durant 13 :21 minutes, mise en ligne le 21 mars 2011. Elle revient sur le film Ken Park, sorti en 2002, mais aussi sur le premier film de Larry Clark, Kids, et offre une comparaison des deux films, par leur réalisateur lui-même.

  La vidéo est très intéressante, l’artiste revenant de manière réfléchie sur ses films et leurs sujets respectifs, ses acteurs, ses attentes vis-à-vis de son travail global… Il y explique que ces histoires sont inspirées de faits réels qu’il a directement ou non vécues, dans son enfance ou plus particulièrement lors de son adolescence à Tulsa Oklahoma, et de la vie de personnes qu’il a connues, côtoyées et qui lui étaient proches, ses amis et sa famille. Larry Clark explique la façon dont il a choisi ses acteurs, en fonction de leur vécu, de ses personnages. Il ne les voulait pas connus avant de tourner dans ses films, il revient donc sur la façon dont ce sont déroulés les tournages de par ce fait. Il revient bien sûr sur les polémiques à propos de ces œuvres, en les expliquant de manière précise, par rapport à ce qu’il en attendait et pour quelles raisons il a choisi de réaliser ses films de cette manière, ou de photographier ces sujets, représentés de manière crue mais réaliste et non idéalisée. Il imagine ce que l’avenir peut lui réserver en lien avec son travail, mais aussi ce que ses films ont pu changer pour les jeunes adultes et les adolescents qu’il appelle communément les « kids » et la façon dont les choses pourraient évoluer pour eux, grâce à son travail.

  Malheureusement, la vidéo n’est disponible qu’en anglais, non traduite et non sous-titrée, ne la rendant pas accessible à tous.

http://vimeo.com/54551502 

  La seconde vidéo est donc disponible sur viméo.com. Elle nous présente également une interview de Larry Clark, cependant celle-ci dure un peu 4 :00 minutes et a été publiée en décembre 2012. Le réalisateur parle ici de son travail plutôt comme pour une rétrospective, contrairement à la première vidéo, où il parlait de son travail plutôt au présent. Il revient plus particulièrement sur le film Marfa Girl. Il a avant tout souhaité faire ce film (et tous les autres films en général, ainsi que ses photographies), pour que les personnes qui le voient soient au courant de la vie de ces jeunes et adolescents du Texas. Selon lui, personne ne connaitrait leur mode de vie, s’il n’avait pas choisi de le mettre à jour pour le public. Larry Clark se souvient de la façon dont s’est déroulé le tournage avec ces jeunes adolescents qui n’avaient encore jamais fait de cinéma et avec lesquels il a adoré travailler.  Il revient brièvement sur sa série « Tulsa », réalisée en 1968, en y expliquant à nouveau ses intentions et les raisons qui l’ont poussé à faire cette collection de photographies abordant à nouveau les sujets de la violence et de la sexualité adolescente débridée.

  En résumée, ces deux vidéos reviennent de manière très complète sur le travail de Larry Clark, et se complètent entre elles, abordant à elles deux la plupart de ses films et de son travail de réalisateur, mais aussi son travail de photographes. Le fait que ce soient des interviews crédibilisent également ces contenus, puisque c’est ici l’artiste même qui revient sur ses polémiques, et non des propos rapportés !

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Nothing like Larry Clark

La page intitulée « Nothing Like Larry Clark », contenue sur le site theseamericans.com possède des photos de l’artiste qu’il est difficile de trouver ailleurs, celles-ci étant assez rares, et de surcroit en couleur. On peut y observer un total de quatorze photographies traitant visiblement du sujet de l’adolescence, mais de manière plus « sage » que ce que l’on a l’habitude de voir en ce qui concerne Larry Clark. Les adolescents y sont vêtus, dans des positions suggestives mais non directement sexuelles. On peut sentir qu’une certaine tension ou un certain malaise y sont palpable, cependant, aucune violence directe n’y est montrée. Certaines photos montrent tout simplement les jeunes gens endormis.

Ainsi, la page sur Larry Clark possède peu de contenu, mais celui-ci reste intéressant puisqu’il est peu accessible dans d’autres ressources. Malheureusement, aucun cartel n’accompagne les photographies, ni aucune indication, source ou même titre, ce qui pousse à se demander si les sources sont fiables, lorsque l’on ne connait pas bien l’artiste.

Le design du site est très agréable. Au premier abord, il semble difficile d’accès car on ne comprend pas très bien à quoi correspondent les différentes catégories. Cependant, il suffit de naviguer rapidement sur le site pour se familiariser avec celui-ci et lui trouver tout son intérêt.

Le site en lui-même est une grande banque d’images en tout genre, sur le thème assez vaste de l’Amérique et de sa culture. Il contient de très nombreuses catégories qui n’ont pas de réel sens, ce qui n’est pas gênant, au contraire, cela semble ludique. L’on peut choisir parmi les catégories d’images proposées, sur la page d’accueil, ou choisir une catégorie plus vaste, classées par mots clés principaux. Il est toutefois regrettable de ne pas pouvoir enregistrer les images. Il est cependant également possible de chercher un thème ou mot clé précis et de notre choix grâce à la barre de recherche très efficace ! Une newsletter est disponible, ainsi que des liens vers les réseaux sociaux.

Cette banque d’image est donc à recommander, bien que le contenu à propos de Larry Clark soit assez pauvre, et mal référencié, les photographies disponibles sont malgré tout intéressante à consulter ! Le contenu général du site est quant à lui très riche. Il est, de plus, facile d’utilisation si l’on se penche dessus, comprenant très rapidement son fonctionnement !

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Larry Clark: A great american rebel

  Le site filmdeculte.com nous propose un article écrit par Guillaume Massart et traitant d’un documentaire rétrospective réalisé par le documentariste Eric Dahan, « Larry Clark : a great american rebel », suite à une exposition ayant eu lieu à New York. L’article nous présente brièvement l’auteur de ce documentaire et décrit ce dernier comme étant « précieux car rare ». Il s’ouvre sur la citation de propos réellement négatifs et très crus vis-à-vis du travail de Larry Clark, ce qui renforce la mise en valeur du film présenté.

Larry Clark

  Ce qui est ici intéressant, c’est que cet article ne dépeint pas ici une exposition, un film ou le personnage de Larry Clark en lui-même, mais nous présente un contenu traitant de ces sujets. Cependant, il résume de manière claire et concise le portrait du personnage que l’on connait avant tout pour ses polémiques avant de le connaitre pour son passé ou pour sa propre vision de son travail. L’ensemble de son œuvre photographique et cinématographique y est également rappelée. Cela nous permet malgré tout de ne pas nous y perdre, et d’avoir une idée du contenu du documentaire, même si l’on n’a aucune idée de qui est Larry Clark, en tant que professionnel mais aussi en tant que « personne ».

  L’article arbore quelques photographies prises par Larry Clark, dont certaines restent très peu connues du public, ayant été prises avant qu’il ne devienne célèbre et n’ayant jamais (ou très peu) été exposées. Une fiche technique du documentaire en question ouvre de plus la page contenant l’article.

  Le site filmdeculte.com concerne le monde du cinéma en général. Il contient des fiches détaillées de films, ainsi que des actualités cinématographiques et des critiques de films. Le site se veut plutôt une base de données filmiques plus qu’une ressource cinématographique dans la mesure où il ne propose pas de bandes annonce ou de vidéos interview, mais des contenus textuels, et uniquement écrits.

Le site au premier abord ne fait pas très sérieux, son design et son interface visuelle n’étant pas très travaillés. Cependant, ses contenus sont fiables et sérieux, en ce qui concerne les critiques et fiche détaillées des films. La page ne prend quant à elle pas tout l’écran, mais seulement la moitié. Cela empêche le sentiment de saturation que l’on peut ressentir en voyant un trop plein d’onglets et d’informations à la fois. Cependant, cela rend la lecture compliquée, car la taille de la police est de ce fait très réduite, tout comme les images que l’on aimerait plus grandes. Quelques publicités sont présentes, mais cela ne gêne pas plus que cela la navigation. De plus, elles sont toutes en lien avec le monde du cinéma (vente de DVD par de célèbres boutiques en ligne…).

  Le site ne possède pas réellement d’outils particuliers, quelques liens sur les côtés des pages renvoient à d’autres articles pouvant intéresser ou faisant l’actualité, une rubrique jeux-concours est disponible mais aucun outil spécifique ne rend le site indispensable.

  Pour conclure, ce site peut être intéressant pour ce genre de situations, où les contenus à propos de  Larry Clark, par exemple, sont rares, difficiles d’accès ou assez redondants. Ici, les sources sont vérifiables, et le sujet n’est que peu abordé sur d’autres ressources. Cependant, en ce qui concerne une recherche avancée dans le domaine du cinéma, je ne conseillerais pas la consultation de ce site, qui semble selon moi à vérifier en profondeur.

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ken Park « Un caillou dans la chaussure hollywoodienne »

Le Quotidien du Cinéma propose une critique composée de deux avis réalisés par Remi Boîteux et Benjamin Thomas. Ces deux avis sont bien différents et traitent tous deux de Ken Park, qui est l’une des œuvres cinématographique majeure de Larry Clark.

La première critique est extrêmement subjective, c’est un avis personnel sur le film et le ressenti de l’auteur. L’auteur explique ce qu’il a pu comprendre du film Ken Park et émet une interprétation personnelle. Il tente d’expliquer pourquoi Larry Clark a fait le choix de quatre personnages et en quoi la fin est la clef de la compréhension du film. Cependant tout cela reste très subjectif. Le langage est même parfois très vulgaire et tranchant. Ce  n’est pas un professionnel mais un amateur de cinéma  qui a écrit ; cependant, le propos reste cohérent. On peut dire que cet avis fut publié  peu après le visionnage du film. D’ailleurs, Rémi Boîteux ne se prive pas de dévoiler la fin du film ainsi que quelques passages clefs. Pour conclure son avis, il nous révèle avoir été « lessivé, remué et nettoyé »

La seconde critique, celle de Benjamin, est beaucoup plus construite. Il introduit son avis en resituant Larry Clark pour les moins connaisseurs, explique les thématiques de l’artiste, la jeunesse, l’égoïsme, la désillusion et le sexe. Il évoque ses précédents films Kids et Bully puis les compare à Ken Park. Contrairement à Rémi Boîteux, l’auteur ne se mouille pas vraiment. Il émet des hypothèses et fait des constats sans développer véritablement son opinion. Il dévoile quelques traits des personnages mais sans rentrer dans le détail. Ainsi, il incite le lecteur à visionner le film.

Ces deux avis ne proposent rien en plus, hormis une critique et une invitation à voir le film. Il n’y a pas de photos, de liens ni de références fiables. Ce sont de simples avis personnels.

Le quotidien du cinéma est un site français totalement dédié au cinéma que ce soit les sorties en salle, DVD ou Blue-ray. Il propose des résumés, critiques, analyses filmiques et interviews. Le site a un bon nombre d’avis, beaucoup de contenu mais qui ne sont pas toujours de bonne qualité. Les critiques sont postées en tant qu’avis, ainsi le contenu n’est pas toujours fiable.

L’interface visuel est basique mais  extrêmement dynamique grâce aux couleurs rouge, noir, gris, blanc et jaune. Cependant la page où se trouvent ces avis semble avoir quelques problèmes. Les images ne s’affichent, et on se retrouve agressé par un flot de publicité. Pour l’accueil, la barre est divisée en plusieurs catégories « accueil, critique, lien, recherche, portrait, interview ». La navigation est compliquée car la barre de recherche propose trop de résultats, il n’y a pas de tri ; il est donc difficile de retrouver sa page initiale sans historique. Il y a beaucoup trop de contenu.

Pour conclure on peut dire que cette ressource est intéressante à lire, mais elle n’est pas fiable et ne doit pas servir de source pour un devoir important. De plus la navigation est compliquée car les problèmes de server sont récurrents.

 

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Marfa Girl, « Une frontière entre moralité et voyeurisme »

      Débordement est un site indépendant  qui propose une critique sur  le film Marfa girl de Larry Clark. L’article s’intitule « Marfa girl, Larry Clark ». L’article est récent il fût posté  en février  2013 par Adrienne Boutang.

       Adrienne Boutang introduit  son article en présentant la démarche qu’entreprît Larry Clark en  proposant Marfa girl en streaming. Cependant son article se concentre sur les enjeux du film ainsi que sur les thématiques propres à Larry Clark: la dérive de l’adolescence, les premières expériences sexuelles… La critique se fonde sur cette frontière entre moralité et voyeurisme dont fait preuve Larry Clark en abordant ces thèmes.

    L’auteur compose sa critique autour de 4 parties. Dans «  Rouler, jeunesse », l’auteur émet  son avis sur le sujet du film, l’adolescence, la rapidité de cette période, les expériences. Puis poursuit en décrivant la musique et le rythme entraînant du film. Dans une seconde partie, « caméra baladeuse », elle émet une critique sur la technique et la manière dont Larry Clark a choisi de tourner son film. Cela nous apprend pourquoi Larry Clark emploie souvent les gros plans, et pourquoi il décide de faire balader sa caméra. Ensuite, l’auteur émet une critique sur la nudité des corps dans une troisième partie. Elle parle de « froid ressenti », quand elle évoque l’intimité troublante  des scènes sexuelles et de cette caméra intrusive. Cela provoque un malaise chez le spectateur.  Enfin Adrienne Boutang clôture son article  avec une dernière  partie « ça circule ». Elle critique les dialogues, le choix d’un jeu volontairement amateur. Elle fait  alors une synthèse des qualités et faiblesses  du film et expose son point de vue de manière subtile. Ainsi l’article s’achève avec une comparaison avec le film Ken Park et la fin du film Marfa girl.

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      Cet article est long mais très complet.  Il cible essentiellement le cinéphile et amateur de cinéma.  C’est une critique précise qui s’appuie sur des exemples et des arguments concrets. L’auteur emploie parfois un vocabulaire technique mais toujours abordable. Cette critique s’adresse à un public ayant vu le film car l’auteur ne se prive pas de raconter des passages clefs ainsi que la fin du film. Malheureusement le lecteur n’est pas averti des éventuels « spoils ».  Visuellement on peut dire que l’article est bien organisé, il est divisé en plusieurs parties et paragraphes. L’auteur a également pris le soin d’alterner ses parties avec des photos prises sur le tournage de Marfa girl permettant une  lecture plus agréable et un texte bien aéré.  On ne retrouve pas de lien mais une rubrique   « intituler dans la même rubrique » qui n’a aucun lien avec Larry Clark.

      Le site Débordements est un site indépendant et relativement récent, seulement 3 ans d’activité.  C’est un site exclusivement basé sur tout ce qui touche de prêt de loin au cinéma, films, séries tv, costumes…  Le site traite seulement de sujets tabous et de  films qui ont fait scandale ou qui font parler d’eux. Le site est sérieux et les articles sont bien réalisés par des journalistes. Cependant il y a très peu d’informations sur le site en lui-même. La ressource est intéressante mais il y peu d’articles mais ceux-ci sont de très bonne qualité.  On retrouve seulement un article sur Larry Clark qui traite donc du film Marfa girl.

     L’interface visuelle est neutre, très épurée. Les couleurs sont sobres avec un mélange de  blanc et un ton marron. Il n’y a pas de fantaisies, cela contraste avec les sujets abordés. Cependant la page d’accueil est très originale. Il n’y a pas de publicités ou toutes formes de promotion. Ainsi, le lecteur n’est pas parasité et distrait par des offres promotionnelles. Le site propose simplement des articles et critiques de films. Il n’y a pas vraiment de ligne directrice. L’interface est divisée en de simples parties, une actualité qui propose les article les plus récents, critiques et éditos. Une partie entretien avec les diverses interviews, puis  les liens vers d’autres sites et une partie recherche. Il n’y a pas de barre de recherche. Chaque partie est sur une même ligne. On peut dire que le site est un peu rustique. Le site est français et la langue proposée est uniquement  le français.  En bas de page on retrouve le plan du site, se connecter qui n’est accessible qu’au journaliste.

      Pour conclure on peut dire que l’article est utile mais que ce site n’est pas d’une très grande utilité pour des recherches plus précises et plus importantes. De plus cet article s’adresse à un public connaisseur et averti de Larry Clark et du cinéma en général.

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Ken Park en Intégralité sur Vimeo

Le site vimeo offre au visiteur la possibilité de découvrir le film Ken Park en intégralité.

Le film propose un tableau provocant d’adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques.

Un sujet de prédilection pour Larry Clark, qui le traite dans une cinématographie en adéquation avec sa démarche photographique. L’artiste se révèle encore une fois provocateur, dans une veine plus délurée encore que Kids ou Bully.

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Tulsa, 1971 – sur vimeo

Grace à Vimeo, le visiteur peut parcourir librement la monographie Tulsa, parue en 1971. La vidéo est simple, et efficace. Elle permet ainsi de se familiariser davantage avec l’oeuvre de l’artiste et de développer une vue d’ensemble de cette œuvre majeure qui engagera toute la démarche future de Larry Clark. On peut ainsi véritablement se rendre compte de ce rapport omniprésent à l’adolescence. Larry Clark lui même dit qu’il s’agit pour lui d’une véritable autobiographie, et ici, en effet on se rend de toute l’authenticité de l’oeuvre de l’artiste.

Le site vimeo.com est un site de partage de vidéos, tout comme Youtube ou Dailymotion. Toutefois, rien que par son interface soignée le visiteur se rend compte que le site aspire à un point de vue plus sérieux. En effet, le contenu disponible sur vimeo est en général plus fiable que sur les deux autres sites. la plupart des ressources sérieuses utilisent cet outil pour partager leurs documents vidéos. L’interface est simple et facile d’accès. Si l’on cherche à partager des contenus, afin d’avoir l’air crédible, il semble plus indiqué de le faire avec vimeo.

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La nudité adolescente dans l’art: les corps du délit

Le site Slate.fr nous offre un article détaillé traitant du rapport au corps adolescent dans l’art. Ecrit par Quentin Girard et publié le 24 septembre 2010, cet article répond notamment à l’interdiction d’accès aux moins de 18 ans à l’exposition Kiss The Past Hello de Larry Clark qui eut lieu en 2011 au MAM de la ville de Paris. Ainsi, il apporte une vision critique autour de la censure voire de l’auto-censure de certaines expositions à caractère « pornographique ». L’auteur s’attache ainsi à nous expliquer le dilemme de l’institution muséale mais aussi et surtout des gouvernements face à la nudité adolescente dans l’art. L’auteur insiste sur cette censure qui bloque l’accès des expositions aux personnes au contraire les plus concernés. De ce fait, l’interdiction visant Larry Clark illustre parfaitement ce propos. Quentin Girard, nous donne plusieurs exemples de censure par rapport à cette question de la nudité (ou de la sexualité adolescente) qui selon certains toucherait à la pédophilie. Ainsi, l’auteur nous rappelle la « difficulté actuelle de représenter ce corps », de même qu’il regrette que la censure se fasse autour de la création artistique, alors que les contenus pornographiques sont très facilement accessibles par Internet. L’article apporte un contenu riche et argumenté, munis d’exemples qui soutiennent le propos de l’auteur. Il s’inscrit ainsi dans une des problématiques importantes de Larry Clark autour de cette représentation si crue qu’il offre de cette dérive adolescente. Des liens dans l’article renvoie à des photos de Clark, issues de l’exposition.

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Le site Slate est un web-magazine d’informations. Ces dernières sont multiples et variées. Les sujets y sont nombreux et toujours abordés en profondeur. La page d’acceuil de Slate présente le site comme une véritable magazine d’informations – elle fait office de « Une » en quelque sorte. Les rubriques en haut de la page, traduise de même cette idée. Elle sont au nombre de huit : France, Monde, Économie, Culture, Life, Photos, Revue de Web, Santé. Outre les catégories, cette page est très concentrée en informations. Elle se présente en longueur, et les actualités sont réparties selon des diverses fenêtres.

Chaque catégories proposent un grand nombre d’articles. Il est ainsi évident que le site a pour but de cibler la recherche. Le visiteur ne lit pas tout d’un coup mais seulement ce qui l’intéresse d’ou l’intérêt de mettre en place ces rubriques et autres fenêtres d’informations. La barre de recherche est complète, cette recherche se fait suivant des articles, ou des thématiques. Pour ce qui est de Larry Clark, beaucoup d’articles nous sont proposés, la plupart traitant de l’interdiction de l’exposition Kiss The Past Hello. Cela nous rappelant ainsi que le site est plus orienté actualités « générales » que art, culture ou même sport. Il s’agit en effet de délivrer des informations détaillées et réfléchies sur des sujets partagés mais en aucun cas de procéder à une recherche universitaire ou très approfondie. De même, les articles ne sont disponibles qu’en français.

Ainsi, l’avantage de ce site est qu’il propose des contenus aussi variés que détaillés. Les articles y sont attractifs et intéressants, souvent assez longs. Il ne s’agit pas d’aller vers une recherche extrêmement pointue mais de se familiariser avec des observations de journalistes qui peuvent s’avérer fines. L’autre élément intéressant chez Slate est que les articles fournissent pour la majore partie des liens renvoyant à d’autres articles ou encore à des photos, des vidéos etc. Toutefois, le design choisi par le site ne met pas immédiatement en confiance le visiteur qui pourrait de prime abord penser à un magazine féminin ou d’actualités très orientées. De plus, son caractère trop étoffé peut décourager le lecteur. Ainsi, une solution possible et de suivre Slate sur Facebook, sur Twitter ou encore de souscrire à une newsletter afin de ne trier et ne lire que les actualités qui intéresse le lecteur, sans pour autant aller dans une recherche spécifique.

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