Archives de Tag: drogues

ken Park « Un caillou dans la chaussure hollywoodienne »

Le Quotidien du Cinéma propose une critique composée de deux avis réalisés par Remi Boîteux et Benjamin Thomas. Ces deux avis sont bien différents et traitent tous deux de Ken Park, qui est l’une des œuvres cinématographique majeure de Larry Clark.

La première critique est extrêmement subjective, c’est un avis personnel sur le film et le ressenti de l’auteur. L’auteur explique ce qu’il a pu comprendre du film Ken Park et émet une interprétation personnelle. Il tente d’expliquer pourquoi Larry Clark a fait le choix de quatre personnages et en quoi la fin est la clef de la compréhension du film. Cependant tout cela reste très subjectif. Le langage est même parfois très vulgaire et tranchant. Ce  n’est pas un professionnel mais un amateur de cinéma  qui a écrit ; cependant, le propos reste cohérent. On peut dire que cet avis fut publié  peu après le visionnage du film. D’ailleurs, Rémi Boîteux ne se prive pas de dévoiler la fin du film ainsi que quelques passages clefs. Pour conclure son avis, il nous révèle avoir été « lessivé, remué et nettoyé »

La seconde critique, celle de Benjamin, est beaucoup plus construite. Il introduit son avis en resituant Larry Clark pour les moins connaisseurs, explique les thématiques de l’artiste, la jeunesse, l’égoïsme, la désillusion et le sexe. Il évoque ses précédents films Kids et Bully puis les compare à Ken Park. Contrairement à Rémi Boîteux, l’auteur ne se mouille pas vraiment. Il émet des hypothèses et fait des constats sans développer véritablement son opinion. Il dévoile quelques traits des personnages mais sans rentrer dans le détail. Ainsi, il incite le lecteur à visionner le film.

Ces deux avis ne proposent rien en plus, hormis une critique et une invitation à voir le film. Il n’y a pas de photos, de liens ni de références fiables. Ce sont de simples avis personnels.

Le quotidien du cinéma est un site français totalement dédié au cinéma que ce soit les sorties en salle, DVD ou Blue-ray. Il propose des résumés, critiques, analyses filmiques et interviews. Le site a un bon nombre d’avis, beaucoup de contenu mais qui ne sont pas toujours de bonne qualité. Les critiques sont postées en tant qu’avis, ainsi le contenu n’est pas toujours fiable.

L’interface visuel est basique mais  extrêmement dynamique grâce aux couleurs rouge, noir, gris, blanc et jaune. Cependant la page où se trouvent ces avis semble avoir quelques problèmes. Les images ne s’affichent, et on se retrouve agressé par un flot de publicité. Pour l’accueil, la barre est divisée en plusieurs catégories « accueil, critique, lien, recherche, portrait, interview ». La navigation est compliquée car la barre de recherche propose trop de résultats, il n’y a pas de tri ; il est donc difficile de retrouver sa page initiale sans historique. Il y a beaucoup trop de contenu.

Pour conclure on peut dire que cette ressource est intéressante à lire, mais elle n’est pas fiable et ne doit pas servir de source pour un devoir important. De plus la navigation est compliquée car les problèmes de server sont récurrents.

 

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Ken Park en Intégralité sur Vimeo

Le site vimeo offre au visiteur la possibilité de découvrir le film Ken Park en intégralité.

Le film propose un tableau provocant d’adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques.

Un sujet de prédilection pour Larry Clark, qui le traite dans une cinématographie en adéquation avec sa démarche photographique. L’artiste se révèle encore une fois provocateur, dans une veine plus délurée encore que Kids ou Bully.

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La nudité adolescente dans l’art: les corps du délit

Le site Slate.fr nous offre un article détaillé traitant du rapport au corps adolescent dans l’art. Ecrit par Quentin Girard et publié le 24 septembre 2010, cet article répond notamment à l’interdiction d’accès aux moins de 18 ans à l’exposition Kiss The Past Hello de Larry Clark qui eut lieu en 2011 au MAM de la ville de Paris. Ainsi, il apporte une vision critique autour de la censure voire de l’auto-censure de certaines expositions à caractère « pornographique ». L’auteur s’attache ainsi à nous expliquer le dilemme de l’institution muséale mais aussi et surtout des gouvernements face à la nudité adolescente dans l’art. L’auteur insiste sur cette censure qui bloque l’accès des expositions aux personnes au contraire les plus concernés. De ce fait, l’interdiction visant Larry Clark illustre parfaitement ce propos. Quentin Girard, nous donne plusieurs exemples de censure par rapport à cette question de la nudité (ou de la sexualité adolescente) qui selon certains toucherait à la pédophilie. Ainsi, l’auteur nous rappelle la « difficulté actuelle de représenter ce corps », de même qu’il regrette que la censure se fasse autour de la création artistique, alors que les contenus pornographiques sont très facilement accessibles par Internet. L’article apporte un contenu riche et argumenté, munis d’exemples qui soutiennent le propos de l’auteur. Il s’inscrit ainsi dans une des problématiques importantes de Larry Clark autour de cette représentation si crue qu’il offre de cette dérive adolescente. Des liens dans l’article renvoie à des photos de Clark, issues de l’exposition.

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Le site Slate est un web-magazine d’informations. Ces dernières sont multiples et variées. Les sujets y sont nombreux et toujours abordés en profondeur. La page d’acceuil de Slate présente le site comme une véritable magazine d’informations – elle fait office de « Une » en quelque sorte. Les rubriques en haut de la page, traduise de même cette idée. Elle sont au nombre de huit : France, Monde, Économie, Culture, Life, Photos, Revue de Web, Santé. Outre les catégories, cette page est très concentrée en informations. Elle se présente en longueur, et les actualités sont réparties selon des diverses fenêtres.

Chaque catégories proposent un grand nombre d’articles. Il est ainsi évident que le site a pour but de cibler la recherche. Le visiteur ne lit pas tout d’un coup mais seulement ce qui l’intéresse d’ou l’intérêt de mettre en place ces rubriques et autres fenêtres d’informations. La barre de recherche est complète, cette recherche se fait suivant des articles, ou des thématiques. Pour ce qui est de Larry Clark, beaucoup d’articles nous sont proposés, la plupart traitant de l’interdiction de l’exposition Kiss The Past Hello. Cela nous rappelant ainsi que le site est plus orienté actualités « générales » que art, culture ou même sport. Il s’agit en effet de délivrer des informations détaillées et réfléchies sur des sujets partagés mais en aucun cas de procéder à une recherche universitaire ou très approfondie. De même, les articles ne sont disponibles qu’en français.

Ainsi, l’avantage de ce site est qu’il propose des contenus aussi variés que détaillés. Les articles y sont attractifs et intéressants, souvent assez longs. Il ne s’agit pas d’aller vers une recherche extrêmement pointue mais de se familiariser avec des observations de journalistes qui peuvent s’avérer fines. L’autre élément intéressant chez Slate est que les articles fournissent pour la majore partie des liens renvoyant à d’autres articles ou encore à des photos, des vidéos etc. Toutefois, le design choisi par le site ne met pas immédiatement en confiance le visiteur qui pourrait de prime abord penser à un magazine féminin ou d’actualités très orientées. De plus, son caractère trop étoffé peut décourager le lecteur. Ainsi, une solution possible et de suivre Slate sur Facebook, sur Twitter ou encore de souscrire à une newsletter afin de ne trier et ne lire que les actualités qui intéresse le lecteur, sans pour autant aller dans une recherche spécifique.

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LARRY CLARK – TULSA, 1963-1971

Clark photographie toujours les jeunes qui l’entourent. Il est le témoin dénué de tout jugement moral et le protagoniste de son autobiographie en images.

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« Je suis né à Tulsa, Oklahoma en 1943. j’ai commencé à me shooter aux amphétamines à 16 ans. je me suis shooté tous les jours, pendant trois ans, avec des copains, puis j’ai quitté la ville mais je suis revenu. Une fois que l’aiguille est rentrée, elle ne ressort plus. » Larry Clark, Tulsa, 1971

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Cet article issu du site de la Maison Européenne de la photographie constitue une source intéressante en ce qui concerne Larry Clark. Il s’agit d’une de présentation de l’oeuvre de l’artiste et plus particulièrement de l’exposition qui eut lieu à la Maison de la Photographie, en 2008. Le contenu se présente comme un brève biographie et apporte des précisions sur la démarche photographique de Larry Clark, notamment autour de sa première monographie Tulsa (publiée en 1963). l’auteur nous rappelle ainsi que l’artiste s’intéresse des ses débuts, à la possibilité de raconter des récits par le biais de la photographie. C’est dans l’univers de l’adolescence que Larry Clark exaltera ce projet en mettant en scène « Des photographies interdites, des photos qu’on n’était pas censé faire, d’une vie qui n’était pas censée avoir lieu ». Ces photographies sont à la fois un journal intime et un document rare sur l’ennui et la misère de l’Amérique profonde. Outre l’article, un diaporama photographique (issu de Tulsa) égaie et illustre parfaitement le propos de l’auteur. À coté de cela, le site nous propose d’autres articles issus de la rubrique « Kaléidoscope ».

De prime abord, le site de la maison européenne de la photographie de la ville de Paris est très bien construit, il est constitué d’un grand nombre de rubriques. Tout d’abord la page d’accueil est claire, sans fioritures, le design est épuré et l’interface respire. Cette dernière est constitué en majore partie par des articles sur les expositions en cours à la Maison de la Photographie. Comme évoqué précédemment, l’information variée est largement étayée par les nombreuses catégories, cela permettant une recherche d’autant plus sérieuse et pointue. Les catégories sont au nombre de quatre : « La MEP« , « Infos pratiques« , « Programmation« , « Kaléidoscope« , et « Nos Soutiens« . A chacune d’elles sont subordonnées de nombreuses sous-catégories.

Dans le cas de la MEP – Une présentation du projet de la Maison de la Photographie permet au visiteur de s’entendre sur la démarche de cette organisation « muséale ». Un organigramme permet de se renseigner sur la direction, les services généraux et les activités proposés par la Maison. La rubrique Infos-pratiques est bien organisée est permet donc de connaitre les Tarifs, les Horaires et les lieux des expositions. La catégorie Programmation propose de nombreux widgets, complets afin d’effectuer une recherche approfondie, suivant le lieu, la date, ou le type d’évènements. La rubrique Kaléidoscope est un peu à part. Elle semble être composée d’informations différentes, bien qu’il s’agisse toujours de traiter des actualités de l’art, et en particulier de la photographie. Les informations présentes ici, sont toujours axées sur l’art et la culture, selon une autre vision et un autre design que les expositions proposées par la MEP. Kaléidoscope est composé de trois sous catégories : Intérêt, Coulisses et Actualités. Une fenêtre sur le coté revient souvent à l’oeil du visiteur, elle s’intitule « Découvrez la MEP » et semble être présente afin que le visiteur ne perde pas de vue l’information.

Le site est disponible en français et en anglais, et il possible de suivre ses actualités sur Facebook ou Twitter (en haut à droite de la page). Un autre signet nous permet de rejoindre les infos-pratiques. La barre de recherche est claire et complète, pour ce qui est de « Larry Clark », le site nous propose cinq résultats. Il s’agit pour la plupart d’articles d’expositions auxquelles Larry Clark a participé, des retrospectives (comme Tulsa), ou des expositions thématiques dans lesquelles ses œuvres ont été exposées. Ces expositions constituant ainsi des informations approfondies sur notre sujet.

Ainsi, le  site de la MEP est facile d’accès, malgré ses nombreuses catégories, qui demeurent parfois un peu floues. Il permet de se renseigner en profondeur sur les expositions et événements à venir à la MEP, mais aussi sur les archives de cette dernière. Ce site semble de ce fait constituer une ressource fiable ou les auteurs des articles sont toujours cités.

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Sous Influences – Vidéo Dailymotion

Cette vidéo dailymotion propose une interview du commissaire de l’exposition et au travers de celle ci, une présentation de l’exposition « Sous Influences » qui a lieu depuis le 15 février et jusqu’au 19 mai 2013 à la Maison Rouge, à Paris. Dans cette exposition, deux œuvres de Larry Clark sont exposées.Son contenu de qualité nous renseigne sur l’exposition et positionne aussi l’artiste face à d’autres arts et techniques de représentation de la drogue et de son utilisation. Le commissaire d’exposition indique ainsi que l’usage de psychotropes relate d’ « un ailleurs à aller chercher, qui est toujours intérieur ». La vidéo dure un peu moins de 10 minuteset s’attache à relater le parcours de l’exposition et les démarches des artistes qui y figurent.

Sur cette même page, plusieurs vidéos nous sont proposées – n’ayant peu voire rien à voir avec le sujet en question. Il est possible de laisser un commentaire sur la vidéo, de la partager (suivant le même principe que YouTube). Cette vidéo est partagée par l’utilisateur «lamaisonrouge» – d’autres vidéos partagées par ce même utilisateur nous sont ainsi proposées. Cela permettant de suivre l’évolution des expositions proposées par la fondation qu’elles soient passées, présentes ou futures.

dailymotion, est une ressource bien connue. Son contenu est très important (tout comme celui de YouTube) et par cela pas toujours fiable ou du moins rarement pointu. Toutefois, comme c’est le cas ici, une vidéo peut être à la fois bien faite et intéressante et peut par cela constituer une ressource fiable et divertissante à la fois. Les avantages proposés par dailymotion sont très vastes bien sur. À commencer par le partage de vidéos, ainsi il est possible de partager et d’insérer des vidéos issus de cette ressource vers d’autres plateformes (WordPress, Pinterest, Blogger, Tumblr, Reddit), ou autres réseaux sociaux (Facebook, Twitter). Des films entiers (souvent en plusieurs parties) sont également visionnables sur cette ressource, difficilement épuisable. Il est possible de créer un compte, afin d’importer et de poster ses propres vidéos ou avoir un accès plus important à des comptes privés. Lorsque l’on crée un compte (comme sur Youtube) la page d’accueil s’adapte à nos visionnages antérieurs (à nos « gouts »). Toutefois, cette page d’accueil se présente différemment de Youtube, en ce qu’elle est composée de rubriques propres (News, Musique, Sport, Cinéma TV…), assez générales mais permettant aussi d‘aller vers une information plus dirigée. La barre de recherche de dailymotion s’organise suivant les « vues » des vidéos, de ce fait les vidéos les plus visionnées par les visiteurs (correspondant un tant soit peu à la recherche bien sur) apparaissent en premier dans les résultats.

Ainsi, dailymotion constitue une ressource variée (trop pour une recherche pointue), mais certains contenus peuvent donner un bon aperçu, et des informations fiables à condition de vérifier l’utilisateur qui les partage (cet élément pouvant souvent jouer dans la crédibilité du contenu).

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« Sous Influences » – à la Maison Rouge

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Le site de la Maison Rouge donne lieu à une présentation de l’exposition Sous Influences (qui a lieu en son sein), dans laquelle sont présentées des photographies de Larry Clark. Cette exposition comme son nom le laisse sous entendre traite de l’usage des stupéfiants (en particulier les psychotropes) et leurs influences dans l’art d’hier et d’aujourd’hui. Ce thème a pour but de mettre en avant des artistes ou des œuvres crées sous l’emprise de drogues ou mettant en scène l’usage de ces dernières. L’article qui concerne l’exposition propose une brève présentation des enjeux de celle ci, et de ses objectifs. Des enjeux, que l’on peut facilement mettre en rapport avec le travail de Larry Clark. Cette présentation permet d’aiguiser nos connaissances sur le sujet mais aussi de comparer ou du moins confronter l’artiste à d’autres projets traitant du rapport de l’art à la drogue. Une vidéo est également présente en complément, elle constitue un ‘Trailer de l’exposition. Ce visuel est agréable (esthétiquement parlant), bien qu‘explicite, il attire aisément la curiosité du spectateur quand au contenu de l’exposition.

Présentation de l’exposition (issue du site de la Maison Rouge).

« A partir du 15 février 2013, la maison rouge présente Sous influences, un ensemble d’œuvres, de documents, de films sur le thème des rapports entre les arts plastiques et les produits psychotropes. Depuis la nuit des temps ou plutôt l’aube de l’humanité, nos semblables ont croisé sur leurs chemins des substances psychoactives, plantes, champignons, macérations diverses et ces rencontres ont entrainé stupéfaction, intoxication, dépendance, accès mystique, soulagement, mort, voire illumination. Les artistes, toujours à la recherche d’accès à la création, de passages, de déclencheurs, de transgressions, de stimulations, de routes vers des imaginaires transmissibles, ne pouvaient guère éviter d’en tenter les effets. »

Le site en lui même présente une interface simple, l’information y est facile d’accès. La Maison Rouge est un espace d’expositions. Créée par Antoine de Galbert, un amateur d’art engagé sur la scène artistique française, la maison rouge est une fondation reconnue. Sa vocation est de promouvoir les différentes formes de la création actuelle au travers de la présentation d’expositions temporaires. La maison rouge invite des commissaires indépendants à explorer la diversité des champs de la recherche artistique actuelle, souvent par le biais de collections privées. La fondation veut, au long des expériences de l’art qu’elle provoque, privilégier la multiplicité des démarches et des pratiques.

La page d’accueil propose un plan de la fondation – les différents espaces qu’elle propose (lieux d’expositions, boutique etc.). Diverses catégories sont proposées : « Fondation » – qui indique les objectifs, et les projets de la fondation, des informations quant à sa création etc. « Exposition » – ou l’on peut découvrir les expositions actuelles, anciennes et futures qu’organise la galerie ainsi que les différents espaces subordonnées à ces dernières. Dans cette rubrique, les informations pratiques sont également présentes (prix des expositions, comment se rendre sur le site de la Maison Rouge etc.) « Publication » qui nous informe que chaque expositions donne lieu à une publication (articles, revues, monographies, catalogues d’expositions). « Presse » qui propose des contacts presse afin de se renseigner plus amplement sur les activités de la fondation. Enfin, « Amis de la fondation » qui concentre des informations pour les personnes qui souhaitent participer à l’amélioration ou à l’expansion de la fondation.

D’autre part, une barre de recherche est disponible, cet outil est complet et revoie à des résultats hors du site (ayant un rapport toujours direct avec la recherche, surtout si il s’agit d’une exposition). Bien que le site ne dispose pas d’un grands nombres d’archives et d’informations internes, on notera toutefois que chaque dossier de presse d’exposition est disponible (en PDF).Cette ressource est également disponible en anglais – il est aussi possible de souscrire à une newsletter afin de rester informé.

Ainsi, les fonctions, objectifs et projets de la fondation sont précisément expliquées, ce qui met en confiance le visiteur qui ne sait pas forcément à quoi s’attendre en parcourant la page d’accueil. Le site a le privilège d’être clair et d’aller droit au but, le visiteur ne risque pas de se perdre dans les catégories et trouve facilement ce qu’il est venu chercher. Cette ressource est ainsi complète et informationnelle. Bien que les contenus soient peu nombreux, ils demeurent fiables.

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Entre contre-culture et controverse

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http://videos.arte.tv/fr/videos/larry-clark-kiss-the-past-hello-1-2–3473156.html

Arte.tv nous propose une vidéo disponible dans la rubrique Arte+7, publiée en octobre 2010, ou Larry Clark commente et explique sa démarche concernant l’exposition Kiss The Past Hello. La vidéo mélange les propos de Larry Clark, illustrés par des photos de l’exposition. L’artiste nous confie ses débuts dans la photographie et ses enjeux au travers de cette rétrospective. Cette vidéo nous livre son implication à la fois dans cette exposition et dans son œuvre photographique dans son ensemble.                                                                Au travers de cette vidéo, l’artiste nous divulgue les problématiques qui l’anime depuis près de 50 ans notamment la dérive adolescente, les « excès inhérents à cet age », et les interdits autour du sexe et de la drogue dans une Amérique conservatrice. Ainsi, Larry Clark se définit ici, comme un « anthropologue visuel ». A la suite de la vidéo, le contenu nous propose une petite introduction sur Larry Clark, sa vie et quelques phrases pour décrire son exposition « Kiss The Past Hello ».                                                                                      La vidéo apparait en premier, ce qui nous permet de comprendre la démarche de l’artiste avant d’en savoir plus. Deux sites sont mis à notre disposition dans l’introduction : le site officiel de Larry Clark et celui du musée d’art moderne de la ville de Paris. Ce qui nous permet de faire un pont vers d’autres ressources importantes qui complèteront l’information. Il est possible de rédiger un commentaire et donner notre avis sur l’exposition et/ou le reportage qu’ils ont mis en ligne. Une rubrique, sur la droite, « En savoir plus » nous amène vers un lien où sont disponibles des photos de Larry Clark (de l’exposition) ; plus bas, se trouvent les « sites référents », à savoir les sites sur lesquels la vidéo a été partagée, et enfin « vidéos du jour » (qui en revanche ne traitent pas de l’exposition).

Arte.tv, fait écho à la chaine Arte qui propose des programmes en grande partie culturels, qui traitent de sujets divers et variés. Les informations sont utiles et fiables même si parfois, très générales. Arte.tv est un site essentiellement composé de vidéos (émissions en replay, reportages uniquement publiés sur le site, documentaires divers). L’interface arte.tv nous propose des la page d’accueil différentes vidéos. Le site se présente comme un journal d’informations sous forme de vidéos, classés selon différentes catégories : Vidéo du jour, Événement, (re)voir sur arte etc. Concernant les rubriques à notre disposition, le site nous en propose huit : ARTE (page d’accueil  – ARTE+7 (revoir des programmes) – ARTE Live Web (vidéos exclusivement posté sur le net) – ARTE Creative (autour de la création visuelle contemporaine) – ARTE Radio – VOD (une rubrique de vidéos à la demande) – Boutique et Pro (une page professionnelle). Le site est disponible en deux langues : français et allemand, il est également possible de suivre l’actualité arte avec Facebook et Twitter.

Le design épuré met en confiance le visiteur, toutefois, la lisibilité est parfois difficile. En effet, les informations sont trop condensées. Le classement des rubriques n’est pas toujours perceptible du fait de leur grand nombre. Cependant, la barre de recherche (présente dans chaque rubriques) nous permet d’accéder à des résultats différents mais toujours pertinents. Notons que la barre de recherche de la page d’accueil reste la plus complète et nous propose davantage de résultats.

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