Archives de Tag: exposition

Galerie Luhring Augustine

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Nous allons consacrer cet article au site officiel de LuhringAugustine.com et nous allons nous intéresser plus particulièrement à sa rubrique « Exhibitions« , à savoir les photographies de l’exposition (le site est en anglais). Trente deux photographies de l’exposition sont affichées sur un fond blanc qui les met en valeur. Les photographies sont suivies d’un article de presse sur Larry Clark et son exposition Luhring Augustine. L’interface visuelle est très simple, épurée, et claire. Nous avons aussi accès à sept autres pages : « Accueil », « Artistes », « Nouveautés », « La galerie », « Magasin », « Privée », « Contact »

Quelques mots sur le site dans son ensemble : la présentation de l’interface visuelle est toujours aussi épurée avec le fond blanc toujours présent qui illustre les dernières expositions (où l’on peut accéder directement en cliquant directement sur la page « Expositions » que nous avons cité précédemment). Il en est de même pour les nouveautés et les artistes qui sont présents en grand sur la page d’accueil.

En somme, ce site est plaisant à parcourir de par sa sobriété et sa présentation simple.

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« Bref, on pose »

 

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Paris-art.com nous présente une critique de l’exposition Kiss The Past Hello par le critique d’art Paul Brannac. Le critique est clairement contre la censure de l’exposition qui a eu lieu mais surtout, il est contre le fait de faire passer les œuvres de cette exposition de Larry Clark comme des œuvres d’art incontournables : « Cette manière de fausse proximité est assurément l’aspect le plus désagréable de son travail ». Paul Brannac n’est pas un grand admirateur des œuvres de Larry Clark, au cas ou on ne l’aurait pas compris. Des photographies de l’exposition (à droite de l’article) illustrent les propos du critique. Encore à droite de cela, nous avons des informations qui ne concernent pas Larry Clark ou son exposition.

Le site en lui-même, est assez chargé (nous parlons de l’accueil) avec divers photographies et quelques commentaires. Il y a neuf catégories sur le haut de la page : « Now », « Art », « Photo », « Design », « Danse », « Livres », « Interviews », « Lieux », « Créateurs », ainsi que six pages en dessous : « Aujourd’hui » (les dernières actualités), « Expositions », « Événements », « Spectacles », « Vernissages », « Editos ». C’est vraiment un site spécialisé en art qui peut nous permettre d’acquérir une certaine connaissance dans l’actualité artistique.

Malgré une page d’accueil un peu chargée (concernant le contenu et visuellement), paris-art.com est un site incontournable dans le milieu artistique.

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« La dernière vague »

     Lafriche.org est un site  culturel qui nous propose un article qui évoque Larry Clark.  Cet article s’intitule la dernière vague, il s’agit d’une exposition qui aura lieu dans la Tour-panorama de la Friche la Belle de Mai à Marseille, dans le cadre du festival « this is (not) music » le 23 avril 2013 . Cet article présente l’exposition qui regroupe plusieurs artistes, autour de la photographie, du graphisme, de la sculpture.

Cet article explique les ambitions de la dernière vague, montrant les cultures de l’Amérique du nord, telles que le surf, le skateboard aujourd’hui bien mondialisées. Ainsi c’est un court article qui propose de manière très bref le contenu de l’exposition. Une photo intéressante illustre l’article.  Larry Clark est mentionné une seul fois en tant qu’artiste  majeur de ces thèmes. Malgré le fait qu’il soit peu cité nous avons trouvé pertinent de s’attarder sur cet article qui propose une actualité concernant Larry Clark.

L’article explique la manière dont les œuvres seront abordées. L’espace de l’exposition est spacieux (plus de 2500m2) avec une vingtaine de pièces. Larry Clark sera exposé en compagnie de 57 autres artistes.

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 Le site la friche.org est le site officiel de la friche de belle mai qui est un espace culturel à Marseille, regroupant salles de spectacle et d’expositions. Le site est bien organisé l’interface visuel est agréable et simple. On retrouve plusieurs catégories « agenda, projets, la friche, frichiste, c’est ouvert, pratique ». En bas de page on retrouve diverses rubriques en lien avec  l’espace, ensuite on retrouve les différents logos des organisations en partenariat avec la friche. A droite de l’article on retrouve une rubrique avec le nom du commissaire d’exposition Richard Leydier et la production Cabaret aléatoire. La barre de recherche propose des résultats pertinents. Le contenu du site est trop limité car il ne propose que des articles en lien direct avec l’espace, on retrouve des biographies et quelques interviews, mais toujours ayant un lien avec la friche.

Cependant, ce site est une ressource limitée, il n’y a aucune information sur Larry Clark hormis la dernière vague. Pour conclure on peut dire que cet article est une actualité pertinente à propos des œuvres cinématographiques de Larry Clark,  cependant l’article ne parle pas assez de l’artiste pour qu’il prenne la  peine de noter cette référence.

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« Larry Clark interdit, Larry Clark censuré… »

Cet article issu de vogue.fr traite de l’exposition qui a eu lieu au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris : Kiss The Past Hello. Il est question de l’interdiction qui a été imposée aux mineurs sur cette exposition en particulier de l’artiste alors que comme on le dit dans l’article : « Pourtant l’oeuvre de Clark est connue et reconnue depuis de nombreuses années. » La page propose juste au dessus de l’article une photographie (issue de l’exposition) qui illustre celui-ci. On peut penser que les flèches qui se trouvent à gauche et à droite de la photographie vont nous montrer d’autres photographies de l’exposition, et que nous sommes face à un petit diaporama ; or les flèches nous dirigent vers l’article qui précède (ou qui suit) celui sur Larry Clark, sans aucun rapport avec ce dernier.

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Toujours sur vogue.fr, nous pouvons avoir accès au diaporama (le vrai) de l’exposition Kiss The Past Hello. Les photographies sont accompagnées d’informations utiles (titre, date, lieu de conservation). Nous avons la possibilité de voir quatorze photographies, ce qui nous donne une petite idée du genre de photographies que l’on pouvait trouver à l’exposition (pour ceux qui ne seraient pas allés le voir).

Vogue.fr est un site (et aussi un magasine) principalement consacré à la mode. Par conséquent, les différentes rubriques qui nous sont proposées sont en lien avec des vêtements ou tout ce qui a un rapport avec le monde de la mode. Ceci-dit, à ce niveau là, vogue.fr est un site qui convient parfaitement. Nous avons donc : « Version mobile », « Mode », « Défilés », « Look Books », « Enfants », « Beauté », « Bijoux », « Culture », « Photo », « Soirées », « Vidéo », « Vogue Homme » et beaucoup d’autres…

Enfin, nous pouvons dire que l’article est quand même assez complet, du moins concernant l’exposition. Il offre un bref résumé mais qui permet de se faire une petite idée de la problématique autour de l’exposition, ce qui pourrait sembler étonnant pour certains venant d’un site de mode (même si la mode est étroitement liée à l’art).

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« Autour de l’extrême »

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L’article issu du site de la mep-fr.org commence par un diaporama (cinq photographies). Une exposition photographique à la Maison Européenne de la Photographie qui réunit de nombreuses œuvres d’artistes contemporains dont Larry Clark. Le texte qui suit le diaporama commente l’exposition en la remplaçant dans son contexte actuel. L’article ne traite pas de Larry Clark en particulier (le diaporama ne montre pas de photographies de Larry Clark par exemple). Il n’est que cité car il a participé à l’exposition.

Le site en lui-même est spécialisé dans la photographie. Les catégories qui sont présentes sur la page d’accueil sont classées par artistes. Les rubriques du menu sont : « La MEP », « Infos pratiques », « Programmation », « Kaleidoscope », « Nos soutiens ». Nous pouvons choisir d’utiliser ce site en français ou en anglais.

Pour terminer, nous pouvons dire que le site de la MEP est un site intéressant car il est spécialisé dans la photographie et il englobe les artistes européens. Par contre, comme nous avons pu le voir, si vous cherchez des informations sur les œuvres de Larry Clark ou Larry Clark lui-même, vous ne les trouverez pas sur ce site. Il vous permettra surtout de faire un pont ou de comparer plusieurs artistes avec Larry Clark. 

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Une critique de l’exposition « Tulsa »

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  Une critique artistique de la collection de photographies Tulsa est mise à notre disposition sur le site paris-art.com. Cette critique est donc un article positif mettant en avant l’exposition Tulsa. Etienne Helmer, l’auteur de cet article, nous y décrit l’exposition qu’il a lui-même visitée, en décrivant brièvement la disposition par thème des photographies au sein de l’exposition. Il y explique les raisons de ces agencements en lien avec sa propre vision face au travail de Larry Clark.

L’exposition Tulsa, 1963-1971 dont il est ici question a eu lieu du 10 octobre au 8 janvier 2008, à la Maison Européenne de la photo. La collection Tulsa y était donc exposée, et répartie sur deux salles. L’article revient assez bien sur les enjeux de Larry Clark à travers cette série, expliquant clairement ses intentions. (A savoir, retranscrire à travers ses œuvres, son propre vécu et ses propres expériences, face à la violence, à la drogue et au sexe, dans sa ville natale qu’est Tulsa, et dont la société n’évolue pas. Ce n’est pas une vision moralisatrice face à la jeunesse comme l’on pourrait s’y attendre, puisque Larry Clark l’a lui-même vécu, comme nous l’explique l’auteur).

L’article ne possède pas réellement de contenu supplémentaire, à part de photos de la série Tulsa, accompagnant les propos de l’auteur. Cependant, l’une des photographies (citée dans l’article), est accolée de deux liens renvoyant vers des articles censés être contenus sur le même site et concernant les autres expositions de Larry Clark ayant eu lieu à Paris, à savoir, « Kiss the Past Hello » et « Sous Influence ». Malheureusement, ces deux liens sont vides et renvoient vers des pages du site qui ne contiennent aucune ressource.

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  Le site Paris-art.com propose des critiques et actualités concernant le domaine de l’art en général, mais aussi plus particulièrement : photographie, design, danse, littérature et livres, interviews d’artistes… Il présente les évènements, spectacles et expositions en cours et passées en France en mettant à disposition une fiche détaillée ainsi qu’une critique de celle-ci. Des actualités concernant les  eux-mêmes sont disponibles.

  L’interface visuelle laisse cependant à désirer. En effet, les couleurs sont assez mal choisies, le rouge étant omniprésent sur un fond blanc, ce qui est assez agressif visuellement. De plus, un grand nombre de publicités en banderole et défilantes laisse au premier abord à penser que le site n’est pas forcément très sérieux (cependant, ce n’est pas le cas, le site et ses articles sont fiables). Elles sont situées sur l’ensemble de la page, et n’ont pas d’emplacement spécifique, si bien que l’on ne sait pas toujours quelles banderoles sont des publicités extérieures au site et lesquelles peuvent avoir un certain intérêt « artistique ». Un certain nombre de liens en bas de page renvoient à des sites de musées ou à des institutions artistiques, accueillant des expositions.

  Il est possible de suivre le site sur les réseaux sociaux facebook et twitter. Les différents domaines évoqués plus haut dans l’article correspondent aux différentes rubriques disponibles sur le site, cependant les rubriques « lieux » et « créateurs » sont également mis à disposition. Un point intéressant est à noter : la barre de recherche est extrêmement efficace, car très précises. Elle se fait par mots clés mais également par rubrique, (on peut en cocher plusieurs si on le souhaite). On peut également classer les recherches par date (que l’on peut écrire soi-même de manière exacte), par auteur, par ordre alphabétique… Cela rend la recherche dans le site plus facile et plus efficace.

  Pour conclure, la critique de l’exposition Tulsa est très intéressante, car positive, mais objective et complète. Par ailleurs, le site possède un grand nombre de contenus fiables, cependant l’arrivée sur ce site peut être rébarbative, car peu travaillée.

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La nudité adolescente dans l’art: les corps du délit

Le site Slate.fr nous offre un article détaillé traitant du rapport au corps adolescent dans l’art. Ecrit par Quentin Girard et publié le 24 septembre 2010, cet article répond notamment à l’interdiction d’accès aux moins de 18 ans à l’exposition Kiss The Past Hello de Larry Clark qui eut lieu en 2011 au MAM de la ville de Paris. Ainsi, il apporte une vision critique autour de la censure voire de l’auto-censure de certaines expositions à caractère « pornographique ». L’auteur s’attache ainsi à nous expliquer le dilemme de l’institution muséale mais aussi et surtout des gouvernements face à la nudité adolescente dans l’art. L’auteur insiste sur cette censure qui bloque l’accès des expositions aux personnes au contraire les plus concernés. De ce fait, l’interdiction visant Larry Clark illustre parfaitement ce propos. Quentin Girard, nous donne plusieurs exemples de censure par rapport à cette question de la nudité (ou de la sexualité adolescente) qui selon certains toucherait à la pédophilie. Ainsi, l’auteur nous rappelle la « difficulté actuelle de représenter ce corps », de même qu’il regrette que la censure se fasse autour de la création artistique, alors que les contenus pornographiques sont très facilement accessibles par Internet. L’article apporte un contenu riche et argumenté, munis d’exemples qui soutiennent le propos de l’auteur. Il s’inscrit ainsi dans une des problématiques importantes de Larry Clark autour de cette représentation si crue qu’il offre de cette dérive adolescente. Des liens dans l’article renvoie à des photos de Clark, issues de l’exposition.

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Le site Slate est un web-magazine d’informations. Ces dernières sont multiples et variées. Les sujets y sont nombreux et toujours abordés en profondeur. La page d’acceuil de Slate présente le site comme une véritable magazine d’informations – elle fait office de « Une » en quelque sorte. Les rubriques en haut de la page, traduise de même cette idée. Elle sont au nombre de huit : France, Monde, Économie, Culture, Life, Photos, Revue de Web, Santé. Outre les catégories, cette page est très concentrée en informations. Elle se présente en longueur, et les actualités sont réparties selon des diverses fenêtres.

Chaque catégories proposent un grand nombre d’articles. Il est ainsi évident que le site a pour but de cibler la recherche. Le visiteur ne lit pas tout d’un coup mais seulement ce qui l’intéresse d’ou l’intérêt de mettre en place ces rubriques et autres fenêtres d’informations. La barre de recherche est complète, cette recherche se fait suivant des articles, ou des thématiques. Pour ce qui est de Larry Clark, beaucoup d’articles nous sont proposés, la plupart traitant de l’interdiction de l’exposition Kiss The Past Hello. Cela nous rappelant ainsi que le site est plus orienté actualités « générales » que art, culture ou même sport. Il s’agit en effet de délivrer des informations détaillées et réfléchies sur des sujets partagés mais en aucun cas de procéder à une recherche universitaire ou très approfondie. De même, les articles ne sont disponibles qu’en français.

Ainsi, l’avantage de ce site est qu’il propose des contenus aussi variés que détaillés. Les articles y sont attractifs et intéressants, souvent assez longs. Il ne s’agit pas d’aller vers une recherche extrêmement pointue mais de se familiariser avec des observations de journalistes qui peuvent s’avérer fines. L’autre élément intéressant chez Slate est que les articles fournissent pour la majore partie des liens renvoyant à d’autres articles ou encore à des photos, des vidéos etc. Toutefois, le design choisi par le site ne met pas immédiatement en confiance le visiteur qui pourrait de prime abord penser à un magazine féminin ou d’actualités très orientées. De plus, son caractère trop étoffé peut décourager le lecteur. Ainsi, une solution possible et de suivre Slate sur Facebook, sur Twitter ou encore de souscrire à une newsletter afin de ne trier et ne lire que les actualités qui intéresse le lecteur, sans pour autant aller dans une recherche spécifique.

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LARRY CLARK – TULSA, 1963-1971

Clark photographie toujours les jeunes qui l’entourent. Il est le témoin dénué de tout jugement moral et le protagoniste de son autobiographie en images.

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« Je suis né à Tulsa, Oklahoma en 1943. j’ai commencé à me shooter aux amphétamines à 16 ans. je me suis shooté tous les jours, pendant trois ans, avec des copains, puis j’ai quitté la ville mais je suis revenu. Une fois que l’aiguille est rentrée, elle ne ressort plus. » Larry Clark, Tulsa, 1971

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Cet article issu du site de la Maison Européenne de la photographie constitue une source intéressante en ce qui concerne Larry Clark. Il s’agit d’une de présentation de l’oeuvre de l’artiste et plus particulièrement de l’exposition qui eut lieu à la Maison de la Photographie, en 2008. Le contenu se présente comme un brève biographie et apporte des précisions sur la démarche photographique de Larry Clark, notamment autour de sa première monographie Tulsa (publiée en 1963). l’auteur nous rappelle ainsi que l’artiste s’intéresse des ses débuts, à la possibilité de raconter des récits par le biais de la photographie. C’est dans l’univers de l’adolescence que Larry Clark exaltera ce projet en mettant en scène « Des photographies interdites, des photos qu’on n’était pas censé faire, d’une vie qui n’était pas censée avoir lieu ». Ces photographies sont à la fois un journal intime et un document rare sur l’ennui et la misère de l’Amérique profonde. Outre l’article, un diaporama photographique (issu de Tulsa) égaie et illustre parfaitement le propos de l’auteur. À coté de cela, le site nous propose d’autres articles issus de la rubrique « Kaléidoscope ».

De prime abord, le site de la maison européenne de la photographie de la ville de Paris est très bien construit, il est constitué d’un grand nombre de rubriques. Tout d’abord la page d’accueil est claire, sans fioritures, le design est épuré et l’interface respire. Cette dernière est constitué en majore partie par des articles sur les expositions en cours à la Maison de la Photographie. Comme évoqué précédemment, l’information variée est largement étayée par les nombreuses catégories, cela permettant une recherche d’autant plus sérieuse et pointue. Les catégories sont au nombre de quatre : « La MEP« , « Infos pratiques« , « Programmation« , « Kaléidoscope« , et « Nos Soutiens« . A chacune d’elles sont subordonnées de nombreuses sous-catégories.

Dans le cas de la MEP – Une présentation du projet de la Maison de la Photographie permet au visiteur de s’entendre sur la démarche de cette organisation « muséale ». Un organigramme permet de se renseigner sur la direction, les services généraux et les activités proposés par la Maison. La rubrique Infos-pratiques est bien organisée est permet donc de connaitre les Tarifs, les Horaires et les lieux des expositions. La catégorie Programmation propose de nombreux widgets, complets afin d’effectuer une recherche approfondie, suivant le lieu, la date, ou le type d’évènements. La rubrique Kaléidoscope est un peu à part. Elle semble être composée d’informations différentes, bien qu’il s’agisse toujours de traiter des actualités de l’art, et en particulier de la photographie. Les informations présentes ici, sont toujours axées sur l’art et la culture, selon une autre vision et un autre design que les expositions proposées par la MEP. Kaléidoscope est composé de trois sous catégories : Intérêt, Coulisses et Actualités. Une fenêtre sur le coté revient souvent à l’oeil du visiteur, elle s’intitule « Découvrez la MEP » et semble être présente afin que le visiteur ne perde pas de vue l’information.

Le site est disponible en français et en anglais, et il possible de suivre ses actualités sur Facebook ou Twitter (en haut à droite de la page). Un autre signet nous permet de rejoindre les infos-pratiques. La barre de recherche est claire et complète, pour ce qui est de « Larry Clark », le site nous propose cinq résultats. Il s’agit pour la plupart d’articles d’expositions auxquelles Larry Clark a participé, des retrospectives (comme Tulsa), ou des expositions thématiques dans lesquelles ses œuvres ont été exposées. Ces expositions constituant ainsi des informations approfondies sur notre sujet.

Ainsi, le  site de la MEP est facile d’accès, malgré ses nombreuses catégories, qui demeurent parfois un peu floues. Il permet de se renseigner en profondeur sur les expositions et événements à venir à la MEP, mais aussi sur les archives de cette dernière. Ce site semble de ce fait constituer une ressource fiable ou les auteurs des articles sont toujours cités.

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Sous Influences – Vidéo Dailymotion

Cette vidéo dailymotion propose une interview du commissaire de l’exposition et au travers de celle ci, une présentation de l’exposition « Sous Influences » qui a lieu depuis le 15 février et jusqu’au 19 mai 2013 à la Maison Rouge, à Paris. Dans cette exposition, deux œuvres de Larry Clark sont exposées.Son contenu de qualité nous renseigne sur l’exposition et positionne aussi l’artiste face à d’autres arts et techniques de représentation de la drogue et de son utilisation. Le commissaire d’exposition indique ainsi que l’usage de psychotropes relate d’ « un ailleurs à aller chercher, qui est toujours intérieur ». La vidéo dure un peu moins de 10 minuteset s’attache à relater le parcours de l’exposition et les démarches des artistes qui y figurent.

Sur cette même page, plusieurs vidéos nous sont proposées – n’ayant peu voire rien à voir avec le sujet en question. Il est possible de laisser un commentaire sur la vidéo, de la partager (suivant le même principe que YouTube). Cette vidéo est partagée par l’utilisateur «lamaisonrouge» – d’autres vidéos partagées par ce même utilisateur nous sont ainsi proposées. Cela permettant de suivre l’évolution des expositions proposées par la fondation qu’elles soient passées, présentes ou futures.

dailymotion, est une ressource bien connue. Son contenu est très important (tout comme celui de YouTube) et par cela pas toujours fiable ou du moins rarement pointu. Toutefois, comme c’est le cas ici, une vidéo peut être à la fois bien faite et intéressante et peut par cela constituer une ressource fiable et divertissante à la fois. Les avantages proposés par dailymotion sont très vastes bien sur. À commencer par le partage de vidéos, ainsi il est possible de partager et d’insérer des vidéos issus de cette ressource vers d’autres plateformes (WordPress, Pinterest, Blogger, Tumblr, Reddit), ou autres réseaux sociaux (Facebook, Twitter). Des films entiers (souvent en plusieurs parties) sont également visionnables sur cette ressource, difficilement épuisable. Il est possible de créer un compte, afin d’importer et de poster ses propres vidéos ou avoir un accès plus important à des comptes privés. Lorsque l’on crée un compte (comme sur Youtube) la page d’accueil s’adapte à nos visionnages antérieurs (à nos « gouts »). Toutefois, cette page d’accueil se présente différemment de Youtube, en ce qu’elle est composée de rubriques propres (News, Musique, Sport, Cinéma TV…), assez générales mais permettant aussi d‘aller vers une information plus dirigée. La barre de recherche de dailymotion s’organise suivant les « vues » des vidéos, de ce fait les vidéos les plus visionnées par les visiteurs (correspondant un tant soit peu à la recherche bien sur) apparaissent en premier dans les résultats.

Ainsi, dailymotion constitue une ressource variée (trop pour une recherche pointue), mais certains contenus peuvent donner un bon aperçu, et des informations fiables à condition de vérifier l’utilisateur qui les partage (cet élément pouvant souvent jouer dans la crédibilité du contenu).

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« Sous Influences » – à la Maison Rouge

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Le site de la Maison Rouge donne lieu à une présentation de l’exposition Sous Influences (qui a lieu en son sein), dans laquelle sont présentées des photographies de Larry Clark. Cette exposition comme son nom le laisse sous entendre traite de l’usage des stupéfiants (en particulier les psychotropes) et leurs influences dans l’art d’hier et d’aujourd’hui. Ce thème a pour but de mettre en avant des artistes ou des œuvres crées sous l’emprise de drogues ou mettant en scène l’usage de ces dernières. L’article qui concerne l’exposition propose une brève présentation des enjeux de celle ci, et de ses objectifs. Des enjeux, que l’on peut facilement mettre en rapport avec le travail de Larry Clark. Cette présentation permet d’aiguiser nos connaissances sur le sujet mais aussi de comparer ou du moins confronter l’artiste à d’autres projets traitant du rapport de l’art à la drogue. Une vidéo est également présente en complément, elle constitue un ‘Trailer de l’exposition. Ce visuel est agréable (esthétiquement parlant), bien qu‘explicite, il attire aisément la curiosité du spectateur quand au contenu de l’exposition.

Présentation de l’exposition (issue du site de la Maison Rouge).

« A partir du 15 février 2013, la maison rouge présente Sous influences, un ensemble d’œuvres, de documents, de films sur le thème des rapports entre les arts plastiques et les produits psychotropes. Depuis la nuit des temps ou plutôt l’aube de l’humanité, nos semblables ont croisé sur leurs chemins des substances psychoactives, plantes, champignons, macérations diverses et ces rencontres ont entrainé stupéfaction, intoxication, dépendance, accès mystique, soulagement, mort, voire illumination. Les artistes, toujours à la recherche d’accès à la création, de passages, de déclencheurs, de transgressions, de stimulations, de routes vers des imaginaires transmissibles, ne pouvaient guère éviter d’en tenter les effets. »

Le site en lui même présente une interface simple, l’information y est facile d’accès. La Maison Rouge est un espace d’expositions. Créée par Antoine de Galbert, un amateur d’art engagé sur la scène artistique française, la maison rouge est une fondation reconnue. Sa vocation est de promouvoir les différentes formes de la création actuelle au travers de la présentation d’expositions temporaires. La maison rouge invite des commissaires indépendants à explorer la diversité des champs de la recherche artistique actuelle, souvent par le biais de collections privées. La fondation veut, au long des expériences de l’art qu’elle provoque, privilégier la multiplicité des démarches et des pratiques.

La page d’accueil propose un plan de la fondation – les différents espaces qu’elle propose (lieux d’expositions, boutique etc.). Diverses catégories sont proposées : « Fondation » – qui indique les objectifs, et les projets de la fondation, des informations quant à sa création etc. « Exposition » – ou l’on peut découvrir les expositions actuelles, anciennes et futures qu’organise la galerie ainsi que les différents espaces subordonnées à ces dernières. Dans cette rubrique, les informations pratiques sont également présentes (prix des expositions, comment se rendre sur le site de la Maison Rouge etc.) « Publication » qui nous informe que chaque expositions donne lieu à une publication (articles, revues, monographies, catalogues d’expositions). « Presse » qui propose des contacts presse afin de se renseigner plus amplement sur les activités de la fondation. Enfin, « Amis de la fondation » qui concentre des informations pour les personnes qui souhaitent participer à l’amélioration ou à l’expansion de la fondation.

D’autre part, une barre de recherche est disponible, cet outil est complet et revoie à des résultats hors du site (ayant un rapport toujours direct avec la recherche, surtout si il s’agit d’une exposition). Bien que le site ne dispose pas d’un grands nombres d’archives et d’informations internes, on notera toutefois que chaque dossier de presse d’exposition est disponible (en PDF).Cette ressource est également disponible en anglais – il est aussi possible de souscrire à une newsletter afin de rester informé.

Ainsi, les fonctions, objectifs et projets de la fondation sont précisément expliquées, ce qui met en confiance le visiteur qui ne sait pas forcément à quoi s’attendre en parcourant la page d’accueil. Le site a le privilège d’être clair et d’aller droit au but, le visiteur ne risque pas de se perdre dans les catégories et trouve facilement ce qu’il est venu chercher. Cette ressource est ainsi complète et informationnelle. Bien que les contenus soient peu nombreux, ils demeurent fiables.

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