Archives de Tag: film

Larry Clark dans « Purple Fashion Magazine »

Art and Smoke est un site Américain, qui publie essentiellement  des photos de magazine. Les sujets abordés  sont la mode, le cinéma et l’art contemporainUn article y est consacré pour Larry Clark. A travers les photos on peut voir qu’une dizaine de pages, lui sont accordées dans le Purple magazine. L’article présente d’abord Larry clark en tant que légende du cinéma et explique  les ambitions de son film Marfa girl.

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La particularité de ce site Art and Smoke  est de présenter des pages de magazine. La démarche  est simple et permet d’offrir  un aperçu du contenu du magazine au lecteur. Il n’y a pas vraiment d’article sur cette page mais l’on retrouve un petit résumé qui expose rapidement le contenu de Purple Magazine.

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L’interface du site est simple et moderne. La barre d’outil est situé à gauche, il y a plusieurs catégories « about, books, submission calls, print shop, Amazone store, phographers et contact ». On remarque qu’il y a une catégorie commerciale, ainsi ce site, fait essentiellement de la publicité à Certains livres et magazines. La navigation est agréable, cependant le site n’est proposé qu’en Anglais. Il n’y a pas de véritable article, cette ressource est créée pour vendre  des livres, des photos et des magazines en relation avec les artistes.

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Pour conclure on peut dire que le visuel prime sur le texte. Cette ressource a  avant tout un rôle commercial plutôt que pédagogique. Cependant le site est agréable et propose des magazines, livres et  liens vers des sources plus approfondis.

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Larry Clark « le choc 42×42 »

Blended, propose un article intitulé “Larry Clark, Abel Ferrara, Harmony Korine…le choc 42×42”.  il s’agit de la marque de vodka 42BelowTM qui a sponsorisé 42 réalisateurs lors  du Festival du court métrage One Dream Rush à Beijing, en Chine en 2009. Larry Clark en faisant parti, il était pertinent de parler de ce festival.

L’article explique les contraintes qu’on imposa aux réalisateurs. Ils devaient réaliser des films de 42 secondes ayant pour sujet « le monde du rêve ». L’article s’attarde davantage sur Larry Clark et Harmony Korine (qui a travaillé sur le scénario de Ken Park ), et les œuvres  des réalisateurs furent présentées au Musée national du film chinois à Pékin.

L’article est assez court, il est divisé en deux par une vidéo. Cette vidéo regroupe quelques courts métrages des 42 réaliateurs diffusés pendant le festival. (Kenneth Anger, Asia Argento, Tadanobu Asano, Sergei Bodrov, Charles Burnett, Brian Butler, Jonathan Caouette, Leos Carax, Niki Caro, Yung Chang, Michele Civetta, Larry Clark, Joe Coleman, Zachary Croitoroo, Abel Ferrara, Mike Figgis, James Franco, Chris Graham, Florian Habicht, Rinko Kikuchi, Terence Koh, Harmony Korine, David Lynch, Griffin Marcus, Charlyn Marshall, Ryan McGinley, Rajan Mehta, Jonas Mekas, Chris Milk, Grant Morrison,Charlotte Kemp Muhl & Sean Lennon, Gaspar Noé, Dee Poon, Matt Pyke, Carlos Reygadas, Lola Schnabel, Floria Sigismondi, Mote Sinabel, Taika Waititi, Arden Wohl, Lou Ye and Zhang Yuan)

Blended est site dédié à l’art contemporain. Le contenu est sérieux et  la qualité des articles est une bonne référence. L’interface du site est vivante et agréable. Le site a préféré rester sur du noir et blanc avec une typographie élégante. On a à faire à une ressource moderne, bien présentée et efficace. On  retrouve même une radio  qui rend la navigation plus agréable. Il est  également possible de suivre les actualités de Blended sur Facebook et Twitter, mais aussi de souscrire à une newsletter. Cependant, la barre de recherche nous propose des résultats pas toujours en lien avec l’artiste, le spectateur doit faire le tri lui-même.

Pour conclure on peut dire que Blended est un site fiable cependant il est important de filtrer l’information.

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ken Park « Un caillou dans la chaussure hollywoodienne »

Le Quotidien du Cinéma propose une critique composée de deux avis réalisés par Remi Boîteux et Benjamin Thomas. Ces deux avis sont bien différents et traitent tous deux de Ken Park, qui est l’une des œuvres cinématographique majeure de Larry Clark.

La première critique est extrêmement subjective, c’est un avis personnel sur le film et le ressenti de l’auteur. L’auteur explique ce qu’il a pu comprendre du film Ken Park et émet une interprétation personnelle. Il tente d’expliquer pourquoi Larry Clark a fait le choix de quatre personnages et en quoi la fin est la clef de la compréhension du film. Cependant tout cela reste très subjectif. Le langage est même parfois très vulgaire et tranchant. Ce  n’est pas un professionnel mais un amateur de cinéma  qui a écrit ; cependant, le propos reste cohérent. On peut dire que cet avis fut publié  peu après le visionnage du film. D’ailleurs, Rémi Boîteux ne se prive pas de dévoiler la fin du film ainsi que quelques passages clefs. Pour conclure son avis, il nous révèle avoir été « lessivé, remué et nettoyé »

La seconde critique, celle de Benjamin, est beaucoup plus construite. Il introduit son avis en resituant Larry Clark pour les moins connaisseurs, explique les thématiques de l’artiste, la jeunesse, l’égoïsme, la désillusion et le sexe. Il évoque ses précédents films Kids et Bully puis les compare à Ken Park. Contrairement à Rémi Boîteux, l’auteur ne se mouille pas vraiment. Il émet des hypothèses et fait des constats sans développer véritablement son opinion. Il dévoile quelques traits des personnages mais sans rentrer dans le détail. Ainsi, il incite le lecteur à visionner le film.

Ces deux avis ne proposent rien en plus, hormis une critique et une invitation à voir le film. Il n’y a pas de photos, de liens ni de références fiables. Ce sont de simples avis personnels.

Le quotidien du cinéma est un site français totalement dédié au cinéma que ce soit les sorties en salle, DVD ou Blue-ray. Il propose des résumés, critiques, analyses filmiques et interviews. Le site a un bon nombre d’avis, beaucoup de contenu mais qui ne sont pas toujours de bonne qualité. Les critiques sont postées en tant qu’avis, ainsi le contenu n’est pas toujours fiable.

L’interface visuel est basique mais  extrêmement dynamique grâce aux couleurs rouge, noir, gris, blanc et jaune. Cependant la page où se trouvent ces avis semble avoir quelques problèmes. Les images ne s’affichent, et on se retrouve agressé par un flot de publicité. Pour l’accueil, la barre est divisée en plusieurs catégories « accueil, critique, lien, recherche, portrait, interview ». La navigation est compliquée car la barre de recherche propose trop de résultats, il n’y a pas de tri ; il est donc difficile de retrouver sa page initiale sans historique. Il y a beaucoup trop de contenu.

Pour conclure on peut dire que cette ressource est intéressante à lire, mais elle n’est pas fiable et ne doit pas servir de source pour un devoir important. De plus la navigation est compliquée car les problèmes de server sont récurrents.

 

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Marfa Girl, « Une frontière entre moralité et voyeurisme »

      Débordement est un site indépendant  qui propose une critique sur  le film Marfa girl de Larry Clark. L’article s’intitule « Marfa girl, Larry Clark ». L’article est récent il fût posté  en février  2013 par Adrienne Boutang.

       Adrienne Boutang introduit  son article en présentant la démarche qu’entreprît Larry Clark en  proposant Marfa girl en streaming. Cependant son article se concentre sur les enjeux du film ainsi que sur les thématiques propres à Larry Clark: la dérive de l’adolescence, les premières expériences sexuelles… La critique se fonde sur cette frontière entre moralité et voyeurisme dont fait preuve Larry Clark en abordant ces thèmes.

    L’auteur compose sa critique autour de 4 parties. Dans «  Rouler, jeunesse », l’auteur émet  son avis sur le sujet du film, l’adolescence, la rapidité de cette période, les expériences. Puis poursuit en décrivant la musique et le rythme entraînant du film. Dans une seconde partie, « caméra baladeuse », elle émet une critique sur la technique et la manière dont Larry Clark a choisi de tourner son film. Cela nous apprend pourquoi Larry Clark emploie souvent les gros plans, et pourquoi il décide de faire balader sa caméra. Ensuite, l’auteur émet une critique sur la nudité des corps dans une troisième partie. Elle parle de « froid ressenti », quand elle évoque l’intimité troublante  des scènes sexuelles et de cette caméra intrusive. Cela provoque un malaise chez le spectateur.  Enfin Adrienne Boutang clôture son article  avec une dernière  partie « ça circule ». Elle critique les dialogues, le choix d’un jeu volontairement amateur. Elle fait  alors une synthèse des qualités et faiblesses  du film et expose son point de vue de manière subtile. Ainsi l’article s’achève avec une comparaison avec le film Ken Park et la fin du film Marfa girl.

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      Cet article est long mais très complet.  Il cible essentiellement le cinéphile et amateur de cinéma.  C’est une critique précise qui s’appuie sur des exemples et des arguments concrets. L’auteur emploie parfois un vocabulaire technique mais toujours abordable. Cette critique s’adresse à un public ayant vu le film car l’auteur ne se prive pas de raconter des passages clefs ainsi que la fin du film. Malheureusement le lecteur n’est pas averti des éventuels « spoils ».  Visuellement on peut dire que l’article est bien organisé, il est divisé en plusieurs parties et paragraphes. L’auteur a également pris le soin d’alterner ses parties avec des photos prises sur le tournage de Marfa girl permettant une  lecture plus agréable et un texte bien aéré.  On ne retrouve pas de lien mais une rubrique   « intituler dans la même rubrique » qui n’a aucun lien avec Larry Clark.

      Le site Débordements est un site indépendant et relativement récent, seulement 3 ans d’activité.  C’est un site exclusivement basé sur tout ce qui touche de prêt de loin au cinéma, films, séries tv, costumes…  Le site traite seulement de sujets tabous et de  films qui ont fait scandale ou qui font parler d’eux. Le site est sérieux et les articles sont bien réalisés par des journalistes. Cependant il y a très peu d’informations sur le site en lui-même. La ressource est intéressante mais il y peu d’articles mais ceux-ci sont de très bonne qualité.  On retrouve seulement un article sur Larry Clark qui traite donc du film Marfa girl.

     L’interface visuelle est neutre, très épurée. Les couleurs sont sobres avec un mélange de  blanc et un ton marron. Il n’y a pas de fantaisies, cela contraste avec les sujets abordés. Cependant la page d’accueil est très originale. Il n’y a pas de publicités ou toutes formes de promotion. Ainsi, le lecteur n’est pas parasité et distrait par des offres promotionnelles. Le site propose simplement des articles et critiques de films. Il n’y a pas vraiment de ligne directrice. L’interface est divisée en de simples parties, une actualité qui propose les article les plus récents, critiques et éditos. Une partie entretien avec les diverses interviews, puis  les liens vers d’autres sites et une partie recherche. Il n’y a pas de barre de recherche. Chaque partie est sur une même ligne. On peut dire que le site est un peu rustique. Le site est français et la langue proposée est uniquement  le français.  En bas de page on retrouve le plan du site, se connecter qui n’est accessible qu’au journaliste.

      Pour conclure on peut dire que l’article est utile mais que ce site n’est pas d’une très grande utilité pour des recherches plus précises et plus importantes. De plus cet article s’adresse à un public connaisseur et averti de Larry Clark et du cinéma en général.

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Ken Park en Intégralité sur Vimeo

Le site vimeo offre au visiteur la possibilité de découvrir le film Ken Park en intégralité.

Le film propose un tableau provocant d’adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques.

Un sujet de prédilection pour Larry Clark, qui le traite dans une cinématographie en adéquation avec sa démarche photographique. L’artiste se révèle encore une fois provocateur, dans une veine plus délurée encore que Kids ou Bully.

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Le corps dans Ken Park

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  Le site www.objectif-cinema.com nous propose un article sur le film Ken Park, de Larry Clark, sorti en 2002. Comme l’indique le titre de l’article, le thème traite de la place du corps adolescent et de la sexualité débridée des « kids » comme les surnomme l’artiste, dans la société actuelle. Il se compose de cinq paragraphes, contenus sur deux pages. Chaque paragraphe explique un des différents aspects de ce thème au coeur du film, Ken Park. Le quatrième paragraphe compare Ken Park à un autre film, Shaft 1973, dans la manière de filmer et de présenter les corps mis en scène.

L’article nous rappelle tout d’abord brièvement les enjeux de Larry Clark en tant que cinéaste, mais aussi en tant que photographe, quant à la vision générale du corps adolescent au sein de sa carrière. Ce sujet est en effet celui de prédilection de l’artiste, qui le voit comme primordial dans la société.

L’article est accompagné d’une photographie de Larry Clark, nous donnant une idée du personnage. Un synopsis de Ken Park, écrit par l’artiste lui-même est placé en introduction de l’article, ce qui permet de comprendre ce dernier, même en n’ayant pas vu le film dont il est question. De plus, Larry Clark nous y explique les différences avec son premier film, Kids qui traitait de sujets similaires, mais d’un point de vue différent. L’article est suivi d’un cadre publicitaire contenant des liens pour l’achat de DVD, où l’on peut se fournir Ken Park entre autres. Un second cadre contient un lien censé renvoyer au site officiel du film Ken Park. Malheureusement, celui-ci ne renvoie pas au bon site. Enfin, un dernier cadre présente une filmographie chronologique de Larry Clark.

Le site est selon les propos de ses créateurs, un « webmag entièrement consacré au cinéma« . Il présente des analyses de films, interviews d’acteurs, réalisateurs et techniciens, des biographies et articles concernant des réalisateurs et leurs films. Comme il est précisé dans la rubrique « à propos du site« , celui-ci ne vise pas à faire la promotion de productions. Il cherche à donner directement la parole aux artistes et techniciens travaillant dans le milieu du cinéma. Il vise le plus possible à s’éloigner d’un point de vue commercial, ce qui prouve sa crédibilité. Les créateurs de ce site sont avant tout des passionnés et cherchent à partager leurs connaissances dans le domaine du cinéma. Cependant, la barre de recherche est difficilement accessible. En effet, elle n’est pas très efficace, de plus, plusieurs barres de recherches sont disponibles, certaines renvoyant à des forums ou à des recherches Google. Il est donc assez délicat de naviguer efficacement sur le site dans son ensemble sans perdre de temps.

L’interface visuelle est assez abordable au premier coup d’oeil. En effet, bien qu’un grand nombre d’onglets soient présents, la petite taille de la typographie permet de voir le site dans son ensemble sans avoir besoin de faire défiler l’écran. C’est un côté appréciable lorsque l’on fait un recherche. Cependant, de nombreuses publicités sont présentent sur le site, (un onglet y est d’ailleurs consacré) ce qui perturbe la navigation. Malgré tout, la publicité ne prend pas beaucoup de place, et ne se situe pas en milieu de page, ou ne gêne pas la lecture d’un article. De plus, la plupart des publicités sont liées à ce milieu.

Des widgets sur le côté des pages permettent de renvoyer à d’autres articles proposés par le site, dont la lecture pourrait intéresser, classés en diverses catégories (DVD, livres, musique, ou télévision). Le site propose également plusieurs catégories, classant les différentes analyses filmiques, articles à propos des artistes… L’un des points négatifs de ce site est le choix de la langue, qui n’est disponible qu’en français, ce qui réduit considérablement son accessibilité.

Pour conclure, le site propose des articles et interviews fiables et sérieuses, cependant son interface et sa pagination ne permettent pas une navigation rapide et efficace.

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Next-Libération – «C’est là qu’est le public, c’est là où je vais»

Le site Next Liberation, propose divers articles sur Larry Clark. On peut relever l’article d’ Olivier Séguret, il s’agit d’une interview de Larry Clark concernant la mise en ligne de son dernier film Mafia Girl récompensé au festival de Rome. Le sujet abordé concerne la mise en ligne sur internet du film Mafia Girl. Cet article nous explique la démarche de Larry Clark face à son choix de poster son film sur son site au prix de 5.99$.

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Le journaliste a fait le choix de poster 7 questions autour du tournage : de sa méthode employée, de la diffusion du film, ainsi que la réception de sa démarche rebelle à l’encontre du circuit hollywoodien. Le choix de ses questions apportent des réponses complètent et nous permette de comprendre les intentions de l’artiste. Larry Clark y explique le bon accueil que le film a reçu au festival ainsi que son ressenti pendant le tournage et surtout sa volonté d’exprimer son art sans passer nécessairement par les salles de cinéma. Le journaliste choisi d’illustrer son article d’une simple photo du tournage avec Larry Clark accompagné de Adam Mediano et Mercedes Maxwell. On peut voir que l’article est est relativement court mais efficace. A la fin de cet article, on retrouve une rubrique à « lire aussi » concernant d’autres articles de Larry Clark.

Next Liberation est un site annexé au site Libération.fr. Il faut savoir que Libération.fr est le site français du journal Libération qui traite de l’actualité généraliste. On peut dire que le site Next Liberation est focalisés sur toutes les actualités concernant la mode, la photo, le design, le cinéma etc… Les informations proposées sont fiables et vérifiées mais cela reste des critiques et donc l’information est subjective. L’interface de cette ressource est claire et bien organisée. Le visuel est agréable et sobre. Elle se compose d’une barre de recherche efficace. Les informations recherchées sont pertinentes pour les premiers résultats, après on peut tomber sur des article sans liens directs entre eux. Dans le haut de la page on retrouve des liens qui mène aux différents thèmes abordés du site. Le site est seulement publié en français. L’article n’est donc pas accessible à tous. A droite on peut retrouver plusieurs rubriques avec les différentes actualités du moment. Il y a beaucoup de lien qui envoient le lecteur sur des bandes annonces. A la fin de l’article on retrouve une petite rubrique « fait tourner » avec les widgets Facebook, Twitter et mails, cela nous permet de suivre l’actualité ponctuellement.

Les bas de pages sont occupés par la publicité et des liens promotionnels mais ce n’est pas très gênant. Ainsi cette page s’organise avec un article central accompagné de différentes rubriques en relation ou non avec le sujet. Pour conclure on peut dire que le contenu de la ressource est utile mais parasité par le grand nombre de rubriques qui nous tente à changer de page.

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L’oeuvre de Clark par l’ICP

Le site de l’ICP (International Center of Photography) offre de multiples possibilités de recherche. Pour le cas de Larry Clark, un important contenu nous est proposé. En effet, cette ressource nous apporte des informations variées sur l’auteur, l’article se compose de 5 pages, chacune liée à un thème en particulier. Ainsi, une première page nous renvoie à la biographie de l’auteur – une biographie détaillée et thématique. La seconde et la troisième pages renvoie à des séries photographiques effectuées par l’artiste entre les années 60 et 80, et qui ont données lieu à deux ouvrages monographiques: Le premier, Tulsa paru en 1971 et le second, Teenage Lust datant de 1983. Ces pages insistent sur les enjeux soulevées par les deux séries-livres toujours autour de la question de l’adolescence à la dérivé telle que Clark se plaint à la photographiée. Ces deux contenus permettent de se rendre compte de l’évolution du travail de l’artiste, qui bien qu’il demeure attaché aux mêmes thèmes, apprend à les renouveler sans cesse.Le troisième contenu proposé (la 3ème page) s’intitule Skaters, et renvoie à une autre série photographique de Larry Clark, qui s’attachant encore une fois au domaine de l’adolescence, en donne un nouvel exemple. La série date des années 90 et se constitue de portraits en couleur de jeunes skateboarders. Des figures que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard dans son premier film Kids. Ainsi, cet article nous introduit au travail de Larry Clark entant que cinéaste et c’est le sujet de la dernière page, consacrée donc à sa carrière cinématographique. L’article nous explique comment, l’artiste photographe est devenu une éminente figure du cinéma indépendant.

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Les articles ne sont pas très longs, mais bien condensés, la lecture en est ainsi facilitée, de même que le design agréable proposé par la page. Le contenu propose également en haut à droite, un communiqué de presse qui semble être un élément intéressant à étudier plus profondément – ce communiqué est complet et apporte de nouvelles informations plus précises mais aussi plus rares sur l’artiste et ses différentes expositions. Autre élément intéressant, le site nous informe que l’ICP est en partenariat avec le Pioneer Theater de New York et propose ainsi les horaires des séances de projection en continu des films de Clark. Enfin, la page n’offre que peu de photos illustrant les propos des différents auteurs. Toutefois, une banque d’images plus importante et présente directement sur le site.

L’ICP est avant tout une école de photographie et le site nous introduit donc aux formations possibles et au centre de recherches. Le site de l’ICP est très vaste. Son interface est facile d’accès mais de nombreux éléments sont présents afin d’aller vers une recherche pointue. La page d’accueil est interactive, elle se compose d’une grande bande d’images défilantes et d’un menu condensé et axé sur les actualités de l’ICP. En haut de cette page, le logo de l’institut est présent et renvoie à la page d’accueil, de nombreuses rubriques (VISIT, MUSEUM, SCHOOL, RESEARCH CENTER, STORE etc.) se trouvant au dessous renvoie à des sous rubriques qui permette une recherche plus approfondie.

Une barre de recherche est présente à gauche, dans le cas de Larry Clark, 47 résultats sont disponibles suivant des médiums différents : photos, vidéos, articles, biographies. Ces différents résultats sont corrélés aux rubriques citées plus avant, par exemple selon le résultat de la recherche dans la catégorie MUSEUM, on obtient 30 résultats pour Larry Clark. C’est donc, une ressource qui apporte un contenu important et souvent très pertinent. Toutefois, il n’est disponible qu’en anglais et la trop grande pluralité des contenus et des catégories exploitables peuvent perdre le visiteur et ne pas l’amener au résultat souhaité.

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