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« Autour de l’extrême »

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L’article issu du site de la mep-fr.org commence par un diaporama (cinq photographies). Une exposition photographique à la Maison Européenne de la Photographie qui réunit de nombreuses œuvres d’artistes contemporains dont Larry Clark. Le texte qui suit le diaporama commente l’exposition en la remplaçant dans son contexte actuel. L’article ne traite pas de Larry Clark en particulier (le diaporama ne montre pas de photographies de Larry Clark par exemple). Il n’est que cité car il a participé à l’exposition.

Le site en lui-même est spécialisé dans la photographie. Les catégories qui sont présentes sur la page d’accueil sont classées par artistes. Les rubriques du menu sont : « La MEP », « Infos pratiques », « Programmation », « Kaleidoscope », « Nos soutiens ». Nous pouvons choisir d’utiliser ce site en français ou en anglais.

Pour terminer, nous pouvons dire que le site de la MEP est un site intéressant car il est spécialisé dans la photographie et il englobe les artistes européens. Par contre, comme nous avons pu le voir, si vous cherchez des informations sur les œuvres de Larry Clark ou Larry Clark lui-même, vous ne les trouverez pas sur ce site. Il vous permettra surtout de faire un pont ou de comparer plusieurs artistes avec Larry Clark. 

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ken Park « Un caillou dans la chaussure hollywoodienne »

Le Quotidien du Cinéma propose une critique composée de deux avis réalisés par Remi Boîteux et Benjamin Thomas. Ces deux avis sont bien différents et traitent tous deux de Ken Park, qui est l’une des œuvres cinématographique majeure de Larry Clark.

La première critique est extrêmement subjective, c’est un avis personnel sur le film et le ressenti de l’auteur. L’auteur explique ce qu’il a pu comprendre du film Ken Park et émet une interprétation personnelle. Il tente d’expliquer pourquoi Larry Clark a fait le choix de quatre personnages et en quoi la fin est la clef de la compréhension du film. Cependant tout cela reste très subjectif. Le langage est même parfois très vulgaire et tranchant. Ce  n’est pas un professionnel mais un amateur de cinéma  qui a écrit ; cependant, le propos reste cohérent. On peut dire que cet avis fut publié  peu après le visionnage du film. D’ailleurs, Rémi Boîteux ne se prive pas de dévoiler la fin du film ainsi que quelques passages clefs. Pour conclure son avis, il nous révèle avoir été « lessivé, remué et nettoyé »

La seconde critique, celle de Benjamin, est beaucoup plus construite. Il introduit son avis en resituant Larry Clark pour les moins connaisseurs, explique les thématiques de l’artiste, la jeunesse, l’égoïsme, la désillusion et le sexe. Il évoque ses précédents films Kids et Bully puis les compare à Ken Park. Contrairement à Rémi Boîteux, l’auteur ne se mouille pas vraiment. Il émet des hypothèses et fait des constats sans développer véritablement son opinion. Il dévoile quelques traits des personnages mais sans rentrer dans le détail. Ainsi, il incite le lecteur à visionner le film.

Ces deux avis ne proposent rien en plus, hormis une critique et une invitation à voir le film. Il n’y a pas de photos, de liens ni de références fiables. Ce sont de simples avis personnels.

Le quotidien du cinéma est un site français totalement dédié au cinéma que ce soit les sorties en salle, DVD ou Blue-ray. Il propose des résumés, critiques, analyses filmiques et interviews. Le site a un bon nombre d’avis, beaucoup de contenu mais qui ne sont pas toujours de bonne qualité. Les critiques sont postées en tant qu’avis, ainsi le contenu n’est pas toujours fiable.

L’interface visuel est basique mais  extrêmement dynamique grâce aux couleurs rouge, noir, gris, blanc et jaune. Cependant la page où se trouvent ces avis semble avoir quelques problèmes. Les images ne s’affichent, et on se retrouve agressé par un flot de publicité. Pour l’accueil, la barre est divisée en plusieurs catégories « accueil, critique, lien, recherche, portrait, interview ». La navigation est compliquée car la barre de recherche propose trop de résultats, il n’y a pas de tri ; il est donc difficile de retrouver sa page initiale sans historique. Il y a beaucoup trop de contenu.

Pour conclure on peut dire que cette ressource est intéressante à lire, mais elle n’est pas fiable et ne doit pas servir de source pour un devoir important. De plus la navigation est compliquée car les problèmes de server sont récurrents.

 

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Larry Clark sur « Ciné-Ressources »

 

Le site « Ciné-Ressources » nous présente les recherches que l’on peut faire en rapport avec les films de Larry Clark. Il n’y a pas vraiment d’informations concrètes en lien avec l’artiste ou avec ses films tout de suite. Les résultats sont affichés à gauche des films du réalisateur qui sont tout de suite accessibles et visibles sur la page (sur la droite). Ici nous arrivons directement aux résultats de notre recherche sur Larry Clark, cependant le site nous propose différentes catégories : « Accueil », « Contact », « Présentation », « Nouveauté » (concernant le site lui-même) et « Mentions légales ». A gauche nous pouvons aussi trouver les rubriques « Recherches spécifiques dans les collections » (comprenant les affiches, les archives, les ouvrages ou toutes autres ressources), « Répertoires » et « Partenariat ». Les rubriques nous amènent vers un moteur de recherches concernant la ressource sélectionnée, cela permet d’affiner nos recherches et d’avoir un éventail de réponses assez important. 

Le site en lui-même est assez épuré ce qui nous permet de nous concentrer sur notre recherche. Les cinq catégories citées précédemment sont tout de suite visibles et la barre de recherche est accessible (recherche qu’il est possible de préciser en cochant dans les cases « recherche par » et/ou « type de recherche »). La présentation de l’interface visuelle est relativement simple : le titre de la ressource et de la catégorie se trouvent sur le haut de la page ; les différentes rubriques sont les uns à la suite des autres sur la gauche ; enfin, la barre de recherche est présente au milieu de la page. La ressource est en français.

Ce site est une sorte de bibliothèque en ligne et à ce titre, il présente de nombreux avantages comme la possibilité d’obtenir des résultats clairs et ciblés. Néanmoins, la remarque que nous pouvons faire est qu’en dehors des résultats de notre recherche, nous n’avons pas de petite introduction ou d’informations générales sur la personne ou le film concerné. 

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Tulsa et la photographie documentaire

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La page concernant Tulsa, issue du site larry-clark.net nous présente trois articles concernant sa première monographie. Le premier s’attache à recontextualiser cette série photographique qui a fait émerger l’oeuvre de l’artiste. Cet article souligne bien le fait que Larry Clark a souhaité aller plus loin que n’importe quel photographe documentaire, il s’est immergé lui même dans ses sujets photographiques. Il a pris part à la vie qu’il a choisit de mettre en image, ainsi ce n’est plus une vue extérieure mais une authentique vue de l’intérieur que l’artiste expose au monde avec une effluve de scandale. L’artiste est allé chercher dans l’intimité d’une communauté et par cela livre une forme authenticité rare en photographie, sans aucunes distances moralisantes ou éthiques afin de montrer la vraie vie, sa vraie vie. Le second article traite de l’essai Tulsa, écrit par Larry Clark lui même que nous avons déjà eu l’occasion de commenter au cours de notre étude sur l’artiste (voir ici). Enfin, le troisième article traite de la photographie documentaire, et en particulier du rapport que cette dernière peut entretenir avec la marginalité. L’article s’intitule ainsi « Photographie documentaire et Marginalité« , un article issu d’un ouvrage de Gilles Mora, La photographie américaine. Il étudie ici l’oeuvre de Larry Clark au sein de cette communauté marginale. L’auteur s’attache à exprimer que dans l’oeuvre de Clark « se mêlent la noirceur photographique de W. Eugene Smith (l’une des référence de Clark), le style spontané de Frank et une tendresse profonde pour les compagnons en marginalité du photographe.»

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Le site Larry-clark.net est une source très importante d’informations sur l’artiste. Le site est construit selon un principe simple de catégories qui rappellent les grandes œuvres de Larry Clark, qu’elles soient photographiques ou cinématographiques. Le site propose également un point de vue sur deux grandes expositions de l’artiste – Controverses – Photographies à histoires qui eut lieu à la Bibliothèque Nationale de France en 2009 et Kiss The Past Hello, qui eut lieu au Musée d’Art Moderne de Paris en 2010/2011. bien que le site constitue une source apparemment fiable, les catégories sont très inégalitaires, ainsi la catégorie Teenage Lust ne propose qu’une présentation très brève de la monographie, alors que celle sur Tulsa est très fournie en informations. La ressource est disponible en français et en anglais, toutefois on se rend compte que certains articles ou même catégories ne sont disponibles que dans une langue. C’est le cas pour la catégorie Presse, qui est cependant très bien fournie en interviews de l’artiste. De même, alors que le site est composé de deux catégories concernant son travail photographique (Tulsa et Teenage Lust), une seule concerne son cinéma, et même un seul film Marfa Girl. Bien que cette catégorie soit compléte et détaillée, il ne semble pas que la ressource puisse constituer une banque d’informations multiples et solides sur tous les sujets (œuvres et projets) concernant Larry Clark.

Le nom du site nous amène à penser qu’il s’agit d’un site officiel ou du moins une source web d’informations incontournables sur l’artiste, toutefois, après une brève observation on se rend compte d’un certain nombres de manques qui amènent le visiteur à penser que le site ne peut prétendre à un contenu complet (bien que bien renseigné) sur Larry Clark.

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LARRY CLARK – TULSA, 1963-1971

Clark photographie toujours les jeunes qui l’entourent. Il est le témoin dénué de tout jugement moral et le protagoniste de son autobiographie en images.

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« Je suis né à Tulsa, Oklahoma en 1943. j’ai commencé à me shooter aux amphétamines à 16 ans. je me suis shooté tous les jours, pendant trois ans, avec des copains, puis j’ai quitté la ville mais je suis revenu. Une fois que l’aiguille est rentrée, elle ne ressort plus. » Larry Clark, Tulsa, 1971

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Cet article issu du site de la Maison Européenne de la photographie constitue une source intéressante en ce qui concerne Larry Clark. Il s’agit d’une de présentation de l’oeuvre de l’artiste et plus particulièrement de l’exposition qui eut lieu à la Maison de la Photographie, en 2008. Le contenu se présente comme un brève biographie et apporte des précisions sur la démarche photographique de Larry Clark, notamment autour de sa première monographie Tulsa (publiée en 1963). l’auteur nous rappelle ainsi que l’artiste s’intéresse des ses débuts, à la possibilité de raconter des récits par le biais de la photographie. C’est dans l’univers de l’adolescence que Larry Clark exaltera ce projet en mettant en scène « Des photographies interdites, des photos qu’on n’était pas censé faire, d’une vie qui n’était pas censée avoir lieu ». Ces photographies sont à la fois un journal intime et un document rare sur l’ennui et la misère de l’Amérique profonde. Outre l’article, un diaporama photographique (issu de Tulsa) égaie et illustre parfaitement le propos de l’auteur. À coté de cela, le site nous propose d’autres articles issus de la rubrique « Kaléidoscope ».

De prime abord, le site de la maison européenne de la photographie de la ville de Paris est très bien construit, il est constitué d’un grand nombre de rubriques. Tout d’abord la page d’accueil est claire, sans fioritures, le design est épuré et l’interface respire. Cette dernière est constitué en majore partie par des articles sur les expositions en cours à la Maison de la Photographie. Comme évoqué précédemment, l’information variée est largement étayée par les nombreuses catégories, cela permettant une recherche d’autant plus sérieuse et pointue. Les catégories sont au nombre de quatre : « La MEP« , « Infos pratiques« , « Programmation« , « Kaléidoscope« , et « Nos Soutiens« . A chacune d’elles sont subordonnées de nombreuses sous-catégories.

Dans le cas de la MEP – Une présentation du projet de la Maison de la Photographie permet au visiteur de s’entendre sur la démarche de cette organisation « muséale ». Un organigramme permet de se renseigner sur la direction, les services généraux et les activités proposés par la Maison. La rubrique Infos-pratiques est bien organisée est permet donc de connaitre les Tarifs, les Horaires et les lieux des expositions. La catégorie Programmation propose de nombreux widgets, complets afin d’effectuer une recherche approfondie, suivant le lieu, la date, ou le type d’évènements. La rubrique Kaléidoscope est un peu à part. Elle semble être composée d’informations différentes, bien qu’il s’agisse toujours de traiter des actualités de l’art, et en particulier de la photographie. Les informations présentes ici, sont toujours axées sur l’art et la culture, selon une autre vision et un autre design que les expositions proposées par la MEP. Kaléidoscope est composé de trois sous catégories : Intérêt, Coulisses et Actualités. Une fenêtre sur le coté revient souvent à l’oeil du visiteur, elle s’intitule « Découvrez la MEP » et semble être présente afin que le visiteur ne perde pas de vue l’information.

Le site est disponible en français et en anglais, et il possible de suivre ses actualités sur Facebook ou Twitter (en haut à droite de la page). Un autre signet nous permet de rejoindre les infos-pratiques. La barre de recherche est claire et complète, pour ce qui est de « Larry Clark », le site nous propose cinq résultats. Il s’agit pour la plupart d’articles d’expositions auxquelles Larry Clark a participé, des retrospectives (comme Tulsa), ou des expositions thématiques dans lesquelles ses œuvres ont été exposées. Ces expositions constituant ainsi des informations approfondies sur notre sujet.

Ainsi, le  site de la MEP est facile d’accès, malgré ses nombreuses catégories, qui demeurent parfois un peu floues. Il permet de se renseigner en profondeur sur les expositions et événements à venir à la MEP, mais aussi sur les archives de cette dernière. Ce site semble de ce fait constituer une ressource fiable ou les auteurs des articles sont toujours cités.

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Le corps dans Ken Park

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  Le site www.objectif-cinema.com nous propose un article sur le film Ken Park, de Larry Clark, sorti en 2002. Comme l’indique le titre de l’article, le thème traite de la place du corps adolescent et de la sexualité débridée des « kids » comme les surnomme l’artiste, dans la société actuelle. Il se compose de cinq paragraphes, contenus sur deux pages. Chaque paragraphe explique un des différents aspects de ce thème au coeur du film, Ken Park. Le quatrième paragraphe compare Ken Park à un autre film, Shaft 1973, dans la manière de filmer et de présenter les corps mis en scène.

L’article nous rappelle tout d’abord brièvement les enjeux de Larry Clark en tant que cinéaste, mais aussi en tant que photographe, quant à la vision générale du corps adolescent au sein de sa carrière. Ce sujet est en effet celui de prédilection de l’artiste, qui le voit comme primordial dans la société.

L’article est accompagné d’une photographie de Larry Clark, nous donnant une idée du personnage. Un synopsis de Ken Park, écrit par l’artiste lui-même est placé en introduction de l’article, ce qui permet de comprendre ce dernier, même en n’ayant pas vu le film dont il est question. De plus, Larry Clark nous y explique les différences avec son premier film, Kids qui traitait de sujets similaires, mais d’un point de vue différent. L’article est suivi d’un cadre publicitaire contenant des liens pour l’achat de DVD, où l’on peut se fournir Ken Park entre autres. Un second cadre contient un lien censé renvoyer au site officiel du film Ken Park. Malheureusement, celui-ci ne renvoie pas au bon site. Enfin, un dernier cadre présente une filmographie chronologique de Larry Clark.

Le site est selon les propos de ses créateurs, un « webmag entièrement consacré au cinéma« . Il présente des analyses de films, interviews d’acteurs, réalisateurs et techniciens, des biographies et articles concernant des réalisateurs et leurs films. Comme il est précisé dans la rubrique « à propos du site« , celui-ci ne vise pas à faire la promotion de productions. Il cherche à donner directement la parole aux artistes et techniciens travaillant dans le milieu du cinéma. Il vise le plus possible à s’éloigner d’un point de vue commercial, ce qui prouve sa crédibilité. Les créateurs de ce site sont avant tout des passionnés et cherchent à partager leurs connaissances dans le domaine du cinéma. Cependant, la barre de recherche est difficilement accessible. En effet, elle n’est pas très efficace, de plus, plusieurs barres de recherches sont disponibles, certaines renvoyant à des forums ou à des recherches Google. Il est donc assez délicat de naviguer efficacement sur le site dans son ensemble sans perdre de temps.

L’interface visuelle est assez abordable au premier coup d’oeil. En effet, bien qu’un grand nombre d’onglets soient présents, la petite taille de la typographie permet de voir le site dans son ensemble sans avoir besoin de faire défiler l’écran. C’est un côté appréciable lorsque l’on fait un recherche. Cependant, de nombreuses publicités sont présentent sur le site, (un onglet y est d’ailleurs consacré) ce qui perturbe la navigation. Malgré tout, la publicité ne prend pas beaucoup de place, et ne se situe pas en milieu de page, ou ne gêne pas la lecture d’un article. De plus, la plupart des publicités sont liées à ce milieu.

Des widgets sur le côté des pages permettent de renvoyer à d’autres articles proposés par le site, dont la lecture pourrait intéresser, classés en diverses catégories (DVD, livres, musique, ou télévision). Le site propose également plusieurs catégories, classant les différentes analyses filmiques, articles à propos des artistes… L’un des points négatifs de ce site est le choix de la langue, qui n’est disponible qu’en français, ce qui réduit considérablement son accessibilité.

Pour conclure, le site propose des articles et interviews fiables et sérieuses, cependant son interface et sa pagination ne permettent pas une navigation rapide et efficace.

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Entre contre-culture et controverse

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http://videos.arte.tv/fr/videos/larry-clark-kiss-the-past-hello-1-2–3473156.html

Arte.tv nous propose une vidéo disponible dans la rubrique Arte+7, publiée en octobre 2010, ou Larry Clark commente et explique sa démarche concernant l’exposition Kiss The Past Hello. La vidéo mélange les propos de Larry Clark, illustrés par des photos de l’exposition. L’artiste nous confie ses débuts dans la photographie et ses enjeux au travers de cette rétrospective. Cette vidéo nous livre son implication à la fois dans cette exposition et dans son œuvre photographique dans son ensemble.                                                                Au travers de cette vidéo, l’artiste nous divulgue les problématiques qui l’anime depuis près de 50 ans notamment la dérive adolescente, les « excès inhérents à cet age », et les interdits autour du sexe et de la drogue dans une Amérique conservatrice. Ainsi, Larry Clark se définit ici, comme un « anthropologue visuel ». A la suite de la vidéo, le contenu nous propose une petite introduction sur Larry Clark, sa vie et quelques phrases pour décrire son exposition « Kiss The Past Hello ».                                                                                      La vidéo apparait en premier, ce qui nous permet de comprendre la démarche de l’artiste avant d’en savoir plus. Deux sites sont mis à notre disposition dans l’introduction : le site officiel de Larry Clark et celui du musée d’art moderne de la ville de Paris. Ce qui nous permet de faire un pont vers d’autres ressources importantes qui complèteront l’information. Il est possible de rédiger un commentaire et donner notre avis sur l’exposition et/ou le reportage qu’ils ont mis en ligne. Une rubrique, sur la droite, « En savoir plus » nous amène vers un lien où sont disponibles des photos de Larry Clark (de l’exposition) ; plus bas, se trouvent les « sites référents », à savoir les sites sur lesquels la vidéo a été partagée, et enfin « vidéos du jour » (qui en revanche ne traitent pas de l’exposition).

Arte.tv, fait écho à la chaine Arte qui propose des programmes en grande partie culturels, qui traitent de sujets divers et variés. Les informations sont utiles et fiables même si parfois, très générales. Arte.tv est un site essentiellement composé de vidéos (émissions en replay, reportages uniquement publiés sur le site, documentaires divers). L’interface arte.tv nous propose des la page d’accueil différentes vidéos. Le site se présente comme un journal d’informations sous forme de vidéos, classés selon différentes catégories : Vidéo du jour, Événement, (re)voir sur arte etc. Concernant les rubriques à notre disposition, le site nous en propose huit : ARTE (page d’accueil  – ARTE+7 (revoir des programmes) – ARTE Live Web (vidéos exclusivement posté sur le net) – ARTE Creative (autour de la création visuelle contemporaine) – ARTE Radio – VOD (une rubrique de vidéos à la demande) – Boutique et Pro (une page professionnelle). Le site est disponible en deux langues : français et allemand, il est également possible de suivre l’actualité arte avec Facebook et Twitter.

Le design épuré met en confiance le visiteur, toutefois, la lisibilité est parfois difficile. En effet, les informations sont trop condensées. Le classement des rubriques n’est pas toujours perceptible du fait de leur grand nombre. Cependant, la barre de recherche (présente dans chaque rubriques) nous permet d’accéder à des résultats différents mais toujours pertinents. Notons que la barre de recherche de la page d’accueil reste la plus complète et nous propose davantage de résultats.

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