Archives de Tag: Kids

« La dernière vague »

     Lafriche.org est un site  culturel qui nous propose un article qui évoque Larry Clark.  Cet article s’intitule la dernière vague, il s’agit d’une exposition qui aura lieu dans la Tour-panorama de la Friche la Belle de Mai à Marseille, dans le cadre du festival « this is (not) music » le 23 avril 2013 . Cet article présente l’exposition qui regroupe plusieurs artistes, autour de la photographie, du graphisme, de la sculpture.

Cet article explique les ambitions de la dernière vague, montrant les cultures de l’Amérique du nord, telles que le surf, le skateboard aujourd’hui bien mondialisées. Ainsi c’est un court article qui propose de manière très bref le contenu de l’exposition. Une photo intéressante illustre l’article.  Larry Clark est mentionné une seul fois en tant qu’artiste  majeur de ces thèmes. Malgré le fait qu’il soit peu cité nous avons trouvé pertinent de s’attarder sur cet article qui propose une actualité concernant Larry Clark.

L’article explique la manière dont les œuvres seront abordées. L’espace de l’exposition est spacieux (plus de 2500m2) avec une vingtaine de pièces. Larry Clark sera exposé en compagnie de 57 autres artistes.

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 Le site la friche.org est le site officiel de la friche de belle mai qui est un espace culturel à Marseille, regroupant salles de spectacle et d’expositions. Le site est bien organisé l’interface visuel est agréable et simple. On retrouve plusieurs catégories « agenda, projets, la friche, frichiste, c’est ouvert, pratique ». En bas de page on retrouve diverses rubriques en lien avec  l’espace, ensuite on retrouve les différents logos des organisations en partenariat avec la friche. A droite de l’article on retrouve une rubrique avec le nom du commissaire d’exposition Richard Leydier et la production Cabaret aléatoire. La barre de recherche propose des résultats pertinents. Le contenu du site est trop limité car il ne propose que des articles en lien direct avec l’espace, on retrouve des biographies et quelques interviews, mais toujours ayant un lien avec la friche.

Cependant, ce site est une ressource limitée, il n’y a aucune information sur Larry Clark hormis la dernière vague. Pour conclure on peut dire que cet article est une actualité pertinente à propos des œuvres cinématographiques de Larry Clark,  cependant l’article ne parle pas assez de l’artiste pour qu’il prenne la  peine de noter cette référence.

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Deux interviews de Larry Clark!

  Dans cet article, nous nous intéresserons à la comparaison ou à la mise en relation de deux vidéos interviews de Larry Clark, contenues sur les sites viméo.com et youtube.com. Ces deux sites servent à partager des contenus vidéo, de quelques natures que ce soit. (Bien que des restrictions soient évidemment envisageables pour censure du sexe ou de la violence ou des questions de droits d’auteur entre autres). Le site youtube.com est cependant limité quant à la taille de la vidéo, ce qui réduit considérablement le temps autorisé pour celles-ci, alors qu’aucune limite de temps n’est assignée au site viméo.com. Il est par ailleurs possible de visionner certains films de Larry Clark en streaming sur ces deux sites, Ken Park sur viméo et Kids sur youtube, par exemple (Il est cependant difficile de les trouver sur youtube, car ceux-ci sont découpés en plusieurs parties).

  Cette première vidéo est donc disponible sur youtube.com. Elle contient une interview de Larry Clark durant 13 :21 minutes, mise en ligne le 21 mars 2011. Elle revient sur le film Ken Park, sorti en 2002, mais aussi sur le premier film de Larry Clark, Kids, et offre une comparaison des deux films, par leur réalisateur lui-même.

  La vidéo est très intéressante, l’artiste revenant de manière réfléchie sur ses films et leurs sujets respectifs, ses acteurs, ses attentes vis-à-vis de son travail global… Il y explique que ces histoires sont inspirées de faits réels qu’il a directement ou non vécues, dans son enfance ou plus particulièrement lors de son adolescence à Tulsa Oklahoma, et de la vie de personnes qu’il a connues, côtoyées et qui lui étaient proches, ses amis et sa famille. Larry Clark explique la façon dont il a choisi ses acteurs, en fonction de leur vécu, de ses personnages. Il ne les voulait pas connus avant de tourner dans ses films, il revient donc sur la façon dont ce sont déroulés les tournages de par ce fait. Il revient bien sûr sur les polémiques à propos de ces œuvres, en les expliquant de manière précise, par rapport à ce qu’il en attendait et pour quelles raisons il a choisi de réaliser ses films de cette manière, ou de photographier ces sujets, représentés de manière crue mais réaliste et non idéalisée. Il imagine ce que l’avenir peut lui réserver en lien avec son travail, mais aussi ce que ses films ont pu changer pour les jeunes adultes et les adolescents qu’il appelle communément les « kids » et la façon dont les choses pourraient évoluer pour eux, grâce à son travail.

  Malheureusement, la vidéo n’est disponible qu’en anglais, non traduite et non sous-titrée, ne la rendant pas accessible à tous.

http://vimeo.com/54551502 

  La seconde vidéo est donc disponible sur viméo.com. Elle nous présente également une interview de Larry Clark, cependant celle-ci dure un peu 4 :00 minutes et a été publiée en décembre 2012. Le réalisateur parle ici de son travail plutôt comme pour une rétrospective, contrairement à la première vidéo, où il parlait de son travail plutôt au présent. Il revient plus particulièrement sur le film Marfa Girl. Il a avant tout souhaité faire ce film (et tous les autres films en général, ainsi que ses photographies), pour que les personnes qui le voient soient au courant de la vie de ces jeunes et adolescents du Texas. Selon lui, personne ne connaitrait leur mode de vie, s’il n’avait pas choisi de le mettre à jour pour le public. Larry Clark se souvient de la façon dont s’est déroulé le tournage avec ces jeunes adolescents qui n’avaient encore jamais fait de cinéma et avec lesquels il a adoré travailler.  Il revient brièvement sur sa série « Tulsa », réalisée en 1968, en y expliquant à nouveau ses intentions et les raisons qui l’ont poussé à faire cette collection de photographies abordant à nouveau les sujets de la violence et de la sexualité adolescente débridée.

  En résumée, ces deux vidéos reviennent de manière très complète sur le travail de Larry Clark, et se complètent entre elles, abordant à elles deux la plupart de ses films et de son travail de réalisateur, mais aussi son travail de photographes. Le fait que ce soient des interviews crédibilisent également ces contenus, puisque c’est ici l’artiste même qui revient sur ses polémiques, et non des propos rapportés !

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Interview à propos de Ken Park

  Le site commeaucinema.com nous propose une rubrique entièrement consacrée au film Ken Park, (sorti en juin 2004), qui offre plusieurs catégories concernant ce film. Celle nommée « notes de prod. »  présente entres autres l’extrait d’une interview de Larry Clark par Tony Rayns, qui a eu lieu en 2002. Ce contenu évoque donc la façon dont Larry Clark a eu l’idée de créer le film Ken Park (sorti en 2002) mais aussi comment s’est réalisé le tournage de Kids (1995) par rapport à l’idée que l’artiste avait de ces deux films.

  Les collaborateurs de Larry Clark pour ces deux films nous sons également présentés, ce qui est assez intéressant car c’est avec eux qu’il travaille sur la plupart de ses films, et nous les connaissons au final en général assez peu. Larry Clark y explique également sa propre vision de ses films, en lien avec ses attentes vis-à-vis de la réalisation, ou la façon dont il les imaginait. Il revient également sur les polémiques autour de son travail et de ce qu’il a pu en penser. Avant tout, il explique comment il a trouvé les acteurs pour ses films, qu’il voulait encore naturels et inconnus, et comment se sont déroulés les tournages avec ces jeunes gens, qu’il surnomme les Kids.

  La page contenant l’interview ne propose pas de documents supplémentaires qui pourraient appuyer l’article, tels que des photos, des vidéos ou autres. Cependant, chaque nom cité par Larry Clark ou par le journaliste possède un lien qui renvoie vers une page qui lui est consacrée. Ces personnes sont souvent les collaborateurs de l’artiste sur ses films. D’autres articles sont consacrés à Larry Clark et à son travail en général, cependant, la page à propos de Ken Park est particulièrement intéressante. De plus, une rubrique est proposée, renvoyant à un forum de discussions concernant le film Ken Park. (Le forum est cependant vide). Au bas de la page, deux articles nous sont proposés, une interview de l’un des collaborateurs de Larry Clark ayant travaillé sur Ken Park et Kids, ainsi que la page du film Kids elle-même.

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  Le site commeaucinema.com se situe dans la même lignée que le site « allociné » et est consacré à l’actualité des mondes du cinéma et de la télévision. Il propose le visionnage de bande-annonce, de critiques de films, d’interviews d’acteurs et de réalisateurs (ainsi que leurs fiches biographiques) le box-office mondial.etc…

  Le site propose beaucoup de contenus cinématographiques intéressants, malgré tout, la page d’accueil est surchargée de catégories différentes, (chaque catégories pouvant contenir jusqu’à une dizaine de sous-catégories). Beaucoup de publicités sont présentes sur les pourtours de la page, ce qui peut tout de même gêner la navigation. Cependant, la plupart de ces publicités concernent le cinéma (bande-annonce de films à venir ou sorties DVD), et contiennent des liens renvoyant vers des pages du même site. Cela peut donc tout de même présenter un intérêt malgré la gêne.

  Plusieurs catégories et rubriques sont donc disponibles : « accueil, cinéma, stars, actualités, programme, bande annonce, box-office, DVD, série TV ». Chacune de ces catégories contient plusieurs sous catégories renvoyant à des rubriques plus spécifiques. Des widgets sont à disposition sur les côtés de l’interface : « Jeux concours », « du même genre », renvoyant à des films ou réalisateurs similaires à ceux que l’on vient de consulter, des listes de « tops », en cinéma, DVD, série TV etc.,  ou encore le plan du site, qui renvoie plus clairement aux différents rubriques de l’interface. Une barre de recherche permet de renvoyer directement à un film, une salle de cinéma précise ou une ville projetant le film demandé. Il est de plus possible de souscrire à la newsletter, ou de suivre le site sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter. La barre de recherche est assez efficace et renvoie à tout contenu ayant cité au moins une fois le mot-clé recherché.

  Pour conclure, le site commeaucinema.com peut être utile pour une recherche dans le domaine du septième art de manière rapide et efficace. Il possède des contenus intéressants comme les interviews (ici de Larry Clark par exemple, qui ne sont pas très nombreuses). Cependant, il reste selon moi assez succinct et moins efficace qu’un site comme allociné.fr, par exemple, qui semble plus fiable.

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ken Park « Un caillou dans la chaussure hollywoodienne »

Le Quotidien du Cinéma propose une critique composée de deux avis réalisés par Remi Boîteux et Benjamin Thomas. Ces deux avis sont bien différents et traitent tous deux de Ken Park, qui est l’une des œuvres cinématographique majeure de Larry Clark.

La première critique est extrêmement subjective, c’est un avis personnel sur le film et le ressenti de l’auteur. L’auteur explique ce qu’il a pu comprendre du film Ken Park et émet une interprétation personnelle. Il tente d’expliquer pourquoi Larry Clark a fait le choix de quatre personnages et en quoi la fin est la clef de la compréhension du film. Cependant tout cela reste très subjectif. Le langage est même parfois très vulgaire et tranchant. Ce  n’est pas un professionnel mais un amateur de cinéma  qui a écrit ; cependant, le propos reste cohérent. On peut dire que cet avis fut publié  peu après le visionnage du film. D’ailleurs, Rémi Boîteux ne se prive pas de dévoiler la fin du film ainsi que quelques passages clefs. Pour conclure son avis, il nous révèle avoir été « lessivé, remué et nettoyé »

La seconde critique, celle de Benjamin, est beaucoup plus construite. Il introduit son avis en resituant Larry Clark pour les moins connaisseurs, explique les thématiques de l’artiste, la jeunesse, l’égoïsme, la désillusion et le sexe. Il évoque ses précédents films Kids et Bully puis les compare à Ken Park. Contrairement à Rémi Boîteux, l’auteur ne se mouille pas vraiment. Il émet des hypothèses et fait des constats sans développer véritablement son opinion. Il dévoile quelques traits des personnages mais sans rentrer dans le détail. Ainsi, il incite le lecteur à visionner le film.

Ces deux avis ne proposent rien en plus, hormis une critique et une invitation à voir le film. Il n’y a pas de photos, de liens ni de références fiables. Ce sont de simples avis personnels.

Le quotidien du cinéma est un site français totalement dédié au cinéma que ce soit les sorties en salle, DVD ou Blue-ray. Il propose des résumés, critiques, analyses filmiques et interviews. Le site a un bon nombre d’avis, beaucoup de contenu mais qui ne sont pas toujours de bonne qualité. Les critiques sont postées en tant qu’avis, ainsi le contenu n’est pas toujours fiable.

L’interface visuel est basique mais  extrêmement dynamique grâce aux couleurs rouge, noir, gris, blanc et jaune. Cependant la page où se trouvent ces avis semble avoir quelques problèmes. Les images ne s’affichent, et on se retrouve agressé par un flot de publicité. Pour l’accueil, la barre est divisée en plusieurs catégories « accueil, critique, lien, recherche, portrait, interview ». La navigation est compliquée car la barre de recherche propose trop de résultats, il n’y a pas de tri ; il est donc difficile de retrouver sa page initiale sans historique. Il y a beaucoup trop de contenu.

Pour conclure on peut dire que cette ressource est intéressante à lire, mais elle n’est pas fiable et ne doit pas servir de source pour un devoir important. De plus la navigation est compliquée car les problèmes de server sont récurrents.

 

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Le corps dans Ken Park

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  Le site www.objectif-cinema.com nous propose un article sur le film Ken Park, de Larry Clark, sorti en 2002. Comme l’indique le titre de l’article, le thème traite de la place du corps adolescent et de la sexualité débridée des « kids » comme les surnomme l’artiste, dans la société actuelle. Il se compose de cinq paragraphes, contenus sur deux pages. Chaque paragraphe explique un des différents aspects de ce thème au coeur du film, Ken Park. Le quatrième paragraphe compare Ken Park à un autre film, Shaft 1973, dans la manière de filmer et de présenter les corps mis en scène.

L’article nous rappelle tout d’abord brièvement les enjeux de Larry Clark en tant que cinéaste, mais aussi en tant que photographe, quant à la vision générale du corps adolescent au sein de sa carrière. Ce sujet est en effet celui de prédilection de l’artiste, qui le voit comme primordial dans la société.

L’article est accompagné d’une photographie de Larry Clark, nous donnant une idée du personnage. Un synopsis de Ken Park, écrit par l’artiste lui-même est placé en introduction de l’article, ce qui permet de comprendre ce dernier, même en n’ayant pas vu le film dont il est question. De plus, Larry Clark nous y explique les différences avec son premier film, Kids qui traitait de sujets similaires, mais d’un point de vue différent. L’article est suivi d’un cadre publicitaire contenant des liens pour l’achat de DVD, où l’on peut se fournir Ken Park entre autres. Un second cadre contient un lien censé renvoyer au site officiel du film Ken Park. Malheureusement, celui-ci ne renvoie pas au bon site. Enfin, un dernier cadre présente une filmographie chronologique de Larry Clark.

Le site est selon les propos de ses créateurs, un « webmag entièrement consacré au cinéma« . Il présente des analyses de films, interviews d’acteurs, réalisateurs et techniciens, des biographies et articles concernant des réalisateurs et leurs films. Comme il est précisé dans la rubrique « à propos du site« , celui-ci ne vise pas à faire la promotion de productions. Il cherche à donner directement la parole aux artistes et techniciens travaillant dans le milieu du cinéma. Il vise le plus possible à s’éloigner d’un point de vue commercial, ce qui prouve sa crédibilité. Les créateurs de ce site sont avant tout des passionnés et cherchent à partager leurs connaissances dans le domaine du cinéma. Cependant, la barre de recherche est difficilement accessible. En effet, elle n’est pas très efficace, de plus, plusieurs barres de recherches sont disponibles, certaines renvoyant à des forums ou à des recherches Google. Il est donc assez délicat de naviguer efficacement sur le site dans son ensemble sans perdre de temps.

L’interface visuelle est assez abordable au premier coup d’oeil. En effet, bien qu’un grand nombre d’onglets soient présents, la petite taille de la typographie permet de voir le site dans son ensemble sans avoir besoin de faire défiler l’écran. C’est un côté appréciable lorsque l’on fait un recherche. Cependant, de nombreuses publicités sont présentent sur le site, (un onglet y est d’ailleurs consacré) ce qui perturbe la navigation. Malgré tout, la publicité ne prend pas beaucoup de place, et ne se situe pas en milieu de page, ou ne gêne pas la lecture d’un article. De plus, la plupart des publicités sont liées à ce milieu.

Des widgets sur le côté des pages permettent de renvoyer à d’autres articles proposés par le site, dont la lecture pourrait intéresser, classés en diverses catégories (DVD, livres, musique, ou télévision). Le site propose également plusieurs catégories, classant les différentes analyses filmiques, articles à propos des artistes… L’un des points négatifs de ce site est le choix de la langue, qui n’est disponible qu’en français, ce qui réduit considérablement son accessibilité.

Pour conclure, le site propose des articles et interviews fiables et sérieuses, cependant son interface et sa pagination ne permettent pas une navigation rapide et efficace.

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L’oeuvre de Clark par l’ICP

Le site de l’ICP (International Center of Photography) offre de multiples possibilités de recherche. Pour le cas de Larry Clark, un important contenu nous est proposé. En effet, cette ressource nous apporte des informations variées sur l’auteur, l’article se compose de 5 pages, chacune liée à un thème en particulier. Ainsi, une première page nous renvoie à la biographie de l’auteur – une biographie détaillée et thématique. La seconde et la troisième pages renvoie à des séries photographiques effectuées par l’artiste entre les années 60 et 80, et qui ont données lieu à deux ouvrages monographiques: Le premier, Tulsa paru en 1971 et le second, Teenage Lust datant de 1983. Ces pages insistent sur les enjeux soulevées par les deux séries-livres toujours autour de la question de l’adolescence à la dérivé telle que Clark se plaint à la photographiée. Ces deux contenus permettent de se rendre compte de l’évolution du travail de l’artiste, qui bien qu’il demeure attaché aux mêmes thèmes, apprend à les renouveler sans cesse.Le troisième contenu proposé (la 3ème page) s’intitule Skaters, et renvoie à une autre série photographique de Larry Clark, qui s’attachant encore une fois au domaine de l’adolescence, en donne un nouvel exemple. La série date des années 90 et se constitue de portraits en couleur de jeunes skateboarders. Des figures que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard dans son premier film Kids. Ainsi, cet article nous introduit au travail de Larry Clark entant que cinéaste et c’est le sujet de la dernière page, consacrée donc à sa carrière cinématographique. L’article nous explique comment, l’artiste photographe est devenu une éminente figure du cinéma indépendant.

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Les articles ne sont pas très longs, mais bien condensés, la lecture en est ainsi facilitée, de même que le design agréable proposé par la page. Le contenu propose également en haut à droite, un communiqué de presse qui semble être un élément intéressant à étudier plus profondément – ce communiqué est complet et apporte de nouvelles informations plus précises mais aussi plus rares sur l’artiste et ses différentes expositions. Autre élément intéressant, le site nous informe que l’ICP est en partenariat avec le Pioneer Theater de New York et propose ainsi les horaires des séances de projection en continu des films de Clark. Enfin, la page n’offre que peu de photos illustrant les propos des différents auteurs. Toutefois, une banque d’images plus importante et présente directement sur le site.

L’ICP est avant tout une école de photographie et le site nous introduit donc aux formations possibles et au centre de recherches. Le site de l’ICP est très vaste. Son interface est facile d’accès mais de nombreux éléments sont présents afin d’aller vers une recherche pointue. La page d’accueil est interactive, elle se compose d’une grande bande d’images défilantes et d’un menu condensé et axé sur les actualités de l’ICP. En haut de cette page, le logo de l’institut est présent et renvoie à la page d’accueil, de nombreuses rubriques (VISIT, MUSEUM, SCHOOL, RESEARCH CENTER, STORE etc.) se trouvant au dessous renvoie à des sous rubriques qui permette une recherche plus approfondie.

Une barre de recherche est présente à gauche, dans le cas de Larry Clark, 47 résultats sont disponibles suivant des médiums différents : photos, vidéos, articles, biographies. Ces différents résultats sont corrélés aux rubriques citées plus avant, par exemple selon le résultat de la recherche dans la catégorie MUSEUM, on obtient 30 résultats pour Larry Clark. C’est donc, une ressource qui apporte un contenu important et souvent très pertinent. Toutefois, il n’est disponible qu’en anglais et la trop grande pluralité des contenus et des catégories exploitables peuvent perdre le visiteur et ne pas l’amener au résultat souhaité.

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