Archives de Tag: tulsa

Larry Clark Stuff sur MilkMade

Nous allons vous présenter le site milkmade.com qui concerne Larry Clark. Cet article est en anglais et commence par une vidéo aussi en anglais qui fait défiler des photographies de l’artiste (c’est d’ailleurs lui qu’on entend sur la vidéo). Il explique comment il a voulu devenir photographe ainsi que sa démarche artistique et son regard sur le monde. Ensuite il parle de Tulsa en particulier (avec des photographies qui défilent également pour illustrer ce que Larry Clark dit). Enfin, il explique son film Marfa Girl : c’est ce dont parle l’article du site. En effet, à droite de la vidéo sur le côté, il y a une explication et des informations sur la vidéo. Le titre « De Tulsa à Marfa avec Larry Clark » explique bien de quoi il s’agit exactement.

La présentation de l’interface est sophistiquée : fond blanc avec différentes catégories qui sont de couleurs variées. En haut de la page, nous avons neuf rubriques : « Fashion », « Beauty », « Music », « Art », « Video », « Tumblr », « Live Uploads », « Partners » et « Shop ».

Enfin, même si le site à l’air d’être un peu chargé (avec tout ce qu’il présente dès l’accueil), il est bien fait et très général ce qui nous permet d’aussi bien nous intéresser à un artiste en particulier, qu’à l’actualité artistique de manière plus globale.

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Deux interviews de Larry Clark!

  Dans cet article, nous nous intéresserons à la comparaison ou à la mise en relation de deux vidéos interviews de Larry Clark, contenues sur les sites viméo.com et youtube.com. Ces deux sites servent à partager des contenus vidéo, de quelques natures que ce soit. (Bien que des restrictions soient évidemment envisageables pour censure du sexe ou de la violence ou des questions de droits d’auteur entre autres). Le site youtube.com est cependant limité quant à la taille de la vidéo, ce qui réduit considérablement le temps autorisé pour celles-ci, alors qu’aucune limite de temps n’est assignée au site viméo.com. Il est par ailleurs possible de visionner certains films de Larry Clark en streaming sur ces deux sites, Ken Park sur viméo et Kids sur youtube, par exemple (Il est cependant difficile de les trouver sur youtube, car ceux-ci sont découpés en plusieurs parties).

  Cette première vidéo est donc disponible sur youtube.com. Elle contient une interview de Larry Clark durant 13 :21 minutes, mise en ligne le 21 mars 2011. Elle revient sur le film Ken Park, sorti en 2002, mais aussi sur le premier film de Larry Clark, Kids, et offre une comparaison des deux films, par leur réalisateur lui-même.

  La vidéo est très intéressante, l’artiste revenant de manière réfléchie sur ses films et leurs sujets respectifs, ses acteurs, ses attentes vis-à-vis de son travail global… Il y explique que ces histoires sont inspirées de faits réels qu’il a directement ou non vécues, dans son enfance ou plus particulièrement lors de son adolescence à Tulsa Oklahoma, et de la vie de personnes qu’il a connues, côtoyées et qui lui étaient proches, ses amis et sa famille. Larry Clark explique la façon dont il a choisi ses acteurs, en fonction de leur vécu, de ses personnages. Il ne les voulait pas connus avant de tourner dans ses films, il revient donc sur la façon dont ce sont déroulés les tournages de par ce fait. Il revient bien sûr sur les polémiques à propos de ces œuvres, en les expliquant de manière précise, par rapport à ce qu’il en attendait et pour quelles raisons il a choisi de réaliser ses films de cette manière, ou de photographier ces sujets, représentés de manière crue mais réaliste et non idéalisée. Il imagine ce que l’avenir peut lui réserver en lien avec son travail, mais aussi ce que ses films ont pu changer pour les jeunes adultes et les adolescents qu’il appelle communément les « kids » et la façon dont les choses pourraient évoluer pour eux, grâce à son travail.

  Malheureusement, la vidéo n’est disponible qu’en anglais, non traduite et non sous-titrée, ne la rendant pas accessible à tous.

http://vimeo.com/54551502 

  La seconde vidéo est donc disponible sur viméo.com. Elle nous présente également une interview de Larry Clark, cependant celle-ci dure un peu 4 :00 minutes et a été publiée en décembre 2012. Le réalisateur parle ici de son travail plutôt comme pour une rétrospective, contrairement à la première vidéo, où il parlait de son travail plutôt au présent. Il revient plus particulièrement sur le film Marfa Girl. Il a avant tout souhaité faire ce film (et tous les autres films en général, ainsi que ses photographies), pour que les personnes qui le voient soient au courant de la vie de ces jeunes et adolescents du Texas. Selon lui, personne ne connaitrait leur mode de vie, s’il n’avait pas choisi de le mettre à jour pour le public. Larry Clark se souvient de la façon dont s’est déroulé le tournage avec ces jeunes adolescents qui n’avaient encore jamais fait de cinéma et avec lesquels il a adoré travailler.  Il revient brièvement sur sa série « Tulsa », réalisée en 1968, en y expliquant à nouveau ses intentions et les raisons qui l’ont poussé à faire cette collection de photographies abordant à nouveau les sujets de la violence et de la sexualité adolescente débridée.

  En résumée, ces deux vidéos reviennent de manière très complète sur le travail de Larry Clark, et se complètent entre elles, abordant à elles deux la plupart de ses films et de son travail de réalisateur, mais aussi son travail de photographes. Le fait que ce soient des interviews crédibilisent également ces contenus, puisque c’est ici l’artiste même qui revient sur ses polémiques, et non des propos rapportés !

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Une critique de l’exposition « Tulsa »

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  Une critique artistique de la collection de photographies Tulsa est mise à notre disposition sur le site paris-art.com. Cette critique est donc un article positif mettant en avant l’exposition Tulsa. Etienne Helmer, l’auteur de cet article, nous y décrit l’exposition qu’il a lui-même visitée, en décrivant brièvement la disposition par thème des photographies au sein de l’exposition. Il y explique les raisons de ces agencements en lien avec sa propre vision face au travail de Larry Clark.

L’exposition Tulsa, 1963-1971 dont il est ici question a eu lieu du 10 octobre au 8 janvier 2008, à la Maison Européenne de la photo. La collection Tulsa y était donc exposée, et répartie sur deux salles. L’article revient assez bien sur les enjeux de Larry Clark à travers cette série, expliquant clairement ses intentions. (A savoir, retranscrire à travers ses œuvres, son propre vécu et ses propres expériences, face à la violence, à la drogue et au sexe, dans sa ville natale qu’est Tulsa, et dont la société n’évolue pas. Ce n’est pas une vision moralisatrice face à la jeunesse comme l’on pourrait s’y attendre, puisque Larry Clark l’a lui-même vécu, comme nous l’explique l’auteur).

L’article ne possède pas réellement de contenu supplémentaire, à part de photos de la série Tulsa, accompagnant les propos de l’auteur. Cependant, l’une des photographies (citée dans l’article), est accolée de deux liens renvoyant vers des articles censés être contenus sur le même site et concernant les autres expositions de Larry Clark ayant eu lieu à Paris, à savoir, « Kiss the Past Hello » et « Sous Influence ». Malheureusement, ces deux liens sont vides et renvoient vers des pages du site qui ne contiennent aucune ressource.

 Brenda Ann Kenneally, Money Power Respect: Pictures of my Neighborhood

  Le site Paris-art.com propose des critiques et actualités concernant le domaine de l’art en général, mais aussi plus particulièrement : photographie, design, danse, littérature et livres, interviews d’artistes… Il présente les évènements, spectacles et expositions en cours et passées en France en mettant à disposition une fiche détaillée ainsi qu’une critique de celle-ci. Des actualités concernant les  eux-mêmes sont disponibles.

  L’interface visuelle laisse cependant à désirer. En effet, les couleurs sont assez mal choisies, le rouge étant omniprésent sur un fond blanc, ce qui est assez agressif visuellement. De plus, un grand nombre de publicités en banderole et défilantes laisse au premier abord à penser que le site n’est pas forcément très sérieux (cependant, ce n’est pas le cas, le site et ses articles sont fiables). Elles sont situées sur l’ensemble de la page, et n’ont pas d’emplacement spécifique, si bien que l’on ne sait pas toujours quelles banderoles sont des publicités extérieures au site et lesquelles peuvent avoir un certain intérêt « artistique ». Un certain nombre de liens en bas de page renvoient à des sites de musées ou à des institutions artistiques, accueillant des expositions.

  Il est possible de suivre le site sur les réseaux sociaux facebook et twitter. Les différents domaines évoqués plus haut dans l’article correspondent aux différentes rubriques disponibles sur le site, cependant les rubriques « lieux » et « créateurs » sont également mis à disposition. Un point intéressant est à noter : la barre de recherche est extrêmement efficace, car très précises. Elle se fait par mots clés mais également par rubrique, (on peut en cocher plusieurs si on le souhaite). On peut également classer les recherches par date (que l’on peut écrire soi-même de manière exacte), par auteur, par ordre alphabétique… Cela rend la recherche dans le site plus facile et plus efficace.

  Pour conclure, la critique de l’exposition Tulsa est très intéressante, car positive, mais objective et complète. Par ailleurs, le site possède un grand nombre de contenus fiables, cependant l’arrivée sur ce site peut être rébarbative, car peu travaillée.

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Le site proposdartistes.com

  C’est ici un contenu pdf, présent dans un porte folio sur le site proposdartistes.com qui est présenté. Le pdf contient un grand nombre de photographies de Larry Clark issues de l’exposition « Kiss the Past Hello », qui avait fait polémique à Paris en 2008, ayant été interdite aux mineurs par la mairie de Paris, car jugées inappropriées, montrant des scènes mêlant violence et sexualité entre des adolescents. Ces photographies sont de très bonne qualité malgré le fait que certaines soient coupées en deux, en raison de leur grande taille. Le pdf contient également des informations sur une exposition des frères Gao, cependant cela ne concerne pas Larry Clark. Ce contenu est téléchargeable ou directement imprimable et a été proposé par le musée d’art moderne de la ville de Paris lui-même, suite à l’exposition, en partenariat avec le Luhring Augustine de New York.

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  Le site proposdartistes.com en lui-même se veut de diffuser le travail d’artistes, que ce soit dans le domaine de la musique, ou de l’art contemporain. Il propose des contenus concernant des artistes exposant ayant lieu aussi bien en France qu’à l’étranger. Le site se présente de manière très simple et épurée, ce qui est très agréable pour la navigation, la consultation ou encore la lecture d’articles, puisque l’on peut se concentrer sur le contenu qui nous intéresse. La lecture n’est pas perturbée par un contenu trop nombreux venant envahir le champ visuel. Le site présente six catégories différentes, dont trois possédant des sous-catégories : « accueil », « actualités », « musique », « art contemporain », « prestations », et enfin, « réalisations et projets ». La page d’accueil contient une banderole où défilent des photographies présentées à des expositions ayant lieu actuellement. Des liens renvoyant à d’autres sites similaires sont également disponibles en bas de page.

  Hormis le contenu pdf évoqué au préalable, le site ne contient malheureusement pas de contenu supplémentaire à propos de l’artiste Larry Clark ou de son travail, qui nous intéressent dans ce blog. Cependant, ce site est très intéressant, très bien mené, et assez complet en matière de photographies (de très bonne qualité !) et d’art contemporain. Il est donc intéressant d’aller le consulter, si l’on apprécie ces différents domaines.

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Tulsa, 1971 – sur vimeo

Grace à Vimeo, le visiteur peut parcourir librement la monographie Tulsa, parue en 1971. La vidéo est simple, et efficace. Elle permet ainsi de se familiariser davantage avec l’oeuvre de l’artiste et de développer une vue d’ensemble de cette œuvre majeure qui engagera toute la démarche future de Larry Clark. On peut ainsi véritablement se rendre compte de ce rapport omniprésent à l’adolescence. Larry Clark lui même dit qu’il s’agit pour lui d’une véritable autobiographie, et ici, en effet on se rend de toute l’authenticité de l’oeuvre de l’artiste.

Le site vimeo.com est un site de partage de vidéos, tout comme Youtube ou Dailymotion. Toutefois, rien que par son interface soignée le visiteur se rend compte que le site aspire à un point de vue plus sérieux. En effet, le contenu disponible sur vimeo est en général plus fiable que sur les deux autres sites. la plupart des ressources sérieuses utilisent cet outil pour partager leurs documents vidéos. L’interface est simple et facile d’accès. Si l’on cherche à partager des contenus, afin d’avoir l’air crédible, il semble plus indiqué de le faire avec vimeo.

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Tulsa et la photographie documentaire

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La page concernant Tulsa, issue du site larry-clark.net nous présente trois articles concernant sa première monographie. Le premier s’attache à recontextualiser cette série photographique qui a fait émerger l’oeuvre de l’artiste. Cet article souligne bien le fait que Larry Clark a souhaité aller plus loin que n’importe quel photographe documentaire, il s’est immergé lui même dans ses sujets photographiques. Il a pris part à la vie qu’il a choisit de mettre en image, ainsi ce n’est plus une vue extérieure mais une authentique vue de l’intérieur que l’artiste expose au monde avec une effluve de scandale. L’artiste est allé chercher dans l’intimité d’une communauté et par cela livre une forme authenticité rare en photographie, sans aucunes distances moralisantes ou éthiques afin de montrer la vraie vie, sa vraie vie. Le second article traite de l’essai Tulsa, écrit par Larry Clark lui même que nous avons déjà eu l’occasion de commenter au cours de notre étude sur l’artiste (voir ici). Enfin, le troisième article traite de la photographie documentaire, et en particulier du rapport que cette dernière peut entretenir avec la marginalité. L’article s’intitule ainsi « Photographie documentaire et Marginalité« , un article issu d’un ouvrage de Gilles Mora, La photographie américaine. Il étudie ici l’oeuvre de Larry Clark au sein de cette communauté marginale. L’auteur s’attache à exprimer que dans l’oeuvre de Clark « se mêlent la noirceur photographique de W. Eugene Smith (l’une des référence de Clark), le style spontané de Frank et une tendresse profonde pour les compagnons en marginalité du photographe.»

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Le site Larry-clark.net est une source très importante d’informations sur l’artiste. Le site est construit selon un principe simple de catégories qui rappellent les grandes œuvres de Larry Clark, qu’elles soient photographiques ou cinématographiques. Le site propose également un point de vue sur deux grandes expositions de l’artiste – Controverses – Photographies à histoires qui eut lieu à la Bibliothèque Nationale de France en 2009 et Kiss The Past Hello, qui eut lieu au Musée d’Art Moderne de Paris en 2010/2011. bien que le site constitue une source apparemment fiable, les catégories sont très inégalitaires, ainsi la catégorie Teenage Lust ne propose qu’une présentation très brève de la monographie, alors que celle sur Tulsa est très fournie en informations. La ressource est disponible en français et en anglais, toutefois on se rend compte que certains articles ou même catégories ne sont disponibles que dans une langue. C’est le cas pour la catégorie Presse, qui est cependant très bien fournie en interviews de l’artiste. De même, alors que le site est composé de deux catégories concernant son travail photographique (Tulsa et Teenage Lust), une seule concerne son cinéma, et même un seul film Marfa Girl. Bien que cette catégorie soit compléte et détaillée, il ne semble pas que la ressource puisse constituer une banque d’informations multiples et solides sur tous les sujets (œuvres et projets) concernant Larry Clark.

Le nom du site nous amène à penser qu’il s’agit d’un site officiel ou du moins une source web d’informations incontournables sur l’artiste, toutefois, après une brève observation on se rend compte d’un certain nombres de manques qui amènent le visiteur à penser que le site ne peut prétendre à un contenu complet (bien que bien renseigné) sur Larry Clark.

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LARRY CLARK – TULSA, 1963-1971

Clark photographie toujours les jeunes qui l’entourent. Il est le témoin dénué de tout jugement moral et le protagoniste de son autobiographie en images.

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« Je suis né à Tulsa, Oklahoma en 1943. j’ai commencé à me shooter aux amphétamines à 16 ans. je me suis shooté tous les jours, pendant trois ans, avec des copains, puis j’ai quitté la ville mais je suis revenu. Une fois que l’aiguille est rentrée, elle ne ressort plus. » Larry Clark, Tulsa, 1971

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Cet article issu du site de la Maison Européenne de la photographie constitue une source intéressante en ce qui concerne Larry Clark. Il s’agit d’une de présentation de l’oeuvre de l’artiste et plus particulièrement de l’exposition qui eut lieu à la Maison de la Photographie, en 2008. Le contenu se présente comme un brève biographie et apporte des précisions sur la démarche photographique de Larry Clark, notamment autour de sa première monographie Tulsa (publiée en 1963). l’auteur nous rappelle ainsi que l’artiste s’intéresse des ses débuts, à la possibilité de raconter des récits par le biais de la photographie. C’est dans l’univers de l’adolescence que Larry Clark exaltera ce projet en mettant en scène « Des photographies interdites, des photos qu’on n’était pas censé faire, d’une vie qui n’était pas censée avoir lieu ». Ces photographies sont à la fois un journal intime et un document rare sur l’ennui et la misère de l’Amérique profonde. Outre l’article, un diaporama photographique (issu de Tulsa) égaie et illustre parfaitement le propos de l’auteur. À coté de cela, le site nous propose d’autres articles issus de la rubrique « Kaléidoscope ».

De prime abord, le site de la maison européenne de la photographie de la ville de Paris est très bien construit, il est constitué d’un grand nombre de rubriques. Tout d’abord la page d’accueil est claire, sans fioritures, le design est épuré et l’interface respire. Cette dernière est constitué en majore partie par des articles sur les expositions en cours à la Maison de la Photographie. Comme évoqué précédemment, l’information variée est largement étayée par les nombreuses catégories, cela permettant une recherche d’autant plus sérieuse et pointue. Les catégories sont au nombre de quatre : « La MEP« , « Infos pratiques« , « Programmation« , « Kaléidoscope« , et « Nos Soutiens« . A chacune d’elles sont subordonnées de nombreuses sous-catégories.

Dans le cas de la MEP – Une présentation du projet de la Maison de la Photographie permet au visiteur de s’entendre sur la démarche de cette organisation « muséale ». Un organigramme permet de se renseigner sur la direction, les services généraux et les activités proposés par la Maison. La rubrique Infos-pratiques est bien organisée est permet donc de connaitre les Tarifs, les Horaires et les lieux des expositions. La catégorie Programmation propose de nombreux widgets, complets afin d’effectuer une recherche approfondie, suivant le lieu, la date, ou le type d’évènements. La rubrique Kaléidoscope est un peu à part. Elle semble être composée d’informations différentes, bien qu’il s’agisse toujours de traiter des actualités de l’art, et en particulier de la photographie. Les informations présentes ici, sont toujours axées sur l’art et la culture, selon une autre vision et un autre design que les expositions proposées par la MEP. Kaléidoscope est composé de trois sous catégories : Intérêt, Coulisses et Actualités. Une fenêtre sur le coté revient souvent à l’oeil du visiteur, elle s’intitule « Découvrez la MEP » et semble être présente afin que le visiteur ne perde pas de vue l’information.

Le site est disponible en français et en anglais, et il possible de suivre ses actualités sur Facebook ou Twitter (en haut à droite de la page). Un autre signet nous permet de rejoindre les infos-pratiques. La barre de recherche est claire et complète, pour ce qui est de « Larry Clark », le site nous propose cinq résultats. Il s’agit pour la plupart d’articles d’expositions auxquelles Larry Clark a participé, des retrospectives (comme Tulsa), ou des expositions thématiques dans lesquelles ses œuvres ont été exposées. Ces expositions constituant ainsi des informations approfondies sur notre sujet.

Ainsi, le  site de la MEP est facile d’accès, malgré ses nombreuses catégories, qui demeurent parfois un peu floues. Il permet de se renseigner en profondeur sur les expositions et événements à venir à la MEP, mais aussi sur les archives de cette dernière. Ce site semble de ce fait constituer une ressource fiable ou les auteurs des articles sont toujours cités.

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L’oeuvre de Clark par l’ICP

Le site de l’ICP (International Center of Photography) offre de multiples possibilités de recherche. Pour le cas de Larry Clark, un important contenu nous est proposé. En effet, cette ressource nous apporte des informations variées sur l’auteur, l’article se compose de 5 pages, chacune liée à un thème en particulier. Ainsi, une première page nous renvoie à la biographie de l’auteur – une biographie détaillée et thématique. La seconde et la troisième pages renvoie à des séries photographiques effectuées par l’artiste entre les années 60 et 80, et qui ont données lieu à deux ouvrages monographiques: Le premier, Tulsa paru en 1971 et le second, Teenage Lust datant de 1983. Ces pages insistent sur les enjeux soulevées par les deux séries-livres toujours autour de la question de l’adolescence à la dérivé telle que Clark se plaint à la photographiée. Ces deux contenus permettent de se rendre compte de l’évolution du travail de l’artiste, qui bien qu’il demeure attaché aux mêmes thèmes, apprend à les renouveler sans cesse.Le troisième contenu proposé (la 3ème page) s’intitule Skaters, et renvoie à une autre série photographique de Larry Clark, qui s’attachant encore une fois au domaine de l’adolescence, en donne un nouvel exemple. La série date des années 90 et se constitue de portraits en couleur de jeunes skateboarders. Des figures que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard dans son premier film Kids. Ainsi, cet article nous introduit au travail de Larry Clark entant que cinéaste et c’est le sujet de la dernière page, consacrée donc à sa carrière cinématographique. L’article nous explique comment, l’artiste photographe est devenu une éminente figure du cinéma indépendant.

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Les articles ne sont pas très longs, mais bien condensés, la lecture en est ainsi facilitée, de même que le design agréable proposé par la page. Le contenu propose également en haut à droite, un communiqué de presse qui semble être un élément intéressant à étudier plus profondément – ce communiqué est complet et apporte de nouvelles informations plus précises mais aussi plus rares sur l’artiste et ses différentes expositions. Autre élément intéressant, le site nous informe que l’ICP est en partenariat avec le Pioneer Theater de New York et propose ainsi les horaires des séances de projection en continu des films de Clark. Enfin, la page n’offre que peu de photos illustrant les propos des différents auteurs. Toutefois, une banque d’images plus importante et présente directement sur le site.

L’ICP est avant tout une école de photographie et le site nous introduit donc aux formations possibles et au centre de recherches. Le site de l’ICP est très vaste. Son interface est facile d’accès mais de nombreux éléments sont présents afin d’aller vers une recherche pointue. La page d’accueil est interactive, elle se compose d’une grande bande d’images défilantes et d’un menu condensé et axé sur les actualités de l’ICP. En haut de cette page, le logo de l’institut est présent et renvoie à la page d’accueil, de nombreuses rubriques (VISIT, MUSEUM, SCHOOL, RESEARCH CENTER, STORE etc.) se trouvant au dessous renvoie à des sous rubriques qui permette une recherche plus approfondie.

Une barre de recherche est présente à gauche, dans le cas de Larry Clark, 47 résultats sont disponibles suivant des médiums différents : photos, vidéos, articles, biographies. Ces différents résultats sont corrélés aux rubriques citées plus avant, par exemple selon le résultat de la recherche dans la catégorie MUSEUM, on obtient 30 résultats pour Larry Clark. C’est donc, une ressource qui apporte un contenu important et souvent très pertinent. Toutefois, il n’est disponible qu’en anglais et la trop grande pluralité des contenus et des catégories exploitables peuvent perdre le visiteur et ne pas l’amener au résultat souhaité.

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Tulsa, un essai de Larry Clark

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     Americansurbubx nous propose un certain nombre d’articles et critiques concernant Larry Clark notamment l’extrait d’un essai (disponible en intégralité sur le site en PDF) de Larry Clark lui même, intitulé TulsaTulsa constitue en réalité une sorte d’autobiographie de l’artiste. Des mémoires rédigées dans un langage assez familier, sans tabous, sans compromis à l’image de son travail. L’essai se base sur la ville natale de Clark, Tulsa – comme l’indique le titre de l’essai – en Oklahoma. Cette ville tient une place très importante dans le travail de l’artiste. En effet, c’est ici qu’il prend ses premiers clichés et qu’il s’essaie à l’art de la photographie. Capturant des instants de sa vie et de celle de ses amis, des jeunes en proie au désespoir et à la tentation de la drogue. C’est dans cet essai que Larry Clark partage ses nombreuses pérégrinations qui le ramène toujours à Tulsa dont il essaie souvent de s’éloigner. Il s’agit à travers ce contenu, de saisir la personnalité de l’artiste et de comprendre au mieux les premiers enjeux de son travail. Le site nous propose à la suite de l’extrait de Tulsa, des photographies illustrant le propos de l’auteur. Ces images permettent de se rendre compte de l’influence de ce cadre difficile dans lequel Larry Clark est né et a par la suite évolué.

          Americansuburx est une site internet qui est est dédié à l’examen de la photographie et de la culture photographique. Il est constitué dans son ensemble d’essais critiques, d’entretiens avec des artistes, d’examens sur des ouvrages ou des expositions, et bien sur de photographies.

          De prime abord, la ressource propose une interface un peu brouillon. La page d’accueil est remplie de toute part par des propositions d’articles, d’artistes, d’expositions etc. Les actualités photo y défilent de manière plus ou moins permanente. Toutefois, sur cette page d’accueil une barre de menus nous propose d’accéder à une recherche variée, le visiteur peut ainsi rechercher des artistes, des photographes suivant leurs nationalités, ou encore par des mots clefs. La plupart des recherches par catégories se fait par ordre alphabétique. Mais l’on dispose également d’une barre de recherche. Le site fonctionne comme une page d’acceuil déroulante. Ceci permet de « descendre » la page chronologiquement. Il s’agit d’un site dédié spécialement à la photographie contemporaine, on y trouve ainsi un certain nombre d’articles et photographies à propos de Larry Clark. Une barre publicitaire se trouve au centre de l’interface, mais toujours en relation avec le domaine photographique. Dans la plupart des cas, le type d’article proposé sur le site (critique, présentation d’expositions, d’artistes, de photographies) est précisé dans le titre, mais ce n’est pas toujours le cas, ainsi il est parfois difficile de savoir de quoi il en retourne. Le site est en anglais, et ne propose aucune autre langue. Les articles pour la plupart sont assez courts mais bien documentés. Les post sont permanents et propose ainsi très souvent de nouveaux contenus.
Il semble intéressant de les suivre sur Facebook ou Twitter ou bien de souscrire à leur newsletter pour en connaître les actualités fréquentes. En termes de fiabilité, il semblerait que le site soit consciencieux, en effet, la catégorie « ABOUT » nous informe des objectifs et intentions du créateur, et propose une politique de confidentialité.
Le reproche que l’on pourrait faire toutefois est celui de la typographie, qui est très petite et parfois difficilement lisible.

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