Archives de Tag: vidéo

Larry Clark dans « Purple Fashion Magazine »

Art and Smoke est un site Américain, qui publie essentiellement  des photos de magazine. Les sujets abordés  sont la mode, le cinéma et l’art contemporainUn article y est consacré pour Larry Clark. A travers les photos on peut voir qu’une dizaine de pages, lui sont accordées dans le Purple magazine. L’article présente d’abord Larry clark en tant que légende du cinéma et explique  les ambitions de son film Marfa girl.

Capture d’écran 2013-04-20 à 11.52.49

La particularité de ce site Art and Smoke  est de présenter des pages de magazine. La démarche  est simple et permet d’offrir  un aperçu du contenu du magazine au lecteur. Il n’y a pas vraiment d’article sur cette page mais l’on retrouve un petit résumé qui expose rapidement le contenu de Purple Magazine.

Capture d’écran 2013-04-20 à 11.53.02

L’interface du site est simple et moderne. La barre d’outil est situé à gauche, il y a plusieurs catégories « about, books, submission calls, print shop, Amazone store, phographers et contact ». On remarque qu’il y a une catégorie commerciale, ainsi ce site, fait essentiellement de la publicité à Certains livres et magazines. La navigation est agréable, cependant le site n’est proposé qu’en Anglais. Il n’y a pas de véritable article, cette ressource est créée pour vendre  des livres, des photos et des magazines en relation avec les artistes.

Capture d’écran 2013-04-20 à 11.53.14 Capture d’écran 2013-04-20 à 11.53.32

Pour conclure on peut dire que le visuel prime sur le texte. Cette ressource a  avant tout un rôle commercial plutôt que pédagogique. Cependant le site est agréable et propose des magazines, livres et  liens vers des sources plus approfondis.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Larry Clark Stuff sur MilkMade

Nous allons vous présenter le site milkmade.com qui concerne Larry Clark. Cet article est en anglais et commence par une vidéo aussi en anglais qui fait défiler des photographies de l’artiste (c’est d’ailleurs lui qu’on entend sur la vidéo). Il explique comment il a voulu devenir photographe ainsi que sa démarche artistique et son regard sur le monde. Ensuite il parle de Tulsa en particulier (avec des photographies qui défilent également pour illustrer ce que Larry Clark dit). Enfin, il explique son film Marfa Girl : c’est ce dont parle l’article du site. En effet, à droite de la vidéo sur le côté, il y a une explication et des informations sur la vidéo. Le titre « De Tulsa à Marfa avec Larry Clark » explique bien de quoi il s’agit exactement.

La présentation de l’interface est sophistiquée : fond blanc avec différentes catégories qui sont de couleurs variées. En haut de la page, nous avons neuf rubriques : « Fashion », « Beauty », « Music », « Art », « Video », « Tumblr », « Live Uploads », « Partners » et « Shop ».

Enfin, même si le site à l’air d’être un peu chargé (avec tout ce qu’il présente dès l’accueil), il est bien fait et très général ce qui nous permet d’aussi bien nous intéresser à un artiste en particulier, qu’à l’actualité artistique de manière plus globale.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Larry Clark « le choc 42×42 »

Blended, propose un article intitulé “Larry Clark, Abel Ferrara, Harmony Korine…le choc 42×42”.  il s’agit de la marque de vodka 42BelowTM qui a sponsorisé 42 réalisateurs lors  du Festival du court métrage One Dream Rush à Beijing, en Chine en 2009. Larry Clark en faisant parti, il était pertinent de parler de ce festival.

L’article explique les contraintes qu’on imposa aux réalisateurs. Ils devaient réaliser des films de 42 secondes ayant pour sujet « le monde du rêve ». L’article s’attarde davantage sur Larry Clark et Harmony Korine (qui a travaillé sur le scénario de Ken Park ), et les œuvres  des réalisateurs furent présentées au Musée national du film chinois à Pékin.

L’article est assez court, il est divisé en deux par une vidéo. Cette vidéo regroupe quelques courts métrages des 42 réaliateurs diffusés pendant le festival. (Kenneth Anger, Asia Argento, Tadanobu Asano, Sergei Bodrov, Charles Burnett, Brian Butler, Jonathan Caouette, Leos Carax, Niki Caro, Yung Chang, Michele Civetta, Larry Clark, Joe Coleman, Zachary Croitoroo, Abel Ferrara, Mike Figgis, James Franco, Chris Graham, Florian Habicht, Rinko Kikuchi, Terence Koh, Harmony Korine, David Lynch, Griffin Marcus, Charlyn Marshall, Ryan McGinley, Rajan Mehta, Jonas Mekas, Chris Milk, Grant Morrison,Charlotte Kemp Muhl & Sean Lennon, Gaspar Noé, Dee Poon, Matt Pyke, Carlos Reygadas, Lola Schnabel, Floria Sigismondi, Mote Sinabel, Taika Waititi, Arden Wohl, Lou Ye and Zhang Yuan)

Blended est site dédié à l’art contemporain. Le contenu est sérieux et  la qualité des articles est une bonne référence. L’interface du site est vivante et agréable. Le site a préféré rester sur du noir et blanc avec une typographie élégante. On a à faire à une ressource moderne, bien présentée et efficace. On  retrouve même une radio  qui rend la navigation plus agréable. Il est  également possible de suivre les actualités de Blended sur Facebook et Twitter, mais aussi de souscrire à une newsletter. Cependant, la barre de recherche nous propose des résultats pas toujours en lien avec l’artiste, le spectateur doit faire le tri lui-même.

Pour conclure on peut dire que Blended est un site fiable cependant il est important de filtrer l’information.

Tagué , , , , , , , , , , , ,

Deux interviews de Larry Clark!

  Dans cet article, nous nous intéresserons à la comparaison ou à la mise en relation de deux vidéos interviews de Larry Clark, contenues sur les sites viméo.com et youtube.com. Ces deux sites servent à partager des contenus vidéo, de quelques natures que ce soit. (Bien que des restrictions soient évidemment envisageables pour censure du sexe ou de la violence ou des questions de droits d’auteur entre autres). Le site youtube.com est cependant limité quant à la taille de la vidéo, ce qui réduit considérablement le temps autorisé pour celles-ci, alors qu’aucune limite de temps n’est assignée au site viméo.com. Il est par ailleurs possible de visionner certains films de Larry Clark en streaming sur ces deux sites, Ken Park sur viméo et Kids sur youtube, par exemple (Il est cependant difficile de les trouver sur youtube, car ceux-ci sont découpés en plusieurs parties).

  Cette première vidéo est donc disponible sur youtube.com. Elle contient une interview de Larry Clark durant 13 :21 minutes, mise en ligne le 21 mars 2011. Elle revient sur le film Ken Park, sorti en 2002, mais aussi sur le premier film de Larry Clark, Kids, et offre une comparaison des deux films, par leur réalisateur lui-même.

  La vidéo est très intéressante, l’artiste revenant de manière réfléchie sur ses films et leurs sujets respectifs, ses acteurs, ses attentes vis-à-vis de son travail global… Il y explique que ces histoires sont inspirées de faits réels qu’il a directement ou non vécues, dans son enfance ou plus particulièrement lors de son adolescence à Tulsa Oklahoma, et de la vie de personnes qu’il a connues, côtoyées et qui lui étaient proches, ses amis et sa famille. Larry Clark explique la façon dont il a choisi ses acteurs, en fonction de leur vécu, de ses personnages. Il ne les voulait pas connus avant de tourner dans ses films, il revient donc sur la façon dont ce sont déroulés les tournages de par ce fait. Il revient bien sûr sur les polémiques à propos de ces œuvres, en les expliquant de manière précise, par rapport à ce qu’il en attendait et pour quelles raisons il a choisi de réaliser ses films de cette manière, ou de photographier ces sujets, représentés de manière crue mais réaliste et non idéalisée. Il imagine ce que l’avenir peut lui réserver en lien avec son travail, mais aussi ce que ses films ont pu changer pour les jeunes adultes et les adolescents qu’il appelle communément les « kids » et la façon dont les choses pourraient évoluer pour eux, grâce à son travail.

  Malheureusement, la vidéo n’est disponible qu’en anglais, non traduite et non sous-titrée, ne la rendant pas accessible à tous.

http://vimeo.com/54551502 

  La seconde vidéo est donc disponible sur viméo.com. Elle nous présente également une interview de Larry Clark, cependant celle-ci dure un peu 4 :00 minutes et a été publiée en décembre 2012. Le réalisateur parle ici de son travail plutôt comme pour une rétrospective, contrairement à la première vidéo, où il parlait de son travail plutôt au présent. Il revient plus particulièrement sur le film Marfa Girl. Il a avant tout souhaité faire ce film (et tous les autres films en général, ainsi que ses photographies), pour que les personnes qui le voient soient au courant de la vie de ces jeunes et adolescents du Texas. Selon lui, personne ne connaitrait leur mode de vie, s’il n’avait pas choisi de le mettre à jour pour le public. Larry Clark se souvient de la façon dont s’est déroulé le tournage avec ces jeunes adolescents qui n’avaient encore jamais fait de cinéma et avec lesquels il a adoré travailler.  Il revient brièvement sur sa série « Tulsa », réalisée en 1968, en y expliquant à nouveau ses intentions et les raisons qui l’ont poussé à faire cette collection de photographies abordant à nouveau les sujets de la violence et de la sexualité adolescente débridée.

  En résumée, ces deux vidéos reviennent de manière très complète sur le travail de Larry Clark, et se complètent entre elles, abordant à elles deux la plupart de ses films et de son travail de réalisateur, mais aussi son travail de photographes. Le fait que ce soient des interviews crédibilisent également ces contenus, puisque c’est ici l’artiste même qui revient sur ses polémiques, et non des propos rapportés !

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Ken Park en Intégralité sur Vimeo

Le site vimeo offre au visiteur la possibilité de découvrir le film Ken Park en intégralité.

Le film propose un tableau provocant d’adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques.

Un sujet de prédilection pour Larry Clark, qui le traite dans une cinématographie en adéquation avec sa démarche photographique. L’artiste se révèle encore une fois provocateur, dans une veine plus délurée encore que Kids ou Bully.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Tulsa, 1971 – sur vimeo

Grace à Vimeo, le visiteur peut parcourir librement la monographie Tulsa, parue en 1971. La vidéo est simple, et efficace. Elle permet ainsi de se familiariser davantage avec l’oeuvre de l’artiste et de développer une vue d’ensemble de cette œuvre majeure qui engagera toute la démarche future de Larry Clark. On peut ainsi véritablement se rendre compte de ce rapport omniprésent à l’adolescence. Larry Clark lui même dit qu’il s’agit pour lui d’une véritable autobiographie, et ici, en effet on se rend de toute l’authenticité de l’oeuvre de l’artiste.

Le site vimeo.com est un site de partage de vidéos, tout comme Youtube ou Dailymotion. Toutefois, rien que par son interface soignée le visiteur se rend compte que le site aspire à un point de vue plus sérieux. En effet, le contenu disponible sur vimeo est en général plus fiable que sur les deux autres sites. la plupart des ressources sérieuses utilisent cet outil pour partager leurs documents vidéos. L’interface est simple et facile d’accès. Si l’on cherche à partager des contenus, afin d’avoir l’air crédible, il semble plus indiqué de le faire avec vimeo.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Marfa Girl sur Blended – actualités des arts

banner-HR

Le site blended.fr nous propose un article faisant état de la polémique autour de la diffusion du film de Larry Clark, Marfa Girl sorti en 2012. En effet, l’affaire avait fait scandale lorsque l’artiste avait annoncé que la distribution de son long métrage se ferait sur son site internet, en streaming. Cet article publié le 21 novembre 2012 est assez court et nous présente les modalités mises en place par l’artiste pour la diffusion de son film primé au Festival de Rome en 2012. Clark n’agit pas ici de manière anodine ; en effet, son objectif était bel et bien de dire « Fuck à Hollywood »

 «Je voulais dire « Fuck » à Hollywood (…) Si tout le monde regarde des films sur son ordinateur, télécharge des séries télé et passe sa vie sur YouTube, si les jeunes passent leur temps devant leurs ordinateurs à organiser des soirées, draguer des filles, alors il faut aller à eux et leur proposez des films en ligne !»

L’auteur du site salue le révolutionnaire qui s’exprime en Clark, qui, à 70 ans, trouve encore des idées afin de toujours sortir des sentiers battus. L’auteur souligne également qu’il s’agit bien d’une première dans le milieu de l’industrie du cinéma. Cette annonce lors d’une conférence de presse a marqué les esprits, a surpris ou provoqué l’incompréhension – mais a encore une fois prouvé que Clark parvient toujours à se démarquer. Outre l’article, la page nous propose de visionner le trailer de Marfa Girl, ainsi que des photographies du tournage. De même des liens dans le texte renvoie à la page de téléchargement du film sur le site officiel de Larry Clark. Il est également possible de laisser un commentaire.

Blended est un web-magazine d’actualités culturelles et artistiques. Il s’agit d’un site orienté sur l’actualité contemporaine des arts. Le contenu est important et fluctuant. Il est composé de 9 catégories toutes en rapport avec ces actualités : Art, Cinéma, Culture, Média, Mode, Musique, Photographie, Publicité, et Tendance. La multiplicité des éléments présents sur le site permet une vue panoramique autour des arts contemporains et appliqués. Les articles sont multiples, on ne sait jamais vraiment sur quoi on va tomber. Il y a toutefois une certaine disparité entre toutes ces catégories, articles etc. – certains sont longs, bien fournis, argumentés, critiques, pendant que d’autres apportent beaucoup moins au lecteur. L’interface est vivante, et bien construite bien que quelque peu encombrée. Les actualités défilent rapidement sur la page d’accueil. De nombreuses fenêtres proposent des informations très différentes liées aux catégories énoncées plus tot. Le site n’est disponible qu’en français, il est possible de suivre les actualités de blended sur Facebook et Twitter – mais aussi de souscrire à une newsletter. La barre de recherche renvoie à des contenus intéressants bien qu’inégaux en ce qui concerne Larry Clark. Le site ne semble pas mettre en place de  »classement » entre les différentes données qu’il propose.

Ainsi, le très (trop?) grand choix de contenus peut pousser le visiteur a rebrousser chemin. Si il souhaite une vue panoramique sur les arts d’aujourd’hui cette ressource semble toute indiquée, toutefois il serait judicieux en ce sens de faire un premier tri en souscrivant à la newsletter par exemple. Pour ce qui est d’une recherche avancée, le visiteur a l’embarras du choix – la plupart des contenus sont en effet fiables (des liens sont présents dans chaque article) bien qu’inégaux. Blended est de ce fait une grande source d’informations qu’il faut savoir manier avec patiente afin de parvenir à trouver ce que l’on est venu chercher.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Sous Influences – Vidéo Dailymotion

Cette vidéo dailymotion propose une interview du commissaire de l’exposition et au travers de celle ci, une présentation de l’exposition « Sous Influences » qui a lieu depuis le 15 février et jusqu’au 19 mai 2013 à la Maison Rouge, à Paris. Dans cette exposition, deux œuvres de Larry Clark sont exposées.Son contenu de qualité nous renseigne sur l’exposition et positionne aussi l’artiste face à d’autres arts et techniques de représentation de la drogue et de son utilisation. Le commissaire d’exposition indique ainsi que l’usage de psychotropes relate d’ « un ailleurs à aller chercher, qui est toujours intérieur ». La vidéo dure un peu moins de 10 minuteset s’attache à relater le parcours de l’exposition et les démarches des artistes qui y figurent.

Sur cette même page, plusieurs vidéos nous sont proposées – n’ayant peu voire rien à voir avec le sujet en question. Il est possible de laisser un commentaire sur la vidéo, de la partager (suivant le même principe que YouTube). Cette vidéo est partagée par l’utilisateur «lamaisonrouge» – d’autres vidéos partagées par ce même utilisateur nous sont ainsi proposées. Cela permettant de suivre l’évolution des expositions proposées par la fondation qu’elles soient passées, présentes ou futures.

dailymotion, est une ressource bien connue. Son contenu est très important (tout comme celui de YouTube) et par cela pas toujours fiable ou du moins rarement pointu. Toutefois, comme c’est le cas ici, une vidéo peut être à la fois bien faite et intéressante et peut par cela constituer une ressource fiable et divertissante à la fois. Les avantages proposés par dailymotion sont très vastes bien sur. À commencer par le partage de vidéos, ainsi il est possible de partager et d’insérer des vidéos issus de cette ressource vers d’autres plateformes (WordPress, Pinterest, Blogger, Tumblr, Reddit), ou autres réseaux sociaux (Facebook, Twitter). Des films entiers (souvent en plusieurs parties) sont également visionnables sur cette ressource, difficilement épuisable. Il est possible de créer un compte, afin d’importer et de poster ses propres vidéos ou avoir un accès plus important à des comptes privés. Lorsque l’on crée un compte (comme sur Youtube) la page d’accueil s’adapte à nos visionnages antérieurs (à nos « gouts »). Toutefois, cette page d’accueil se présente différemment de Youtube, en ce qu’elle est composée de rubriques propres (News, Musique, Sport, Cinéma TV…), assez générales mais permettant aussi d‘aller vers une information plus dirigée. La barre de recherche de dailymotion s’organise suivant les « vues » des vidéos, de ce fait les vidéos les plus visionnées par les visiteurs (correspondant un tant soit peu à la recherche bien sur) apparaissent en premier dans les résultats.

Ainsi, dailymotion constitue une ressource variée (trop pour une recherche pointue), mais certains contenus peuvent donner un bon aperçu, et des informations fiables à condition de vérifier l’utilisateur qui les partage (cet élément pouvant souvent jouer dans la crédibilité du contenu).

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

« Sous Influences » – à la Maison Rouge

Capture d’écran 2013-03-30 à 17.24.23

Le site de la Maison Rouge donne lieu à une présentation de l’exposition Sous Influences (qui a lieu en son sein), dans laquelle sont présentées des photographies de Larry Clark. Cette exposition comme son nom le laisse sous entendre traite de l’usage des stupéfiants (en particulier les psychotropes) et leurs influences dans l’art d’hier et d’aujourd’hui. Ce thème a pour but de mettre en avant des artistes ou des œuvres crées sous l’emprise de drogues ou mettant en scène l’usage de ces dernières. L’article qui concerne l’exposition propose une brève présentation des enjeux de celle ci, et de ses objectifs. Des enjeux, que l’on peut facilement mettre en rapport avec le travail de Larry Clark. Cette présentation permet d’aiguiser nos connaissances sur le sujet mais aussi de comparer ou du moins confronter l’artiste à d’autres projets traitant du rapport de l’art à la drogue. Une vidéo est également présente en complément, elle constitue un ‘Trailer de l’exposition. Ce visuel est agréable (esthétiquement parlant), bien qu‘explicite, il attire aisément la curiosité du spectateur quand au contenu de l’exposition.

Présentation de l’exposition (issue du site de la Maison Rouge).

« A partir du 15 février 2013, la maison rouge présente Sous influences, un ensemble d’œuvres, de documents, de films sur le thème des rapports entre les arts plastiques et les produits psychotropes. Depuis la nuit des temps ou plutôt l’aube de l’humanité, nos semblables ont croisé sur leurs chemins des substances psychoactives, plantes, champignons, macérations diverses et ces rencontres ont entrainé stupéfaction, intoxication, dépendance, accès mystique, soulagement, mort, voire illumination. Les artistes, toujours à la recherche d’accès à la création, de passages, de déclencheurs, de transgressions, de stimulations, de routes vers des imaginaires transmissibles, ne pouvaient guère éviter d’en tenter les effets. »

Le site en lui même présente une interface simple, l’information y est facile d’accès. La Maison Rouge est un espace d’expositions. Créée par Antoine de Galbert, un amateur d’art engagé sur la scène artistique française, la maison rouge est une fondation reconnue. Sa vocation est de promouvoir les différentes formes de la création actuelle au travers de la présentation d’expositions temporaires. La maison rouge invite des commissaires indépendants à explorer la diversité des champs de la recherche artistique actuelle, souvent par le biais de collections privées. La fondation veut, au long des expériences de l’art qu’elle provoque, privilégier la multiplicité des démarches et des pratiques.

La page d’accueil propose un plan de la fondation – les différents espaces qu’elle propose (lieux d’expositions, boutique etc.). Diverses catégories sont proposées : « Fondation » – qui indique les objectifs, et les projets de la fondation, des informations quant à sa création etc. « Exposition » – ou l’on peut découvrir les expositions actuelles, anciennes et futures qu’organise la galerie ainsi que les différents espaces subordonnées à ces dernières. Dans cette rubrique, les informations pratiques sont également présentes (prix des expositions, comment se rendre sur le site de la Maison Rouge etc.) « Publication » qui nous informe que chaque expositions donne lieu à une publication (articles, revues, monographies, catalogues d’expositions). « Presse » qui propose des contacts presse afin de se renseigner plus amplement sur les activités de la fondation. Enfin, « Amis de la fondation » qui concentre des informations pour les personnes qui souhaitent participer à l’amélioration ou à l’expansion de la fondation.

D’autre part, une barre de recherche est disponible, cet outil est complet et revoie à des résultats hors du site (ayant un rapport toujours direct avec la recherche, surtout si il s’agit d’une exposition). Bien que le site ne dispose pas d’un grands nombres d’archives et d’informations internes, on notera toutefois que chaque dossier de presse d’exposition est disponible (en PDF).Cette ressource est également disponible en anglais – il est aussi possible de souscrire à une newsletter afin de rester informé.

Ainsi, les fonctions, objectifs et projets de la fondation sont précisément expliquées, ce qui met en confiance le visiteur qui ne sait pas forcément à quoi s’attendre en parcourant la page d’accueil. Le site a le privilège d’être clair et d’aller droit au but, le visiteur ne risque pas de se perdre dans les catégories et trouve facilement ce qu’il est venu chercher. Cette ressource est ainsi complète et informationnelle. Bien que les contenus soient peu nombreux, ils demeurent fiables.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Communiqué de presse – Kiss The Past Hello

Le contenu est un communiqué de presse présenté sur le site du Musée d’art Moderne de Paris (MAM) nous présente l’exposition mise en place dans ce même musée, qui est à propos de sa carrière, son évolution, son passage de la photo au film, passe rapidement sur ses grandes oeuvres et expliquant le titre de l’exposition, dans une biographie, très complète. C’est un contenu sous forme de PDF, proposé par le MAM à l’occasion du vernissage de l’exposition Kiss the Past Hello.

Ce communiqué de presse est assez vendeur, nous relate le parcours de l’artiste, de son enfance avec sa mère jusqu’à son parcours seul, photographique comme cinématographique, de la perdition des jeunes de sa ville, comme de ceux du monde entier, ce thème étant la base même de sa carrière. Cet article est simplement là pour relater les faits, de manière plutôt flatteuse pour le MAM, mais écrit de manière très subjective, sans implication personnelle de l’auteur de l’article.

Le contenu fait partie d’un tout, qui retrace l’ensemble de l’exposition, ses différents acteurs, son parcours, ainsi que d’autres informations plus pratiques. Il nous présente de manière assez concise l’exposition et son contenu, et réalisé une rétrospective sur l’ensemble de la vie et de la carrière de Larry Clark.

L’article n’étant pas sur un site mais un PDF, la navigation s’en trouve simplifiée, il suffit de revenir à notre première page pour retrouver celle que l’on cherchait à la base. C’est assez pratique pour une raison d’accès, ainsi, même sans internet, il y a toujours possibilité de revenir sur l’article, puisque l’on peut le télécharger.

Tagué , , , , , , , , , , , , , , ,